Adapter le message au public cible

Lors de la création d'une campagne de communication sur la pêche et l'aquaculture, il est essentiel d'adapter le message au public cible afin de garantir un impact et un engagement maximums. Tenez compte des caractéristiques démographiques, des intérêts et du niveau de connaissances du public que vous essayez d'atteindre. Comprendre le public cible et les traditions qui entourent la perception, les pratiques et la consommation de poisson peut aider à élaborer des messages qui soient compréhensibles et percutants. L'adaptation des messages au contexte culturel est également cruciale lors de la planification d'une campagne médiatique, car elle permet de s'assurer que le contenu trouve un écho significatif auprès du public cible.

La série d'animations "Let Me Tell You", qui met l'accent sur la valeur nutritionnelle du poisson, les pratiques d'aquaculture durable, la chaîne de valeur du poisson et les éléments WASH, est particulièrement adaptée au contexte rural zambien pour plusieurs raisons. Tout d'abord, l'utilisation d'animations permet de transmettre efficacement des informations complexes dans un format visuellement attrayant et facilement compréhensible, ce qui les rend accessibles à un large public, y compris à ceux qui ont un faible niveau d'alphabétisation.

Deuxièmement, le fait de cibler les écoliers avec cette série d'animations est une approche stratégique pour commencer à les sensibiliser à l'importance du poisson et au potentiel du secteur de la pêche et de l'aquaculture. En éduquant les enfants sur ces sujets, ils peuvent devenir des défenseurs des pratiques durables au sein de leurs familles et de leurs communautés, contribuant ainsi à inculquer une culture de consommation responsable et de gestion de l'environnement dès le plus jeune âge. En outre, les animations ont la capacité de capter l'attention et l'intérêt des enfants, ce qui rend le processus d'apprentissage plus agréable et plus mémorable. Cela peut conduire à une meilleure rétention des informations et à une plus grande probabilité de changement de comportement vers des pratiques plus durables liées à la consommation de poisson et au secteur de la pêche. Bien que l'animation s'inspire du paysage rural de la Zambie et de la culture et des traditions de ses communautés, la série trouve un écho dans d'autres pays de la région de l'Afrique australe.

Le contexte culturel influence la manière dont les individus perçoivent et interprètent les messages. L'adaptation du message aux normes culturelles, aux valeurs, aux croyances et à la langue peut renforcer l'efficacité de la campagne. En tenant compte de ces facteurs, la campagne peut éviter les malentendus, les interprétations erronées ou les offenses involontaires. Cela démontre également le respect de la diversité et de l'unicité des différentes communautés, en favorisant un sentiment d'inclusion et de connexion avec le public.

Objectifs des campagnes de communication

Les campagnes de communication jouent un rôle essentiel dans la réalisation des objectifs de durabilité dans ces secteurs. Elles sensibilisent les différents acteurs de la chaîne de valeur du poisson, notamment les pêcheurs, les aquaculteurs, les détaillants, les consommateurs, les décideurs politiques et le grand public, à l'importance des pratiques durables et à la valeur nutritionnelle du poisson. Une campagne de communication peut faire connaître efficacement la valeur nutritionnelle du poisson, le potentiel du secteur de la pêche et de l'aquaculture en termes de création d'emplois et de revenus, les défis auxquels le secteur est confronté et l'importance des pratiques durables et des innovations. En soulignant ces points clés, la campagne peut favoriser la collaboration entre les parties prenantes du secteur afin de relever des défis communs et d'atteindre des objectifs partagés. Cette collaboration peut conduire à l'établissement de partenariats entre les agences gouvernementales, les acteurs du secteur, les organisations à but non lucratif et d'autres parties prenantes concernées afin de promouvoir les pratiques durables, de soutenir l'innovation et de stimuler la croissance économique dans le secteur de la pêche et de l'aquaculture. Grâce à des campagnes de communication, les parties prenantes peuvent être incitées à participer à des programmes de formation visant à améliorer les compétences, les connaissances et les pratiques dans le secteur. Ces campagnes peuvent également mobiliser le soutien en faveur d'initiatives qui promeuvent la gestion durable des pêches, les efforts de conservation et les pratiques responsables en matière d'aquaculture. En s'engageant auprès des parties prenantes et en les sensibilisant à l'importance de ces initiatives, les campagnes de communication peuvent encourager un changement de comportement dans les modes de production et de consommation, conduisant à des pratiques plus durables et à un écosystème marin plus sain.

Gestion et structure organisationnelle des MSP

La structure organisationnelle de la MSP peut varier en fonction du cadre de gouvernance convenu, mais une structure commune comprend un organe de gouvernance et plusieurs groupes de travail. L'organe de gouvernance comprend généralement un président et des coprésidents, ainsi qu'un nombre limité de membres qui doivent représenter les groupes de parties prenantes engagés dans la stratégie de Lisbonne.

