Participation de la communauté à la protection de la biodiversité
Les activités de développement des capacités comprennent : - la formation des habitants à la collecte de données : Cela comprend la formation des contrôleurs à l'utilisation des outils de contrôle, y compris les caméras numériques, le GPS, les rubans de mesure, le remplissage des formulaires de contrôle - Sensibilisation : L'organisation d'ateliers et de séminaires au cours desquels les habitants reçoivent les informations/éducations appropriées sur la nécessité de conserver la biodiversité du pays et sur les avantages qu'ils tireront de la conservation de leurs ressources. - Le paiement d'indemnités : Les allocations versées aux moniteurs leur permettent de subvenir à certains de leurs besoins quotidiens à leur domicile.
- Identifier les habitants appropriés pour la formation : recrutement basé sur l'intérêt pour l'effort de conservation - Fournir la formation appropriée : comprend l'utilisation des outils de surveillance, le remplissage des formulaires de surveillance et la fourniture de brochures - Vérification régulière des formulaires : aide à corriger les erreurs et indique l'importance des formulaires - Matériel de sensibilisation : motive la communauté - Paiement en temps voulu des allocations : encourage les surveillants et garantit que leur effort est récompensé.
- Il a été observé que le fait de traiter avec des locaux qui sont prêts à travailler sur votre projet facilitera la réalisation des objectifs du projet - Produire et distribuer le matériel de sensibilisation approprié en temps opportun facilitera le processus de sensibilisation. Le RAP-SL a déjà produit des brochures, des t-shirts, des panneaux d'affichage et des calendriers.
Participation de la communauté à la collecte de données
Le Reptile and Amphibian Program - Sierra Leone (RAP-SL) identifie et forme les habitants à la collecte de données. Une fois formés, ils reçoivent des dossiers étanches, des crayons, des fiches de données, des rubans de mesure, des étiquettes et des applicateurs (une sorte de pince utilisée pour appliquer les étiquettes sur les nageoires des tortues) pour effectuer la surveillance des plages de nidification pendant six mois (de novembre à avril). Les observateurs embauchés surveillent les nids jusqu'à l'éclosion. Le jour de l'éclosion, les surveillants comptent les tortues qu'ils trouvent sur la plage et les regardent aller à l'eau. Un autre groupe d'habitants formés à cet effet effectue une surveillance des prises accessoires pendant 12 mois dans les communautés de pêcheurs. Ils mesurent les tortues capturées (longueur et largeur), les marquent et les relâchent si elles sont vivantes. Si la tortue capturée est morte, elle est enterrée. À la fin de l'année, les données recueillies sur le terrain sont introduites dans la base de données du RAP-SL. L'objectif principal de ce module est de collecter des données sur les tortues qui nichent afin d'identifier les espèces de tortues qui nichent sur les plages, et également de collecter des données sur les tortues capturées dans les filets de pêche en Sierra Leone.
Le succès de cet élément dépend de la qualité de la formation dispensée aux habitants sur l'exercice de collecte des données, du paiement régulier des indemnités aux contrôleurs et du niveau d'assistance accordé aux communautés par le biais de programmes de développement communautaire.
- Formation régulière des observateurs : il a été observé que la formation régulière des observateurs contribue à la qualité de la collecte des données et à la sensibilisation des observateurs aux questions soulevées par les habitants au cours de leurs tâches. - Développement communautaire : l'expérience montre que la mise en œuvre de programmes de développement communautaire au sein des communautés côtières permet d'établir une bonne volonté sur laquelle s'appuie l'intérêt pour les programmes de conservation. Il est préférable de démontrer les avantages pour l'ensemble de la communauté plutôt que de payer des pêcheurs individuels pour des services tels que la collecte de données sur les tortues relâchées. En ce qui concerne le développement communautaire, l'aspect qui n'a pas fonctionné est celui des microcrédits et du financement des entreprises communautaires. Dans la plupart des cas, certains locaux omettent délibérément de rembourser les sommes versées à la communauté pour son soutien ou son financement. Dans de nombreux cas, cette idée conduit à des litiges qui peuvent avoir un impact négatif sur les projets.
Réseau des coopératives de pêche méditerranéennes

Objectif

Un réseau informel de coopératives de pêche méditerranéennes a été mis en place dans les AMP de la Méditerranée.

