Obtention du consentement, adaptation du projet et communication

Une fois les communautés consultées, un processus de réflexion interne s'ouvre, sans la participation des organisations chargées de la mise en œuvre, au cours duquel les communautés décident de donner ou non leur accord au projet et définissent leur degré de participation au projet en fonction de l'intérêt qu'elles y portent.

Au cours du processus de réflexion, si des doutes ou des éclaircissements surgissent, le consultant est à la disposition des communautés pour les informer, sans recommander ni intervenir, mais seulement en fournissant des informations. Au cours de cette étape, si nécessaire, les communautés expriment leurs recommandations dans le cadre des activités du projet.

Conformément aux processus de gouvernance interne des communautés, elles donnent leur consentement et signent un protocole en présence d'acteurs invités tels que les autorités locales et les dirigeants d'organisations indigènes. L'événement est couvert par les médias locaux et nationaux.

  1. Une gestion adaptative du projet, avec une ouverture aux recommandations et une explication sincère des raisons pour lesquelles les demandes ne peuvent être satisfaites.
  2. L'octroi d'un temps de réflexion, sans conditions ni limites, afin que les communautés puissent décider de participer ou non à leur propre gouvernance, ou de conditionner leur participation.
  3. Le degré de confiance établi à partir de la socialisation au processus de consultation avec les communautés est fondamental pour l'obtention du consentement.
  1. Il est important de ne pas faire pression sur les communautés pour qu'elles décident de donner ou non leur consentement ; il est préférable de reprogrammer ou de prolonger le délai de mise en œuvre que d'obtenir un résultat indésirable.
  2. La socialisation, la consultation et le consentement créent, dans le contexte du projet, des attentes que le projet peut satisfaire, de sorte que la participation de la communauté devient active.
  3. Le maintien de la communication avec les communautés les incite à persévérer dans les activités du projet et permet de surmonter les difficultés qui peuvent survenir, en l'occurrence les effets de la pandémie et des tempêtes tropicales.
Processus de socialisation et de consultation à grande échelle

Afin de ne pas susciter d'attentes ou de contradictions parmi les différents acteurs présents dans la zone d'influence, avant le processus de consultation des bénéficiaires potentiels, un vaste processus de socialisation du projet a été mené avec les autorités locales, les organisations indigènes et les représentants des communautés, décrivant le projet, sa portée et son champ d'application.

Un diagnostic de la situation des communautés Lenca a ensuite été réalisé afin de renforcer la connaissance de leur culture et de déterminer les approches probables pour la consultation.

Sur la base du diagnostic et de la socialisation, le processus de consultations directes avec les communautés sur le projet, ses implications et la participation potentielle des communautés a été mis en place.

  1. Embauche d'un consultant d'origine Lenca, familier et expérimenté dans la méthodologie et les procédures de l'organisation chargée de la mise en œuvre (SNV).
  2. Mise en réseau et contacts favorables avec différents acteurs et leaders communautaires de l'organisation co-exécutrice (ASOMAINCUPACO).
  3. Une large consultation, sans exclusion et ouverte à l'adaptation des activités du projet pour répondre aux suggestions des communautés consultées.
  4. Respect des organisations indigènes, tout en laissant de l'espace aux communautés non organisées ou à des parties de celles-ci.
  1. Les communautés doivent avoir le temps de mûrir les informations qui leur sont fournies dans le cadre du processus de consultation.
  2. Une large socialisation crée un "environnement de confiance" et donne une image transparente du projet en termes de portée.
  3. Il était important pour les communautés que le projet envisage la sauvegarde de leurs pratiques ancestrales résistantes au climat et le respect de leur gouvernance interne.
Préparation de la consultation libre, préalable et informée (CLPI)

Lors de la phase de démarrage du projet et sur la base de l'analyse du contexte local, le processus de Consultation Libre, Préalable et Informée avec les communautés Lenca a été planifié et conçu.La préparation du CLIP a consisté à sélectionner les outils et instruments méthodologiques qui, validés dans la pratique institutionnelle de la SNV, permettraient une consultation dans un environnement propice à surmonter les défis imposés par le travail dans la zone d'influence du projet, caractérisée par la partialité et les intérêts étrangers qui ont généré une méfiance ou une perception de partialité à l'égard du projet.

