Cadre juridique de la gouvernance des déchets

Le projet se réfère et s'aligne sur le cadre juridique pertinent, ce qui permet d'influencer et de persuader plus facilement les clients actuels et potentiels. L'existence d'un cadre juridique du comté sur la gouvernance des déchets est essentielle à la réussite du projet.

La stratégie nationale de gestion des déchets solides définit les objectifs nationaux en matière de gestion des déchets et est également importante pour le projet.

Existence d'une structure de gouvernance des déchets comprenant la stratégie nationale de gestion des déchets solides et le projet de loi national sur la gestion durable des déchets, 2019. Il s'agit d'outils importants pour la mise en œuvre du projet de gestion des déchets, car ils permettent de régulariser et d'organiser tous les acteurs de la chaîne de valeur des déchets.

Le rôle du gouvernement dans la gestion des déchets est essentiel et se manifeste par des politiques et des projets de loi qui se sont avérés être le modèle et le point de référence pour les acteurs du secteur.

Il existe toutefois un problème de chevauchement des politiques qui peut entraîner des charges et des taxes élevées dans le secteur des déchets.

Construction d'un accord privé-public et d'un outil d'évaluation des pépinières de récifs coralliens

Il était nécessaire de collaborer entre les parties prenantes et d'obtenir les ressources nécessaires pour mener à bien des activités spécifiques sur le terrain, telles que le suivi et l'évaluation des pépinières de récifs coralliens, qui ne peuvent pas être menées à bien uniquement par le secteur public ou privé de manière indépendante. En République dominicaine, un accord a été signé entre le CDRC (Dominican Coastal Restoration Consortium) et le ministère de l'environnement afin que le CDRC puisse diriger le suivi et l'évaluation de toutes les pépinières de coraux du pays, avec le soutien technique du ministère.

Afin de réaliser le suivi et l'évaluation des pépinières de coraux, le CDRC a créé un manuel spécifique.

  • La volonté des institutions publiques et privées de travailler ensemble.
  • Un objectif commun pour les deux institutions.
  • La nécessité d'un suivi et d'une évaluation des pépinières dans l'ensemble du pays.
  • Les connaissances et l'expertise techniques et scientifiques.
  • L'implication des institutions publiques dans les processus menés par le secteur privé ou les ONG est essentielle pour atteindre les objectifs et avoir accès aux projets, en l'occurrence les pépinières, dans toutes les régions du pays.
  • Une bonne explication, y compris des activités sur le terrain, à l'intention des fonctionnaires et des décideurs est essentielle pour susciter l'engagement.
  • Une bonne suggestion serait d'essayer de garder les choses simples. Un accord comme celui-ci doit être facile à comprendre et se concentrer sur un sujet spécifique.
Travail à proximité de la communauté

Le travail à proximité de la communauté se fait dans le respect de la diversité des traditions, en tenant compte des résistances.

 

Le travail communautaire est fondé sur les intérêts et les nécessités des communautés. Celles-ci sont les principales intervenantes dans la recherche de solutions.

 

Les processus de gouvernance appliqués par l’Institut visent à faciliter la communication entre les organisations et les communautés. C’est pourquoi l’Institut organise des ateliers de gestion inclusive.

 

  1. 1. Au Brésil, on sait que 90 % des initiatives de conservation de la nature sont liées aux communautés locales. En partant de ce principe, l’Institut établit des relations et un plan de travail à long terme.

    2. L’établissement de liens de confiance avec les communautés est indispensable pour travailler en étroite collaboration avec elles.

    3. Les processus de gouvernance mis en place par les gouvernements.

    4. Les processus de gouvernance dans les zones de conservation autochtones et communautaires.

  1. Plusieurs organisations ont mené des initiatives infructueuses de conservation et de développement parce qu’elles n’ont pas su comprendre et respecter les communautés.
  2. De nombreuses organisations ne comprennent toujours pas que 90 % des projets de conservation sont liés aux communautés et aux peuples autochtones.
  3. Il est important de travailler en tenant compte du processus de gouvernance des gouvernements, car la gestion efficace du territoire nécessite la participation des parties prenantes.
Formation au sein des communautés

Outre la mission de combattre les feux de forêt, les brigades de volontaires incitent la population des communautés avoisinantes à réduire l’usage de l’agriculture sur brûlis. Pour ce faire, elles leur rendent visite pour les sensibiliser à la norme officielle mexicaine NOM 015 qui régit l’utilisation de l’agriculture sur brûlis. 