Processus

Mise en place d'un atelier sur l'échange et le partage des connaissances et des méthodologies de gestion des AMP, au profit des coopératives nationales de pêche artisanale de la Méditerranée.

Mise en place d'un forum en ligne pour l'échange de connaissances, de méthodologies et d'impacts concernant le projet.

Mise en place et publication d'un guide populaire sur l'autogestion des AMP.

Mise en place d'une évaluation externe sur la capitalisation du projet.

La procédure d'échange et de partage a suivi les "normes ouvertes pour la pratique de la conservation" formulées en 2007 par le Conservation Measures Partnership.

Des cours d'informatique ont été organisés pour garantir une utilisation efficace du forum d'échange.

Il a été très utile de préparer deux versions d'un guide vulgarisé sur l'autogestion des AMP : l'une simplifiée, destinée aux pêcheurs, et l'autre plus détaillée, destinée aux gestionnaires, aux coordinateurs de projets et aux institutions.

  • Le forum doit être établi en consultation avec les pêcheurs et l'administration respective de l'aire marine.
  • À la suite du projet, plusieurs coopératives de pêche ont demandé la création d'une AMP selon les normes et l'approche utilisées par AGIR.
  • Recherche de financement pour la création de nouvelles AMP
  • Mise en place d'une évaluation externe sur la capitalisation du projet
Recherche et planification participatives par le biais d'une analyse systémique et prospective de la durabilité

Objectif

Afin d'impliquer les pêcheurs artisanaux dans la conservation des ressources naturelles, l'analyse réalisée a porté sur des sujets socioculturels, économiques et écologiques. L'objectif était de combler le manque de données pour permettre à toutes les parties prenantes de se rendre compte de la diminution initiale de la biodiversité et des solutions apportées par le projet.

Le processus

L'approche participative utilisée par cette étude a permis à toutes les parties prenantes d'accepter les résultats.

L'étude a été réalisée selon une approche systémique comprenant plusieurs composantes :

  • Scientifique : "Indicateurs socioculturels, économiques, écologiques".
  • Participative : l'étude a impliqué non seulement le porteur de projet, mais aussi les parties prenantes.
  • Prospective : l'étude a permis d'identifier des "scénarios actuels, potentiels et alternatifs".

L'analyse systémique a débouché sur un programme d'action intégré pour la gestion durable du secteur de la pêche artisanale dans l'aire marine du parc national.

  • La pêche artisanale représente l'une des principales activités économiques de la région. Accessoirement, elle améliore également la qualité de vie des agriculteurs le long du littoral méditerranéen.
  • Les principales contraintes à la croissance économique de la pêche artisanale ont un impact négatif sur la qualité des produits, en raison du manque d'infrastructures de débarquement et de commercialisation.
  • La fragmentation et l'isolement de la flottille, dont profitent les poissonniers, ne permettent pas aux pêcheurs de travailler dans des conditions satisfaisantes.

Il est nécessaire de minimiser les contraintes de croissance de la pêche artisanale confinée dans les zones de pêche du parc national. Le renforcement du matériel de pêche doit servir de motivation aux pêcheurs pour respecter notre plan de gestion intégrée.

La définition du secteur de la pêche artisanale reste une étape essentielle dans le processus de mise en œuvre d'un plan d'organisation commerciale, qui doit faire l'objet de propositions de projets futurs.

Sur le plan socioculturel, les villages de pêcheurs sont confrontés à un fort taux d'analphabétisme. La peur de perdre leur emploi se traduit par une fréquence élevée de braconnage, d'utilisation de dynamite ou de produits chimiques et de pêche illégale.