  1. Disponibilité d'outils et d'instruments méthodologiques pour la mise en œuvre du CLIP (méthodologie de socialisation et de consultation, ethnographie, etc.
  2. Expérience professionnelle et réputation positive auprès des communautés indigènes de référence pour initier des contacts.
  3. Capital social avec les communautés Lenca du partenaire d'exécution ASOMAINCUPACO dans la zone d'influence du projet et de la SNV dans d'autres zones du pays.
  1. Les organisations autochtones ne représentent pas nécessairement ou ne sont pas nécessairement considérées comme légitimes par les communautés, même si une certaine partie de la communauté s'est organisée autour d'elles.
  2. L'ingérence d'acteurs étrangers ou à des fins politiques génère de la méfiance à l'égard des autorités locales, ce qui signifie qu'en dépit de leurs bonnes intentions, elles ne sont pas bien accueillies par les communautés.
  3. Le capital social et la réputation institutionnelle sont essentiels pour surmonter les ruptures dans le tissu social de la communauté car ils fournissent un niveau minimum de confiance sur lequel structurer le processus de consultation.
Gestion des connaissances et adaptation au changement climatique

Ce bloc fait référence à l'ensemble des activités et des processus qui renforcent l'échange d'informations et d'expériences liées à la conception, à la mise en œuvre et au suivi de la solution. Cela permet de construire une base de connaissances partagée susceptible de faciliter le processus d'adaptation et d'accélérer l'innovation et les changements/ajustements attendus.

Les principales activités sont les suivantes

  • Formation et entraînement des commissions pour récupérer les récits locaux qui entremêlent les acteurs, les perceptions, les expériences, les connaissances et les changements qui sont déclenchés tout au long du processus d'adaptation,
  • Systématisation de la solution pour identifier les leçons apprises et confirmer les résultats du processus.
  • Élaboration et diffusion de matériel à fort pouvoir de communication qui montre le territoire, les actions menées et les principaux protagonistes du processus d'adaptation.
  1. Comprendre que les bénéficiaires sont les principaux acteurs des processus d'adaptation au changement climatique.
  2. L'identification et l'écoute des récits des communautés permettent de reconnaître la résilience de leurs moyens de subsistance.
  3. La vulnérabilité aux inondations est différente pour les femmes et les hommes, de même que les stratégies et les capacités qu'ils mettent en œuvre pour y faire face.
  4. Les supports de communication doivent tenir compte des besoins et des capacités des différents groupes et renforcer leur participation et leur autonomie.
  1. L'adaptation au changement climatique est également un processus d'innovation et, en tant que tel, il s'agit d'un chemin et non d'une destination. Sa raison d'être est de rendre visibles les conditions qui augmentent la vulnérabilité d'un système d'intérêt et de proposer des solutions qui ont un impact positif sur la qualité de vie des personnes et des écosystèmes qui les soutiennent.
  2. C'est pourquoi la gestion des connaissances joue un rôle important, car elle génère un cycle vertueux d'apprentissage et d'amélioration des processus de gestion adaptative et de réduction des risques de catastrophes ; d'où l'importance de promouvoir une réflexion permanente sur la réalité et un flux de connaissances plus dynamique et vivant entre les bénéficiaires, les équipes techniques et le projet en général, ce qui permet de créer des solutions plus robustes.
Surveillance des citoyens

L'exercice de suivi citoyen SbN est un outil utile dans l'analyse de meilleures solutions alternatives pour les communautés locales, mais aussi pour promouvoir la bonne gouvernance et la transparence, car il permet aux citoyens de connaître les problèmes et les défis des actions d'adaptation basées sur les écosystèmes et de proposer des alternatives complémentaires pour améliorer l'organisation sociale, diversifier les activités économiques, de nouvelles pratiques de gouvernance, parmi d'autres :

  • de comprendre les problèmes et les défis des mesures d'adaptation fondées sur les écosystèmes et de proposer des alternatives complémentaires pour améliorer l'organisation sociale, diversifier les activités économiques et adopter de nouvelles pratiques de gouvernance, entre autres.
  • de susciter des attentes réalistes en matière d'action collective et de mieux comprendre leur rôle en tant que contributeurs au bien-être local.
  • Reconnaître la relation entre l'adaptation au changement climatique et le développement local qui répond aux besoins, aux demandes et aux réalités des groupes vulnérables.