L’exercice mène à des ententes consistant à éviter l’usage de cette pratique dans les sites à proximité de la Réserve, et, dans certaines conditions, à les programmer dans des lieux autorisés.

La formation en communication des brigades de volontaires.

 

Du matériel complémentaire fourni au cours des échanges avec les producteurs.  

 

Les membres des brigades de volontaires sont issus des communautés de la région du volcan, c’est pourquoi leur message est bien reçu par la population locale.

 

Les activités doivent être programmées de sorte que les échanges au sujet de l’agriculture sur brûlis se fassent avant le début de la saison des semailles lorsque cette pratique est utilisée. 

 

Il convient d’assurer un message continu par divers moyens, notamment des discussions, des prospectus, du matériel didactique, des affiches, la radio, etc.

Formation des brigades de volontaires

Une fois formés par la CONANP en partenariat avec la CONAFOR, les combattants de feux de forêt convoquent, forment et équipent à leur tour des membres des communautés de la région du volcan en vue de constituer des brigades de volontaires locales. D’autres fonds peuvent compléter le budget de la CONANP. En 2020, par exemple, le FONCET [Fonds de conservation El Triunfo] a donné un camion pour assurer le transport des brigades de volontaires dans la région.

 

À ce jour, 45 membres des communautés de la région du volcan sont formés au combat des feux de forêt.

 

 

 

 

Une bonne relation entre les communautés et les autorités de la CONANP et d’autres organismes, car ce sont elles qui convoquent les personnes.

 

Leur présence à proximité de la Réserve permet aux membres des brigades de volontaires d’arriver rapidement sur les lieux, au besoin.

 

Des échanges d’expériences et une bonne relation avec les brigades de volontaires du Guatemala, étant donné que le volcan est transfrontalier.

 

Le budget des formations doit couvrir le matériel. Il est arrivé plusieurs fois que des brigades de volontaires dûment formées ne disposent pas du matériel requis pour aller combattre des feux.

C’est pourquoi il faut prévoir un budget pour outiller les équipes, et remplacer le matériel endommagé. Il est fondamental de mettre tout en œuvre pour que le travail soit effectué en réduisant les risques.

 

 

Formation et préparation du personnel

Il est important que des membres du personnel de la CONANP soient formés et spécialisés en gestion des feux de forêt. C’est pourquoi la Commission a obtenu des subventions pour que son personnel puisse suivre les cours de la CONAFOR [Commission nationale forestière du Mexique] en partenariat avec le Service national des forêts des États-Unis. La CONANP doit couvrir les indemnités afférentes.

 

Des partenariats avec la CONAFOR et des organismes spécialisés dans la gestion des feux.

 

Un personnel désireux d’acquérir de nouvelles connaissances.

 

 

 

Les possibilités de formation sont nombreuses. Il faut une planification efficiente du temps pour les mettre à profit.

 

Il est nécessaire d’investir dans ces formations, car elles sont fondamentales pour que le personnel de la CONANP puisse à son tour assurer l’apprentissage initial des brigades de volontaires.

 

La formation est ouverte aussi bien aux hommes qu’aux femmes.

Renforcement du département de l'archéologie et de la conservation dans le parc national

Le parc national compte des éléments archéologiques exceptionnels. Pourtant, il ne compte qu'un seul spécialiste parmi son personnel. Avec environ 20 000 sites archéologiques situés dans les limites du parc, dont 1 000 Moai et 300 Ahu ou structures cérémonielles, en plus des structures d'habitation, de l'art rupestre et des grottes, l'administration actuelle a donné la priorité à la sauvegarde de la composante archéologique, hautement significative pour la communauté vivante. Le renforcement du département spécial pour la recherche et l'étude de la préservation de cet important patrimoine culturel permet le développement de stratégies de conservation spécifiques à ce type de patrimoine, ainsi que la reconnexion de la communauté avec ses biens culturels. La majorité de ces biens sont exposés aux conditions climatiques de l'île, ainsi qu'à la dégradation due à l'utilisation touristique et aux impacts anthropiques et du bétail. Parmi d'autres activités, cette nouvelle unité a développé :

