PANACAM, au sommet de l'écotourisme hondurien et un exemple de conservation en Amérique latine

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Cascade de SINAI, PANACAM

PAG

Une initiative réussie liée au développement, au tourisme, à l'innovation et à la conservation représente la durabilité du Parque Nacional Azul Meámbar-PANACAM sous la cogestion de l'Asociación Civil Proyecto Aldea Global-PAG.

Ce parc national est devenu l'une des destinations les plus visitées du pays, avec un afflux de 22 000 visiteurs par an, dont 90 % de touristes nationaux et 10 % d'étrangers.

Parmi les activités touristiques qui peuvent être développées dans cette destination naturelle, citons : la randonnée, l'observation des oiseaux (il y a deux tours d'observation des oiseaux), le kayak, le camping, l'hôtel de montagne et le restaurant appelé PANACAM Lodge.

Ce parc démontre qu'il est possible de trouver un équilibre entre la conservation et le développement, en stimulant la prospérité économique et en relevant les défis environnementaux.

Dernière modification 13 Oct 2025

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Contexte

Défis à relever

Perte de biodiversité

Développement d’infrastructure

Manque d'accès au financement à long terme

Manque d'autres possibilités de revenu

Changements dans le contexte socio-culturel

Mauvaise gouvernance et participation

Échelle de mise en œuvre

National

Écosystèmes

Forêt sempervirente tempéré

Rivière, ruisseau

Thème

Accès et partage des avantages

Adaptation au changement climatique

Financement durable

Cadre juridique et politique

Gouvernance des Aires protégées et conservées

Sensibilisation et communications

Emplacement

Département de Comayagua, Honduras

Honduras

Amérique centrale

Impacts

- Les revenus générés par le tourisme soutiennent la gestion de PANACAM.

- Création d'emplois dans les activités touristiques, avec un personnel permanent de 16 personnes et 25 personnes sur une base temporaire. Dans les autres activités de gestion, il y a 10 employés permanents et plus de 100 employés temporaires pour couvrir les activités de protection de la forêt.

- La biodiversité florissante, le climat printanier soutenu et la qualité de l'eau dont bénéficient plus de 80 communautés, qui contribuent également à la production d'électricité grâce à deux barrages qui alimentent une grande partie du pays, ne sont pas moins importants que leur contribution au maintien du niveau d'eau du lac Yojoa, un site RAMSAR et un berceau du tourisme au centre du pays.

- Il contribue à l'éducation environnementale du pays, puisqu'il accueille chaque année environ 20 000 touristes qui reçoivent des informations pertinentes sur le rôle de la zone protégée et l'importance de la conservation.