Les tâches de l'organe sont les suivantes

  • Pilotage général
  • Rendre compte de l'évolution stratégique
  • Superviser les groupes de travail
  • Examiner les plans stratégiques
  • Garantir l'engagement des parties prenantes
  • Assurer une collaboration continue entre la plateforme et le gouvernement (notamment en ce qui concerne l'élaboration des politiques)

Une communication claire et efficace est essentielle au bon fonctionnement de la MSP. La communication interne - généralement facilitée par le secrétariat - permet aux parties prenantes d'être informées et de s'engager. La communication externe transmet les objectifs, les résultats et les avantages à l'ensemble de la communauté, aux partenaires et aux bailleurs de fonds. La composition des groupes de travail est volontaire mais doit être basée sur l'expertise. En fonction de l'urgence et des objectifs, ils se réunissent trois à six fois par an. Les rôles de gouvernance doivent être assumés à tour de rôle afin de garantir de nouvelles perspectives et une structure dynamique. Les réunions doivent être régulières.

Un risque potentiel qu'il convient d'éviter est l'apparition de conflits d'intérêts en raison du large éventail de parties prenantes impliquées. Cela peut ralentir la recherche d'un consensus et la prise de décision commune. Trouver un équilibre entre l'inclusivité et l'efficacité est un défi permanent.

Développement du plan de travail et du financement

Pour garantir une mise en œuvre harmonieuse et éviter les risques, il est essentiel d'élaborer un plan de travail précis qui définisse :

  • des étapes concrètes pour atteindre les objectifs de la MSP
  • des activités claires
  • des calendriers
  • les ressources
  • les fonds nécessaires
  • les moyens d'obtenir les fonds

Les rôles et les responsabilités doivent être clairement attribués avant d'élaborer le plan de travail et de discuter des financements. Le plan de travail doit ensuite être élaboré en collaboration avec toutes les parties prenantes afin de s'assurer que les activités sont alignées sur les buts et objectifs de la plateforme. Il est essentiel d'élaborer en détail le montant des fonds nécessaires, car c'est le fondement d'une mise en œuvre harmonieuse des activités et du fonctionnement global de la plate-forme.

La flexibilité est un facteur essentiel que les PSM devraient s'efforcer de mettre en œuvre afin de s'adapter à l'évolution des priorités sectorielles ainsi qu'à la dynamique des parties prenantes. Par conséquent, la plateforme doit être capable et ouverte pour réagir aux changements et aux nouvelles informations et, en conséquence, réviser sa stratégie et son plan de travail ou inclure de nouvelles parties prenantes. Cet objectif peut être atteint grâce à des évaluations et des ajustements réguliers - également en ce qui concerne les performances générales du MSP - qui contribuent à l'accomplissement de sa mission.

Un autre aspect important pour une mise en œuvre réussie de cette approche est la promotion et la coordination de la recherche et de la collecte de données par le biais du MSP, dans le but de garantir une prise de décision et des stratégies fondées sur des données probantes, et de maintenir l'efficacité du MSP dans sa mission.

L'identification de sources ou de mécanismes de financement durables est essentielle pour la viabilité à long terme de la plateforme, car sans un soutien financier adéquat, la plateforme aura du mal à maintenir ses activités. Prendre en compte cet aspect dès la phase de planification et de formation du MSP permet d'éviter des problèmes ultérieurs, en particulier lorsque la plateforme est lancée avec le soutien financier de donateurs qui ne disposent que d'un temps et de ressources limités pour la facilitation.

Élaboration d'un cadre de gouvernance

Le cadre de gouvernance sera la structure d'orientation et de mise en œuvre et constituera le cœur du PSM. Il doit définir

  • les règles de fonctionnement
  • les rôles des parties prenantes
  • les responsabilités des parties prenantes
  • les positions de leadership

Le cadre de gouvernance garantit que le PSM fonctionne efficacement et que les processus de prise de décision sont clairs et transparents, avec des mécanismes de résolution et de gestion des conflits en place.

Comme cela a été expliqué dans les blocs de construction précédents, la cartographie des parties prenantes pour l'identification des parties prenantes, la construction d'un consensus, l'appropriation partagée ainsi qu'une vision commune de l'avenir sont des étapes nécessaires avant qu'un cadre de gouvernance puisse être mis en place. Les parties prenantes doivent travailler ensemble pour rédiger des documents de gouvernance qui décrivent ces aspects, afin d'assurer une large acceptation de ces documents.

La mise en place d'un système qui maintient la transparence et la confiance entre les parties prenantes est une condition préalable fondamentale et la base d'une collaboration efficace. La transparence peut être obtenue par une communication ouverte et un partage honnête des informations entre les parties prenantes. Une communication ouverte et le fait de tenir les parties prenantes responsables de leurs engagements, tels qu'ils sont ancrés dans le cadre de gouvernance, contribuent à instaurer la confiance.