-Les communautés d'apprentissage paysannes sont des groupes d'agriculteurs organisés par secteurs agricoles, dont les responsables sont chargés de coordonner la collecte d'informations sur la mise en œuvre de la mesure et le suivi de ses résultats.

Le suivi de la solution par les citoyens devrait être orienté vers la reconnaissance :

  • Les changements dans l'organisation institutionnelle du processus d'adaptation.
  • Les changements dans les conditions de vulnérabilité des moyens de subsistance agricoles (biophysiques, sociaux et économiques).
  • Les changements dans les conditions de résilience des moyens de subsistance (récupération en moins de temps, réduction des pertes et des dommages, meilleure connaissance des facteurs qui exacerbent les impacts des inondations, systématisation de l'expérience, de l'innovation et de la gestion adaptative).

Pour obtenir des résultats positifs, les responsables agricoles devraient être formés pour :

  • obtenir des informations locales de qualité
  • sélectionner soigneusement les données en fonction de chaque composante du suivi
  • valider soigneusement les informations avec l'aide des techniciens de terrain
  • structurer les informations sur la base de la plate-forme Datlas
Adaptation fondée sur les écosystèmes (EbA), avec une approche axée sur les moyens de subsistance durables

Le bloc montre les actions qui ont été suivies pour établir la relation entre les moyens de subsistance et les écosystèmes, en mettant l'accent sur les avantages qu'ils fournissent : les services et les fonctions qui constituent la partie la plus importante du capital naturel de nos communautés.

Renforcement des capacités en matière d'adaptation fondée sur les écosystèmes (EbA)

  • L'approche EbA a guidé l'analyse de la vulnérabilité des moyens de subsistance, le choix des mesures d'utilisation de la biodiversité et des services écosystémiques, en montrant comment ils aident les personnes et leurs moyens de subsistance à s'adapter aux effets néfastes du changement climatique, ainsi que les indicateurs de suivi de la solution.

Actions sur le territoire

  • Création de deux pépinières communautaires avec une production de 9 226 plantes indigènes qui permettent de reboiser 67,5 ha de zones riveraines.
  • Participation aux bénéfices dérivés de la restauration des zones riveraines.
  • Le reboisement communautaire des zones riveraines contribue à la santé, aux moyens de subsistance et au bien-être des communautés locales, en tenant compte des besoins des femmes et des personnes pauvres et vulnérables.

Il a permis de mieux comprendre l'importance d'enrayer la perte de biodiversité et de réduire de manière significative sa dégradation et sa fragmentation, et de s'assurer que ces écosystèmes continuent à fournir des services essentiels contribuant au bien-être des communautés agricoles de la municipalité.

  • N'oubliez pas que nous travaillons avec des systèmes socio-écologiques, c'est-à-dire des personnes et des moyens de subsistance liés aux biens et aux services nécessaires au maintien de la vie.
  • L'évaluation des services écosystémiques en tant qu'outil d'adaptation permet de reconnaître la contribution des écosystèmes au bien-être humain et de comprendre comment ils contribuent à réduire les conséquences des effets du changement climatique.
  • Bien que la solution EbA favorise les communautés, il est nécessaire de l'établir dans le cadre d'une stratégie d'adaptation plus large qui tienne compte du fait qu'il existe des conditions sociales, économiques et institutionnelles qui exercent une pression sur les systèmes socio-écologiques municipaux et qui doivent donc être modifiées pour avoir un impact réel sur la réduction de la vulnérabilité.
Renforcement des capacités pour la mobilisation et l'autonomisation des groupes vulnérables