Il serait souhaitable de définir un nouveau plan de zonage pour l'aire marine du parc national, qui réponde aux préoccupations de conservation écologique et pas seulement à celles des ressources halieutiques. Cela garantirait un développement durable pour une future approche de suivi et d'évaluation participative.

Gestion commerciale durable des ressources marines dans les AMP

Objectif

La qualité de vie des pêcheurs artisanaux s'est améliorée d'environ 30 % dans la zone côtière de l'AMP grâce à une bonne gestion des ressources. L'AMP contribue également à l'augmentation des revenus grâce à la mise en œuvre d'une stratégie participative visant à commercialiser les produits de la pêche.

Processus

Les coopératives de pêcheurs organisent des ateliers participatifs visant à définir une stratégie de commercialisation des produits de la pêche artisanale. L'objectif est de réduire la pression globale exercée par la pêche dans l'aire marine du parc national.

Création de "fonds de rotation pour la pêche" afin de soutenir les activités génératrices de revenus. Ces fonds sont mis à la disposition des coopératives de pêcheurs opérant dans la zone marine du parc national, mais aussi de leurs épouses.

  • L'établissement d'un climat de confiance entre les communautés et les partenaires étatiques et institutionnels, avant le lancement du projet.
  • La création d'un fonds rotatif destiné à soutenir la stratégie de commercialisation des produits de la pêche issus de l'aire marine du Parc national.
  • Le fonds permet de soutenir le lancement et l'accompagnement d'un projet de valorisation des prix et de la qualité, au profit de la coopérative des femmes et filles de pêcheurs.
  • Les fonds rotatifs pour la pêche servent à assurer l'autonomie administrative et financière des coopératives.
  • Les activités du programme visant à mettre en œuvre une stratégie de commercialisation des produits de la pêche des pêcheurs artisanaux opérant dans l'aire marine du parc national doivent être préparées en consultation avec l'administration.
  • L'implication de la population locale est également très importante pour la réussite du projet. Au moins vingt membres du bureau exécutif de la coopérative de pêcheurs artisanaux ont été soutenus et formés pour leur permettre de contribuer à la stratégie de commercialisation des produits de la pêche provenant des coopératives de pêcheurs opérant dans l'aire marine du parc national. Cela a permis de réduire de 30 % la pauvreté d'environ 1 200 pêcheurs artisanaux.
  • La viabilité financière du projet est assurée par la planification participative et le soutien des communautés locales à la stratégie de commercialisation durable de leurs produits de la pêche.
Gestion communautaire des zones interdites à la pêche dans les AMP

Objectif

Les pêcheurs artisanaux de trois coopératives sont formés et impliqués dans le plan de gestion des ressources de l'aire marine du parc national.

Processus

Organisation de 2 x (3) sessions de formation sur la planification participative comme outil de gestion des ressources dans l'aire marine du parc national.

Proposition de zones d'interdiction de capture ou de zones de pêche réservées (FRA) dans l'aire marine du parc national.

Un rapport de suivi des captures dans l'aire marine du parc national est en cours de préparation en collaboration entre les pêcheurs qui ont fourni les données et l'équipe d'AGIR qui a rédigé le rapport, lequel a servi à évaluer les bénéfices du projet.