  • Le renforcement des capacités et l'acquisition d'outils d'enregistrement numérique pour le diagnostic du patrimoine archéologique.
  • Des projets de conservation basés sur un portefeuille de sites en situation d'urgence et une méthodologie qui recueille les connaissances traditionnelles des rapanui en les reliant aux connaissances scientifiques.
  • Partenariats et mise en réseau sur les impacts du changement climatique.
  • Spécialistes de l'archéologie au sein de la communauté Rapa Nui
  • Mise en place d'un soutien technique institutionnel par l'intermédiaire du STP (Secretaría Técnica Rapa Nui, CMN/Secrétariat technique Rapa Nui).

(1) Nécessité d'un département spécialisé dans la recherche et la conservation du patrimoine archéologique au sein du parc national.

(2) Nécessité d'articuler et de coordonner le travail avec d'autres institutions qui ont des problèmes d'interférence avec le patrimoine.

Renforcement de la capacité interne de la communauté à se constituer en gestionnaire de parc

Afin de se préparer à assumer la responsabilité de la gestion du parc national, la communauté a dû renforcer ses capacités sur les plans juridique, administratif et technique. Cette approche a également pris en compte le renforcement des capacités des gardes forestiers locaux, chargés de transmettre, de promouvoir et de sauvegarder la valeur culturelle de leur patrimoine. Ma'u Henua est devenu un espace où divers domaines de spécialisation technique universitaire et des experts locaux peuvent développer leurs activités de manière complémentaire et conjointe. C'est l'un des espaces les plus importants pour l'application de méthodologies culturelles et techniques qui dialoguent avec le contexte du patrimoine matériel et immatériel.

  • Le processus d'institutionnalisation de l'institution indigène a permis aux membres de la communauté de s'impliquer et de se familiariser avec l'administration, en développant de nouvelles compétences et en renforçant leurs connaissances.
  • Les jeunes formés sur le continent étaient prêts à s'engager dans la gestion de la zone protégée et à revenir vivre sur l'île.
  • Création d'opportunités sur l'île et politiques nationales pour le développement communautaire.
  • Accord avec la CONAF et le ministère de la culture et des arts.
  • Riches connaissances locales des membres de la communauté Rapa Nui.

(1) L'île offre des possibilités de travail dans la gestion du parc, les services touristiques et d'autres activités de surveillance. Ces opportunités permettent aux jeunes de reconnaître et d'apprendre à connaître leur culture et leur patrimoine, de réapprendre à les apprécier et à les protéger. La reconnaissance mondiale de sa valeur favorise la transmission intergénérationnelle.

(2) L'importance d'impliquer les anciens dans la transmission des connaissances aux jeunes. La participation des citoyens est essentielle à la gestion et il existe un potentiel de capitalisation des connaissances locales.

(3) Permettre aux locaux de jouer le rôle de garde-forestier crée des emplois sur l'île, ce qui permet d'utiliser les connaissances de la communauté Rapa Nui pour communiquer les valeurs de l'île et mieux contrôler leur conservation.

(4) Établissement de protocoles culturellement sûrs et d'alliances respectueuses entre le Ma'u Henua et les institutions de l'État pour unifier les critères de protection du patrimoine.

(5) Élaboration et mise en œuvre d'une structure administrative établissant des procédures et des protocoles.

Création du partenariat plurilatéral

En République dominicaine, la restauration des récifs coralliens est devenue une alternative populaire pour tenter de sauvegarder ces écosystèmes. Au début, elle a commencé à se développer rapidement, manquant de contrôle et provoquant l'abandon de nombreuses pépinières.Cette préoccupation a déclenché la création du Consortium de restauration côtière dominicaine (CDRC), un partenariat multipartite qui travaille en collaboration avec le ministère de l'environnement pour surveiller les activités de restauration des récifs coralliens.avec le ministère de l'environnement, qui surveille les pépinières de coraux dans tout le pays et dirige les évaluations des pépinières, ainsi que les initiatives de restauration en République dominicaine.