Ce bloc vise à générer des outils permettant de comprendre et d'évaluer les impacts et les opportunités qu'offrent la biodiversité et l'adaptation au changement climatique basée sur les écosystèmes face aux conditions du changement climatique. À cette fin, trois types de processus de formation ont été développés :

Évaluation des services écosystémiques

  • Sensibilisation au rôle des services des écosystèmes riverains dans la réduction de la vulnérabilité des moyens de subsistance aux inondations

Amélioration de la résilience des moyens de subsistance face au climat,

  • Ateliers pour l'élaboration de chaînes d'impact (analyse par les communautés de la vulnérabilité de leurs moyens de subsistance)
  • Ateliers pour définir et prioriser les actions d'adaptation au changement climatique
  • Réunions de travail pour l'analyse et le développement de la stratégie de mise en œuvre.

Actions sur le territoire

  • Formation de l'escadron AbE (groupe de femmes et d'hommes chargés de la collecte de semences, de la localisation des sites à reboiser et de la planification des activités à cet effet).
  • L'approche des moyens de subsistance a permis de reconnaître les aspects sociaux, économiques et culturels qui affectent la vulnérabilité au changement climatique.
  • L'évaluation communautaire des services écosystémiques a permis d'identifier leur pertinence dans la réduction de la vulnérabilité des moyens de subsistance, rendant la mesure durable.
  • La participation des comités municipaux et des comités d'Ejido a permis de renforcer les réseaux de travail et de collaboration horizontaux et verticaux.

La récupération des connaissances, pratiques et innovations locales orientées vers la gestion des zones agricoles et riveraines face aux inondations (obtenues à partir d'enquêtes et de l'analyse des perceptions des communautés) est une base fondamentale pour la conception, la mise en œuvre et le suivi de la solution proposée.

Une solution basée sur la nature ne néglige pas les problèmes principaux et les plus ressentis par la population et les moyens de subsistance municipaux, avec une approche participative et de genre.

Le processus de conception et de mise en œuvre a également été très participatif. Des possibilités de participation ont été créées pour les hommes et les femmes de l'Ejido grâce à un processus de renforcement des capacités qui intègre l'expérience communautaire, le savoir-faire technologique et de nouvelles perspectives sur le territoire.

Renforcement institutionnel et gouvernance des actifs naturels

L'objectif de ce bloc était de créer un environnement propice au plaidoyer en faveur de l'adaptation des systèmes naturels et sociaux municipaux qui sont vulnérables aux impacts climatiques actuels et futurs. Pour ce faire, deux composantes ont été travaillées :

Conditions favorables

  • Ateliers visant à intégrer les valeurs de la biodiversité dans les stratégies d'adaptation au changement climatique et les processus de planification du développement municipal, et à réduire les conditions socio-économiques et environnementales qui exacerbent les impacts climatiques.
  • Mise en place d'accords et de synergies entre les ejidos, les autorités municipales, étatiques et fédérales, ainsi que les centres d'éducation et de recherche pour soutenir l'intégration de l'adaptation basée sur les écosystèmes dans la planification du développement municipal et améliorer la gouvernance des actifs naturels.

Mécanismes de coordination

Consolidation des réseaux horizontaux et verticaux par le biais de groupes de consultation et de travail qui ont facilité le développement du processus d'adaptation :

  • Le groupe de travail d'experts.
  • Le conseil municipal d'adaptation
  • Le groupe de travail communautaire
  • Les communautés d'apprentissage paysannes

Cette composante est fondamentale car elle apporte un soutien juridique, technique et programmatique à la solution, ce qui permet de l'intégrer dans la planification municipale et d'aborder un domaine qui n'a pas été traité dans la municipalité d'Armería : l'élaboration de plans d'action climatique, qui a permis d'assumer des responsabilités municipales en matière de changement climatique.

