La "promenadologie", une philosophie qui permet de découvrir les lieux patrimoniaux d'une autre manière

La mise en œuvre des principes liés au tourisme lent et la création de trois itinéraires urbains verts (l'un axé sur la ville des Médicis, l'autre sur les composantes médiévales, le troisième sur les collines et l'environnement) ont également été liés au concept de "Promenadologie", la science de la flânerie, une philosophie visant à améliorer les perceptions et les expériences environnementales par le biais de la marche. Dans le cas de la voie verte, la "promenadologie" constitue une autre façon de découvrir le lien entre les deux sites du patrimoine mondial, ainsi que les relations entre les éléments naturels et culturels, uniquement à pied ou à vélo. La promenade devient un outil puissant pour réfléchir aux qualités esthétiques et sensorielles du patrimoine et de la nature, en comblant le fossé entre les visiteurs et l'environnement qui les entoure.

L'appréciation des éléments naturels et culturels à pied et à vélo, et plus particulièrement par le biais de promenades, est rendue possible grâce à la création d'itinéraires ad hoc reliant des jardins et des espaces verts sélectionnés et déjà connus pour leurs caractéristiques esthétiques. Ces itinéraires relient les jardins de Bardini, Boboli et Bobolino, en passant par les collines du quartier de l'Oltrarno et la Villa di Poggio Imperiale. La promenade est enrichie par l'absence de pollution et de circulation, plaçant le bien-être des visiteurs au cœur du projet.

L'établissement de liens entre les biens du patrimoine mondial, les jardins urbains et historiques et les quartiers moins connus au moyen d'un itinéraire de promenade s'est avéré être une stratégie efficace pour encourager les voyages durables et uniques. La science de la promenade (Promenadologie) permet d'encourager le tourisme lent et vert, le développement économique et durable de différentes parties de la ville en dehors du centre-ville, et le bien-être des utilisateurs, qui ne sont pas affectés par les embouteillages ou la pollution sonore et atmosphérique. En outre, les itinéraires favorisent une nouvelle façon de vivre la ville sans être surstimulé par les apports sensoriels, les activités et les informations dans le centre historique, ce qui favorise une réflexion plus simple et interne sur le dualisme homme/nature.

Création de partenariats interinstitutionnels entre les autorités, les parties prenantes et les sites du patrimoine mondial

Greenway Florence se caractérise par la coordination réussie d'organismes de recherche, de la municipalité de Florence, d'acteurs privés et d'institutions patrimoniales, qui ont formalisé un partenariat interinstitutionnel afin de gérer, d'entretenir et de promouvoir le projet. Les partenaires impliqués sont l'association "Firenze Greenway", la Fondazione Parchi Monumentali Bardini e Peyron, HeRe Lab - Heritage Research, la municipalité de Florence (département du tourisme, direction des activités économiques et du tourisme, direction de la culture et du sport, département et direction de l'environnement, bureau "Florence patrimoine mondial et relations avec l'UNESCO"), la Fondazione CR Firenze et la Galerie Uffizi.

Le système de gouvernance et les partenariats entre les parties prenantes seront formalisés par un protocole d'accord et un système de billetterie intégré, ainsi que par un itinéraire à travers les jardins appartenant à diverses institutions : le jardin Bardini (Fondazione CR Firenze), les jardins Boboli (Galerie des Offices) et le jardin Bobolino (municipalité de Florence).

La voie verte est un projet réussi qui rassemble différentes institutions privées et publiques par le biais d'un protocole d'accord planifié et d'un billet intégré. L'implication de toutes les parties et de tous les acteurs a permis de garantir que les itinéraires incluent toutes les composantes naturelles et culturelles qui les constituent.

La "campagne urbaine" : une approche pour relier la nature et la culture

Le concept de campagne urbaine est devenu essentiel ces dernières années pour surmonter le dualisme traditionnel entre la ville et la campagne, en encourageant des approches holistiques. La création d'itinéraires reliant les espaces verts urbains, le centre historique de Florence et les villas des Médicis constitue une approche réussie pour découvrir les centres urbains de manière durable et relier la zone centrale et la zone tampon des deux sites du patrimoine mondial. La "campagne urbaine" est devenue une solution pour répondre au besoin d'espaces verts dans les villes, tout en plaçant le bien-être des visiteurs au centre de ses préoccupations.