  • L'établissement d'un climat de confiance entre les communautés et les partenaires étatiques et institutionnels, avant le lancement effectif du projet.
  • La validation des zones d'interdiction de pêche ou des FRA par les pêcheurs et les autorités respectives.
  • Le rapport de suivi des captures de produits de la pêche dans l'aire marine du parc national doit être communiqué aux pêcheurs d'AGIR par les experts afin d'évaluer les bénéfices du projet.
  • Les activités (suivis hebdomadaires sur le terrain et prise en charge participative des espèces) préparées en collaboration avec l'administration, ont permis une augmentation des ressources halieutiques de 30 %.
  • L'implication des acteurs locaux et nationaux dans la restauration des biotopes et des espèces a permis une restauration allant de 20 à 30 % selon les espèces et les écosystèmes.
  • Le choix de zones d'interdiction de pêche a été fait par les pêcheurs pour lutter contre la pêche illégale. Les zones de non prélèvement correspondent aux zones marines proches des falaises touchées par le braconnage et la pêche à la dynamite.
  • Il est nécessaire que les ateliers tiennent compte de l'emploi du temps des pêcheurs (pendant les périodes de mauvais temps ou les pauses).
  • Il est nécessaire qu'au moins 60 % des pêcheurs artisanaux soutiennent les zones d'interdiction.
Participation des parties prenantes à la gestion des zones marines

Objectifs

  • Améliorer les connaissances sur les espèces menacées en menant des recherches et des suivis ciblés.
  • Impliquer les communautés locales dans la gestion des ressources côtières et marines, des biotopes et des populations menacées.

Déroulement du projet

Un atelier a été organisé pour lancer le projet et établir un climat de confiance entre les parties prenantes. Au moins 50 représentants de la Gendarmerie, de la Direction des Pêches Maritimes du Haut Commissariat aux Eaux et Forêts et à la Désertification, des communautés locales de pêcheurs et de l'ONG AGIR ont participé à l'atelier participatif.

Un comité de gardiennage multipartite a été élu afin d'impliquer toutes les parties prenantes. Le comité est présidé par le gouverneur de la province d'Al Hoceima.

L'équipe d'AGIR et les pêcheurs sont équipés pour participer à une étude de suivi et d'évaluation participative concernant l'état de conservation des ressources et de l'habitat. Le suivi des espèces phares menacées est mené en coordination avec les autorités compétentes.

Des visites de terrain hebdomadaires ont été organisées pour le suivi du programme de surveillance et de contrôle des activités illégales dans l'AMP.

Un rapport scientifique reflète le nouvel état de conservation (restauration de l'habitat, espèces menacées et ressources marines).