La mise en place d'un environnement favorable à la mise en œuvre de mesures d'adaptation au changement climatique nécessite plusieurs éléments :

  • utiliser les connaissances scientifiques pour effectuer des analyses de vulnérabilité de l'agriculture aux inondations et aux pressions directes sur les écosystèmes riverains, et fournir des conseils pour l'élaboration de mesures de protection environnementales, sociales et sexospécifiques
  • cibler les objectifs de développement municipaux susceptibles d'être affectés par les inondations, intégrer les objectifs et les critères d'adaptation dans la planification et la budgétisation municipales afin de fournir les éléments nécessaires à la mise en œuvre de la solution.
  • Considérer les dirigeants des ejidos et des communautés comme des acteurs clés de la médiation entre les autorités municipales et les collectifs d'agriculteurs contribuant à la mise en œuvre de la solution.
  • L'inclusion d'une composante de surveillance citoyenne permet d'assurer la durabilité de la mesure et l'implication empathique et proactive des communautés concernées.
Suivi et gestion adaptative

Le suivi régulier du programme d'écotourisme du PN NEPL est essentiel pour garantir les objectifs de conservation ainsi que la satisfaction continue des visiteurs et, par conséquent, la durabilité globale du projet. Le programme d'écotourisme du PN NEPL surveille les informations suivantes :

  • Lasurveillance de la faune est adaptée à la zone d'écotourisme et incorpore tout ou partie des techniques suivantes : Piégeage par caméra, enregistrement par GPS de toutes les observations directes/indirectes, enregistrement des espèces dans les observations directes.
  • Lesdonnées financières sont saisies dans le système pour chaque excursion et sont analysées sur une base mensuelle et annuelle.
  • Lesdonnées relatives aux réactions des visiteurs sont recueillies auprès de tous les visiteurs après chaque excursion et permettent d'identifier et d'améliorer les services d'excursion dans les meilleurs délais, tout en offrant la possibilité d'envisager de nouvelles idées et de nouveaux besoins d'amélioration.
  • Les données surl'arrivée et le profil des visiteurs sont collectées auprès de tous les visiteurs lors de chaque visite et permettent d'identifier les tendances et le profil des visiteurs et donc de mieux comprendre et communiquer avec le marché, ainsi que d'identifier de nouvelles opportunités.
  • Formulaires de collecte de données
  • Systèmes de surveillance de la faune (observations directes, piégeage par caméra, etc.)
  • SMART (outil de surveillance spatiale et de rapport)
  • Les systèmes de collecte de données doivent être simples à utiliser et directs,
  • Les données recueillies sur l'écotourisme peuvent être utiles à la gestion du parc national, en particulier les données sur la faune et les observations sur l'application de la loi.
Application de la loi

Deux postes de gardes forestiers sont situés dans les deux sites d'écotourisme du PN NEPL. Les équipes chargées de l'application de la loi dans la zone d'écotourisme appréhendent les activités illégales, protègent les infrastructures touristiques et fournissent des données pour le calcul du fonds de bénéfices de l'écotourisme. En outre, les écotours du PN NEPL profitent au programme d'application de la loi du PN NEPL grâce aux activités suivantes : (1) présence régulière dans le PN NEPL, (2) identification des activités illégales, (3) communication des règlements de la zone protégée aux communautés et aux visiteurs, (4) surveillance des activités illégales, (5) surveillance des activités illégales, (6) surveillance des activités illégales, (7) surveillance des activités illégales.

  • Équipes mobiles de gardes forestiers
  • Stratégie en matière de répression, ressources financières et humaines
  • Poursuites judiciaires
  • Une présence active des forces de l'ordre est essentielle dans les zones de tourisme animalier, alors que le simple développement du tourisme animalier ne conduit pas automatiquement à une réduction des menaces ou à une amélioration des niveaux de protection de la faune et de la flore.
  • En raison de ressources financières et humaines limitées, la présence des forces de l'ordre peut ne pas être répartie de manière égale dans l'ensemble de la zone écotouristique. Il peut donc être nécessaire d'incorporer des mécanismes de contrôle supplémentaires qui peuvent être évalués de manière égale, par exemple le contrôle des efforts de la communauté en ce qui concerne l'empiètement des terres en comparant le plan d'utilisation des terres et les images satellites.