Outre l'établissement et la création d'itinéraires physiques, la jouissance de la campagne urbaine et la valorisation des espaces verts urbains sont rendues possibles par des actions de requalification (par exemple, la restauration des rampes grâce à des fonds fournis par la Fondation CRF en 2018). Ces initiatives visent à renforcer l'importance des quartiers non inclus dans les itinéraires traditionnels grâce à la restauration et à l'entretien des éléments physiques, à l'installation de panneaux de signalisation, ainsi qu'à une série d'activités de recherche et de promotion.

L'intégration des espaces verts urbains dans les processus patrimoniaux et les services culturels est une pratique qui permet de comprendre et d'apprécier les espaces urbains dans leur globalité. Les villes sont désormais considérées non seulement comme un ensemble d'éléments bâtis, mais aussi comme l'interrelation entre la nature et les hommes. Le bien-être des habitants peut donc être amélioré par l'aménagement et la valorisation des espaces verts, qui leur permettent de vivre des expériences alternatives, durables et respectueuses de l'environnement.

Recherche sur le patrimoine axée sur la pratique

Toutes les initiatives de HeRe_Lab suivent les objectifs et les cibles de l'Agenda 2030 pour le développement durable, ainsi que les principes stratégiques de la Convention du patrimoine mondial.

La collaboration entre les chercheurs et les praticiens, ainsi que leur implication directe dans les activités et les projets, a permis de créer une synergie étroite entre la recherche et la pratique en matière de patrimoine. Les chercheurs en patrimoine qui travaillent au laboratoire répondent aux défis et aux besoins pratiques par des études qui guident et améliorent la durabilité des stratégies et des systèmes de gestion. Parmi les analyses réalisées dans le cadre du bien du patrimoine mondial " Centre historique de Florence ", on peut citer l'identification des points du Belvédère et la création de la zone tampon du site, la publication du plan de gestion et de la stratégie de suivi, l'étude sur la capacité d'accueil du centre historique, l'inventaire des bâtiments à risque qui contribuent à la valeur universelle exceptionnelle du site, la création d'un protocole pour l'évaluation de l'impact sur le patrimoine (EIP) du site, la réalisation d'études pour une compréhension globale du patrimoine immatériel et religieux et l'étude préparatoire d'un portail sur l'évolution urbaine de la ville. Ces données sont devenues des outils pratiques et précieux utilisés dans les pratiques quotidiennes de gestion du patrimoine.

La synergie entre la recherche et la pratique du patrimoine est rendue possible par le modèle de gouvernance propre au Labo, qui réunit l'Université de Florence et la Municipalité de Florence dans le cadre de la Délibération du Conseil municipal n. 506/2015. En outre, le recrutement d'une équipe pluridisciplinaire de chercheurs permet d'étudier et d'aborder de manière adéquate le large éventail de défis qui se posent dans ce domaine.

La recherche sur le patrimoine basée sur la pratique s'est avérée être un outil essentiel pour répondre aux défis et aux besoins spécifiques des sites. L'un des points forts du modèle appliqué au sein du laboratoire est le principe selon lequel il s'agit d'une plateforme dans laquelle les chercheurs en patrimoine peuvent appliquer leurs études et méthodologies sur le terrain afin de contrôler leur applicabilité dans la vie réelle, et d'autre part, les praticiens du patrimoine peuvent avoir la chance de recevoir des données et des analyses précises pour guider leurs efforts et concevoir des solutions durables pour relever les défis pratiques. La recherche sur le patrimoine a donc joué un rôle prépondérant en répondant avec succès aux besoins spécifiques des sites exprimés par les praticiens sur le terrain.