  • L'intérêt existant de plusieurs organisations locales pour que les choses soient faites de la bonne manière, sans nuire à l'environnement.
  • La volonté des organisations et des autorités locales de partager leurs connaissances et leur expertise.
  • Le besoin d'une structure et d'une plate-forme nationale pour coordonner et réglementer les activités de restauration des récifs coralliens.

  1. Un objectif commun aux parties prenantes doit être identifié, afin que chacun bénéficie du partenariat et qu'il s'agisse toujours d'une situation gagnant-gagnant.
  2. Des rôles et des capacités spécifiques doivent être définis dès le départ.
  3. Les accords formels doivent être préparés à temps pour que la mise en œuvre des activités ne soit pas retardée.
  4. La définition d'une structure de pilotage fonctionnelle pour le partenariat est indispensable dès le début.
Mise en place d'un mécanisme de gestion et d'un mode de travail sains

Le gouvernement provincial de Guizhou a attaché une grande importance à la mise en œuvre du "système de chef de rivière" et a mis en place un mécanisme de gestion solide. Il a intégré et réparti de manière scientifique et raisonnable les pouvoirs, les responsabilités et l'évaluation des performances des départements liés à l'eau. a innové en établissant un "système de chef de rivière" à cinq niveaux et un "système de double chef de rivière" à quatre niveaux, en créant un bureau indépendant, en organisant des réunions conjointes et en mettant en œuvre une gestion globale multidépartementale, etc. La supervision, la gestion, l'évaluation et la responsabilité segmentées ont permis d'intégrer l'exécution des gouvernements locaux à tous les niveaux. À la fin de l'année 2017, la mise en place du mécanisme de gestion du "système de chef de rivière" était pratiquement achevée. Depuis 2018, l'agence de gestion de la zone panoramique de Huangguoshu répond à la demande du gouvernement, en utilisant un mode systématique et complet pour renforcer la coordination globale entre les départements et les industries, et pour restaurer et gérer l'environnement écologique des ressources en eau.

En outre, l'embauche du chef de rivière non gouvernemental a encouragé le public, en particulier les communautés locales et les populations autochtones, à participer, de sorte que le gouvernement et le public forment un bon mode de travail.

  1. Adhérer au mode de travail systématique et global, en créant un mécanisme de coopération efficace entre les gouvernements et les publications.
  2. Veiller à ce que chaque rivière soit confiée à un chef de rivière individuel, avec ses propres dossiers, afin de réaliser le principe "une rivière, un dossier".
  3. Réaliser des percées et des innovations en fonction des conditions locales, et persister dans l'orientation des problèmes sur la base des objectifs généraux.
  4. Organiser des réunions régulières pour résumer l'expérience acquise.
  5. Élaborer un plan spécial de vulgarisation de l'enseignement scientifique afin d'encourager la participation du public.
  1. Remplir les fonds spéciaux: La zone panoramique de Huangguoshu doit mener des expériences et des explorations fructueuses pour fournir un soutien financier à la promotion du "système du chef de rivière", comme la mise en place d'un système de financement de la récompense du chef de rivière, l'introduction de l'investissement en capital social, la promotion du mécanisme de compensation écologique, l'expansion des canaux d'obtention de fonds spéciaux par des moyens basés sur le marché, le développement de l'activité de crédit vert, etc.
  2. Renforcer l'éducation et la publicité pour encourager le public à participer davantage: Les gouvernements locaux à tous les niveaux doivent développer et élargir l'équipe de conservation de l'eau en recrutant des superviseurs de rivière bénévoles non gouvernementaux et en embauchant des nettoyeurs de rivière. Le mécanisme de gestion du "système de chef de rivière" doit fondamentalement parvenir à un développement sain, avec une couverture complète du bassin fluvial, un mécanisme de fonctionnement sans heurts et la coordination de l'avancement de plusieurs sujets.
  3. Être plus proactif: Le chef de rivière doit passer du "contrat de responsabilité" obligatoire à l'exercice conscient de ses fonctions afin de garantir l'efficacité à long terme du système de chef de rivière.