Le suivi des populations de vigognes, réalisé en 2006, 2018, 2019 et 2021, évaluant la sardine sarcophage et d'autres parasites à Apolobamba, a montré que l'espèce conserve son taux d'accroissement démographique et que, dans l'ensemble, les individus sont en bonne santé. Les prévalences de sarna sont faibles et touchent principalement les vigognes crues et les personnes âgées dont l'état physique est moins bon. Cette maladie est actuellement endémique et son impact est faible, même si les vigognes disposent d'une alimentation suffisante pour maintenir un bon état de santé. D'autre part, en raison de l'augmentation des activités minières, de 50 à 231 au cours des 10 dernières années, et de l'utilisation approximative de jusqu'à 6 kg/mes de mercure pour chaque activité, il existe des preuves de contamination dans l'espèce. Cela s'est vérifié par des relevés de mercure total dans le sang des vigognes, ainsi que par des anomalies cellulaires (génotoxicité), et représente une menace locale pour la santé humaine et celle des animaux domestiques et sylvestres.
- Aide aux communautés de chasseurs de vigognes d'Apolobamba.
- Aide à la zone protégée par le SERNAP Apolobamba.
- Financement nécessaire pour soutenir la logistique des activités de terrain avec les communautés et les gardiens.
- Il dispose d'un laboratoire et de vétérinaires parasitologues, ce qui permet de réduire les coûts d'analyse au fil du temps.
- Il a conclu des accords avec des instituts scientifiques académiques tels que l'Institut d'écologie et l'Institut de biologie moléculaire et de biotechnologie, tous deux rattachés à l'Université Mayor de San Andrés.
- Tous les résultats de recherche obtenus sont diffusés et remis aux communautés et à la zone protégée du SERNAP Apolobamba.
- Les études réalisées sont des outils pour la gestion des communautés et de la zone protégée et constituent des opportunités pour le développement d'études de thèse pour les étudiants de licence et de niveau supérieur.
- Toutes les analyses sérologiques en laboratoire doivent être validées au préalable pour les espèces de plantes sylvestres avec lesquelles on travaille.