Participation des nouveaux professionnels du patrimoine et des chercheurs

En offrant des opportunités d'emploi et de recherche, le HeRe Lab joue un rôle clé dans l'autonomisation des professionnels du patrimoine et des chercheurs émergents en Italie. Le laboratoire aide les professionnels émergents à travailler à long terme dans le domaine du patrimoine mondial, un domaine de travail qui est encore peu structuré et peu développé en Italie. Cela fait du HeRe Lab un exemple pionnier dans le pays.

Les professionnels et chercheurs émergents sont impliqués dans des projets de recherche pertinents et contribuent directement à la rédaction des plans de gestion des biens du patrimoine mondial situés en Toscane, aux évaluations d'impact sur le patrimoine, aux activités liées aux musées, aux conférences et projets internationaux, ainsi qu'à un large éventail d'activités directement liées à la recherche et à la pratique dans le domaine du patrimoine.

L'implication des nouveaux professionnels du patrimoine, l'un des points forts du modèle, est rendue possible par la création de bourses de recherche ad hoc (en italien "borse di ricerca") destinées à soutenir financièrement les chercheurs dans leurs activités. La demande de bourses de recherche est un processus très compétitif supervisé par des professeurs d'université, qui orientent le processus de sélection en fonction des figures professionnelles requises pour répondre aux besoins pratiques du terrain.

Le laboratoire est reconnu comme une bonne pratique et un exemple de développement de la jeunesse, car la participation de jeunes professionnels du patrimoine à la recherche contribue directement au développement durable en favorisant la croissance économique et en encourageant l'autonomisation des jeunes.

De plus, l'inclusion et l'implication de jeunes professionnels permettent l'application de méthodologies de recherche de pointe, tout en suivant une approche innovante et intergénérationnelle des pratiques patrimoniales.

Le laboratoire est une plateforme qui permet aux professionnels émergents de se développer et d'échanger des idées et des solutions avec des chercheurs chevronnés et des professionnels du patrimoine.

Création d'une équipe pluridisciplinaire

Le succès du HeRe Lab repose sur son équipe multidisciplinaire, composée de professionnels travaillant dans des domaines très variés tels que le patrimoine mondial, l'urbanisme, l'architecture, l'histoire de l'art, le développement et l'économie. L'université de Florence joue le rôle de catalyseur de leur implication, grâce à la participation de différentes facultés au laboratoire et à l'utilisation d'approches holistiques pour la création de solutions durables aux défis affectant le centre historique. Le laboratoire a également joué un rôle important dans la promotion de stratégies durables pour le développement de la ville, en tenant compte des espaces verts urbains, de l'inclusion sociale, de la protection du patrimoine matériel et immatériel, de la croissance économique, du tourisme durable, ainsi que de la requalification et de la mise en valeur des éléments architecturaux.

L'implication de professionnels d'horizons divers est le résultat de la participation de différentes facultés de l'Université de Florence, par le biais de la délibération du Conseil n. 506/2015, qui a formalisé le partenariat interinstitutionnel entre l'Université et la municipalité de Florence. Chaque faculté contribue à travers son propre pool de professionnels, de chercheurs et de ressources.

Les départements concernés sont les suivants : Architecture ; Économie et gestion ; et Histoire, archéologie, géographie, beaux-arts et arts du spectacle.

Le groupe de professionnels travaillant pour et en collaboration avec le laboratoire a permis une compréhension plus complète de l'importance du site, de ses attributs et de ses défis. Cela a également contribué à la mise en place de solutions durables visant à résoudre les problèmes affectant le site en tenant compte du contexte urbain plus large, grâce à l'application de méthodes et de recherches issues de différentes disciplines.

Mise en place d'un modèle de gouvernance partagée entre l'université et la municipalité

La gouvernance partagée établie dans le HeRe Lab a assuré la création de synergies systémiques entre les autorités municipales et les institutions de recherche, dans lesquelles le chef du bureau "Patrimoine mondial de Florence et relations avec l'UNESCO" de la municipalité de Florence et le doyen du département d'architecture de l'université de Florence agissent en tant que coordinateurs scientifiques. Ce partenariat a créé un modèle innovant dans lequel la recherche sur le patrimoine et la pratique sont entrelacées et la recherche produite répond aux défis pratiques qui se posent sur le terrain.

