Comment pouvons-nous exploiter plus efficacement les connaissances pour promouvoir la conservation de la nature en Asie ? De quels types de réseaux, de plateformes et d'outils avons-nous besoin pour échanger les uns avec les autres ? Comment tirer parti des connaissances et de la sagesse des communautés qui protègent la nature au niveau local depuis des millénaires ? Sous quels formats devons-nous présenter et partager ce que nous apprenons ?
Telles sont quelques-unes des questions sur lesquelles se sont penchés les participants au récent atelier régional asiatique sur la gestion des connaissances pour la biodiversité (KM4B). L'atelier, organisé à Bangkok (Thaïlande) par le secrétariat de la Convention des Nations unies sur la diversité biologique (CDB) en collaboration avec le Centre de l'ANASE pour la biodiversité, a rassemblé des participants de plus de 20 pays du continent, représentant des gouvernements, la société civile, ainsi que des organisations régionales et internationales.