  • L'établissement d'un climat de confiance entre les communautés et les partenaires étatiques et institutionnels, avant le lancement effectif du projet
  • La maîtrise des méthodes de gestion adaptative et l'éducation participative d'un grand nombre de pêcheurs artisanaux
  • L'organisation d'ateliers participatifs pour identifier et corriger les menaces qui pèsent sur l'ensemble de l'écosystème
  • Les sorties hebdomadaires de suivi et d'entretien participatif doivent être préparées en concertation avec l'administration
  • Afin d'impliquer la population locale, au moins vingt participants, parmi lesquels des pêcheurs artisanaux des coopératives, sont soutenus et éduqués. Cette éducation vise à leur donner les moyens de contribuer aux études de suivi et d'évaluation participative de l'état de conservation des ressources et des habitats et au suivi des espèces phares menacées.
  • Il est nécessaire que les ateliers tiennent compte de l'emploi du temps des pêcheurs (pendant les périodes de mauvais temps ou les pauses).
  • Au moins 30 % de la population locale doit être touchée par la campagne de sensibilisation sur la protection des espèces phares dans l'AMP. Cette campagne, menée au cours de la première année du projet, doit être soutenue par la participation des médias locaux et nationaux.
Suivi des progrès et retour d'information après la formation
Le suivi des efforts d'interprétation au fil du temps est essentiel car il permet de renforcer continuellement l'efficacité de l'interprétation. En outre, il permet aux opérateurs de se réunir et de discuter ouvertement des difficultés rencontrées, de celles qui ont été surmontées et des succès remportés. Apprendre les uns des autres est le meilleur retour d'information possible et le fait d'avoir une occasion facilitée de le faire le rend réaliste et bénéfique pour l'effort global de protection des ressources marines. Le Kenya Wildlife Service (KWS) a pris la responsabilité de contrôler les efforts d'interprétation. Le KWS a pu superviser quelques réunions avec divers opérateurs pour discuter des progrès réalisés, mais malheureusement la dynamique de suivi s'est ralentie après les premières réunions.
Il est essentiel d'organiser des réunions régulières. Il ne faut pas croire que si les efforts d'interprétation fonctionnent bien deux semaines après l'atelier, ils continueront de le faire pendant de nombreuses autres semaines. Un renforcement continu est nécessaire.
Dans cette solution particulière, les sessions de retour d'information ont été confiées à une tierce partie. Malheureusement, cette tierce partie n'a pas respecté son engagement d'accueillir ces sessions de retour d'information et, par conséquent, les efforts d'interprétation ont progressivement diminué au fil du temps. Lorsque le même atelier a été organisé dans un autre parc marin kenyan, des efforts ont été faits pour maintenir ces sessions de retour d'information et, par conséquent, les efforts d'interprétation ont mieux fonctionné à long terme.
Outils d'interprétation pour influencer le comportement
Pour faciliter les efforts d'interprétation auprès des clients de la plongée en apnée, un ensemble de matériel a été conçu et créé pour être utilisé par les opérateurs de plongée en apnée. Ce matériel comprenait : un tableau de papier A3 imperméable à 20 faces présentant des informations organisées sur l'environnement récifal, une ardoise d'identification de la vie marine imperméable à deux faces, un dossier commercial (utilisé pour vendre des excursions de manière plus organisée et professionnelle), des drapeaux utilisés pour marquer les bateaux qui ont suivi la formation et fourni des efforts d'interprétation, un uniforme portant le logo de l'atelier et des panneaux placés le long de la plage expliquant ce que le logo représente (afin que les clients puissent choisir leurs bateaux en conséquence) et décrivant également le nouveau code de conduite auquel tous les bateaux adhéreront. Ce code de conduite a été élaboré au cours de l'atelier, lors de l'une des discussions de groupe.
Financement disponible pour la production de matériel et la distribution gratuite de matériel.
Il est important de créer des supports clairs et faciles à utiliser que n'importe quel public cible (dans ce cas, les opérateurs de bateaux de plongée en apnée) peut utiliser. Outre la conception de ce matériel, il est essentiel de prévoir une formation sur la manière de l'utiliser. La session de formation décrite ci-dessus a été essentielle pour rendre le public cible plus à l'aise avec le matériel. Certains participants, trop timides pendant la formation pour profiter de cette séance d'entraînement, n'ont pas été vus en train d'utiliser le matériel après l'atelier. Il est très important de montrer au public cible à quel point il est facile d'utiliser ce matériel.
Atelier de formation à l'interprétation
L'atelier d'interprétation est le principal moyen utilisé pour transmettre les efforts d'interprétation (la solution) à la clientèle de snorkeling (ou à tout autre public cible). L'atelier forme les opérateurs de plongée en apnée (ou tout autre organisme responsable de la diffusion des messages d'interprétation) à la diffusion des efforts d'interprétation. Ces efforts d'interprétation ciblent les croyances importantes identifiées dans le bloc précédent afin d'influencer le comportement du public cible. La solution Sea Through the Looking Glass utilisée dans le parc marin de Mombasa s'est appuyée sur des présentations d'experts, des discussions de groupe et des scénarios de jeux de rôle pour mettre les opérateurs de plongée en apnée à l'aise avec l'interprétation qu'ils offriraient à leurs clients.
Le public cible de l'atelier doit être volontaire. Le dialogue entre toutes les parties menant à l'atelier doit transmettre avec précision la nature de l'atelier et les avantages que le public cible en retirera. Si le public cible ne voit aucun avantage, il ne sacrifiera pas son temps pour participer à l'atelier.
Comme nous l'avons vu plus haut, la communication est essentielle. Si certaines personnes clés sont négligées, ne sont pas invitées ou sont surchargées, l'atelier pourrait être voué à l'échec.