Le laboratoire a été créé grâce à un protocole d'accord entre le département d'architecture de l'Université de Florence et la municipalité de Florence, qui a été officialisé par la délibération du conseil municipal n. 506/2015.

Le plan de gestion du site du patrimoine mondial, ainsi que son suivi, parmi les principales activités du laboratoire, sont financés par la loi 77/2006 "Mesures spéciales pour la protection et la mise en valeur des sites culturels, paysagers et naturels italiens, inscrits sur la "Liste du patrimoine mondial", sous la protection de l'UNESCO".

La création du HeRe_Lab - Heritage Research a permis l'adoption d'une approche multidisciplinaire et holistique pour la gestion du bien du patrimoine mondial qu'est le "Centre historique de Florence".

Les résultats positifs ont permis de réunir différentes parties prenantes, autorités et institutions, qui sont soutenues dans le développement de stratégies patrimoniales et de pratiques de gestion. Par conséquent, l'ensemble des activités menées par le laboratoire et son modèle de gouvernance attirent désormais de nouveaux acteurs, fonds et projets et élargissent son champ d'action.

Hortimare - un partenaire essentiel pour Kelp Blue.

Hortimare, une société basée aux Pays-Bas, est l'une des rares entreprises au monde à se spécialiser dans la génétique, la reproduction et la propagation des algues marines. Hortimare travaille avec Kelp Blue pour créer du matériel de départ, augmenter le rendement et mener des recherches sur les meilleures techniques de culture de l'espèce Macrocystis pyrifera.

Holtimare dispose d'un laboratoire ultramoderne aux Pays-Bas et d'une équipe expérimentée et hautement qualifiée, spécialisée dans l'élevage et la propagation des algues. Hortimare est un consultant technique externe qui aide Kelp Blue à mettre en place et à développer une écloserie en Namibie et à former une main-d'œuvre locale pour la faire fonctionner. Ils collaborent également avec Kelp Blue en matière d'approvisionnement, de collecte et de méthodes de culture. Ils collaborent également à la création d'une banque de semences de laminaires géantes pour une utilisation future.

L'élevage de jeunes plants de varech est une première étape essentielle dans la culture des algues. Il n'existe pas de banque publique de semences de Macrocystis. Kelp Blue a donc dû travailler avec des partenaires du monde entier pour collecter de manière durable des spores sur des lits de varech sauvage et les transporter aux Pays-Bas où Hortimare optimise ensuite le système d'écloserie et la technique d'ensemencement de Kelp Blue afin d'obtenir un rendement prévisible et constant. Ils partagent toutes les informations nécessaires à la réussite de l'exploitation. Les deux parties y trouvent leur compte. Hortimare obtient de plus en plus de données et de connaissances fiables qui lui permettent de développer une certaine norme et Kelp Blue peut traduire ses découvertes en prévisibilité de l'exploitation.

L'approvisionnement durable en matériel, un programme d'élevage et une écloserie bien installée sont la pierre angulaire de tout projet d'élevage de seweed.

Gestion participative

La gestion participative a été mise en œuvre depuis la création de l'APN à la demande de ses communautés, dans leur intérêt et dans celui des générations futures ; toutefois, au fil du temps, ce dynamisme s'est concentré sur la conservation avec la participation spécifique de ses communautés.

Les plans de vie sont un processus participatif qui permet d'obtenir l'avis des membres de la communauté, en réfléchissant à chaque dimension (culturelle, environnementale, sociale, politique et économique), ce qui permet d'établir un diagnostic afin de coordonner les actions visant à un comportement durable, qui sont également alignées sur les objectifs et la vision du plan directeur de l'APN.

Ces visions contribuent à des actions plus pertinentes qui aident à s'articuler avec d'autres documents de planification sur le territoire et à l'implication d'un plus grand nombre d'acteurs dans le cadre d'une stratégie clé pour parvenir à une conservation efficace.

Le chef de la MRC et l'ECA Maeni développent des capacités techniques et sociales qui favorisent la participation active des communautés dans l'élaboration et la mise en œuvre des plans de vie, orientés vers la conservation du NPA.

  • Une plus grande implication des communautés dans la conservation du NPA.
  • Le leadership de la MRC et de l'ECA Maeni tend vers des alternatives durables.
  • Les communautés sont renforcées dans la gouvernance, ce qui leur permet d'être plus participatives dans différents espaces, en faisant connaître leur approche du développement indigène.
  • Les communautés sont conscientes de leur rôle principal en tant qu'exécutants dans les processus de mise en œuvre du PDV et encouragent l'implication d'autres acteurs dans des rôles d'orientation, tels que les fonctionnaires.
  • L'implication des communautés est essentielle, d'autant plus si elles sont renforcées et participent en faisant connaître leur vision et leurs priorités, en promouvant des projets durables qui évitent les pressions à l'intérieur de la ZNP. C'est pourquoi la MRC est actuellement impliquée dans les plans de développement concertés des municipalités de Megantoni et d'Echarati.
  • Les expériences de plans de vie sont reproduites dans d'autres communautés.
  • Les espaces de participation tels que la table ronde multisectorielle du PDV, en tant que promoteur de l'élaboration et de la mise en œuvre de ces plans, recherchent une dynamique d'opportunités et de meilleures interventions, en optimisant les ressources, le temps et la visualisation du PNA.
  • La visualisation de l'expérience du PDV apporte des opportunités de renforcement technique, économique, social, environnemental et culturel des entités publiques et privées.
  • La communication avec les communautés est améliorée grâce à l'approche du processus de construction et de mise en œuvre des plans de vie.
Conservation de la biodiversité

La réserve communale de Machiguenga maintient un état de conservation de l'écosystème de 98,8161%, avec un modèle de cogestion avec l'ECA Maeni qui représente 14 communautés indigènes, 1 colonie et 3 fédérations (COMARU, FECONAY et CECONAMA). Pour que ce modèle fonctionne, il est nécessaire que les membres des communautés elles-mêmes promeuvent et encouragent la conservation pour leur propre bénéfice dans un idéal gagnant-gagnant, où la MRC conserve ses valeurs naturelles et culturelles et les communautés peuvent être renforcées dans leur propre système organisationnel et améliorer les possibilités d'emploi et de revenu grâce à des activités économiques durables.

La zone naturelle protégée et sa zone tampon sont des territoires où il existe une grande biodiversité de flore et de faune exploitée par les communautés, afin d'assurer la conservation et l'utilisation durable des ressources avec une approche paysagère associée.La vision de la zone s'articule avec la vision des communautés, en termes de gestion de leurs territoires et de gestion des ressources, c'est pourquoi les plans de vie reflètent leur façon de penser et de s'organiser et reflètent la façon dont elles veulent s'améliorer en recherchant le "bien vivre" à partir de leur propre forme de gouvernance.

  • Les communautés autochtones connaissent leur territoire et les zones d'utilisation des ressources naturelles et culturelles, et conservent leurs connaissances traditionnelles en matière de gestion forestière.
  • L'ICR promeut l'utilisation durable des ressources naturelles, en évitant les pressions sur le PNA et en conservant la biodiversité existante au profit de leurs communautés.
  • ECA Maeni connaît les priorités et la vision des communautés et, en collaboration avec les dirigeants de l'ICR, elle met en place des actions plus pertinentes.
  • Il est nécessaire que les zones naturelles protégées travaillent conjointement et intégralement avec les communautés, en tenant compte de la conservation du territoire et en connaissant les atouts environnementaux des communautés afin de promouvoir des actions qui profitent aux deux parties.
  • Afin de conserver la biodiversité existante dans la ZNP, il faut tenir compte du fait que les territoires des communautés font partie des zones où la faune se déplace et que, par conséquent, les deux zones sont également importantes.
  • La gestion du PAN doit être adaptée aux connaissances, aux priorités et au potentiel des communautés indigènes.