Pour assurer la réussite de la mise en place et de la gestion des PSM, il est également important de prendre en compte les risques internes potentiels qui existent. L'un d'entre eux est la domination de parties prenantes puissantes qui marginalisent les voix des groupes plus petits ou moins influents. Cela souligne l'importance de mettre en œuvre des mécanismes qui garantissent l'équilibre des pouvoirs, en particulier lors de l'élaboration du cadre de gouvernance. La rotation des postes de direction et l'égalité de parole pour tous les membres, indépendamment de leur taille ou de leur pouvoir de lobbying, sont deux moyens possibles d'y remédier.

Recherche d'un consensus

Après avoir dressé la carte des parties prenantes, celles-ci sont réunies pour trouver un terrain d'entente et dégager un consensus. Au cours des réunions d'engagement, animées par un modérateur ou une tierce partie neutre, les parties prenantes coopèrent :

  • identifient et discutent des défis communs
  • définir des objectifs communs
  • formuler une vision commune qui s'aligne sur les agendas nationaux et mondiaux.

Ces discussions collectives garantissent l'intégration des différentes perspectives dans l'orientation stratégique et le contenu du PSM. La création d'une vision et d'objectifs communs permet d'aligner les efforts, de créer un sentiment d'appartenance et de maintenir l'élan parmi les membres.

La cartographie des parties prenantes est une première étape essentielle avant la recherche d'un consensus. Il s'agit d'un outil important pour identifier les parties prenantes pertinentes pour les objectifs du PSM. Dans le secteur de la pêche et de l'aquaculture, de nombreuses parties prenantes sont directement et indirectement liées à la chaîne de valeur du poisson et certaines pourraient être supervisées rapidement. Mais pour que les mesures soient efficaces, il faut d'abord que toutes les parties prenantes soient représentées et collaborent.

Les PSM ayant pour objectif à long terme l'amélioration sectorielle, les membres doivent reconnaître qu'un changement significatif peut prendre du temps et nécessiter des efforts soutenus. L'élaboration et la communication d'une vision commune claire contribuent à maintenir l'engagement des parties prenantes à l'égard des objectifs fixés sur le long terme. En termes de communication, l'élaboration et la diffusion d'une stratégie claire à tous les nouveaux membres contribuent à faciliter la communication à l'intérieur et à l'extérieur de la MSP.

En outre, la création d'un sentiment d'appartenance par l'attribution de responsabilités maintient l'engagement des parties prenantes et devrait être considérée comme un aspect essentiel en termes de durabilité.

Cartographie des parties prenantes

Pour garantir une représentation complète, les groupes de parties prenantes et les acteurs directement et indirectement liés à la pêche et à l'aquaculture doivent être répertoriés.

Lors d'ateliers, les principales parties prenantes identifient ensemble les autres parties prenantes concernées. Les principaux groupes de parties prenantes et acteurs concernés peuvent être les suivants

  • Secteur public: ministères et départements responsables de la pêche et de l'aquaculture et, éventuellement, d'autres organismes gouvernementaux liés au secteur, par exemple ceux qui s'occupent de la sylviculture, de l'eau ou de l'agriculture.
  • Secteur privé : divers acteurs, notamment les petits pêcheurs et les pisciculteurs, les opérateurs et les entreprises à grande échelle, ainsi que les acteurs tout au long de la chaîne de valeur, opérant par exemple dans la production d'aliments et d'engins de pêche, la transformation du poisson, le transport ou la commercialisation.
  • Les agriculteurs ayant un impact sur la qualité et l'utilisation de l'eau
  • Autres utilisateurs des masses d'eau liés à l'aquaculture et à la pêche ; organisations de la société civile et médias
  • Partenaires de coopération: agences de développement nationales et internationales, organisations internationales (FAO, Banque mondiale, WorldFish, WWF, etc.) et banques de développement.
  • Milieu universitaire et de la recherche : universités et instituts de recherche
  • Chefs traditionnels
  • communautés indigènes et membres des communautés
  • Groupes de conservation : agences travaillant dans le domaine de la protection et de la conservation de l'environnement

Pour aborder les questions et les défis décrits précédemment et favoriser une gestion durable, une approche holistique et intégrative des différents acteurs impliqués est nécessaire. Les participants aux PSM ne doivent donc pas être unilatéraux, mais intégrer autant d'acteurs de la chaîne de valeur du poisson et leurs différentes perspectives que possible. Cela garantit une meilleure compréhension des problèmes sous-jacents et permet d'identifier des solutions et des mesures appropriées qui sont soutenues par tous les acteurs.

La mise en place d'un système qui maintient la transparence et laconfiance entre les parties prenantes est une condition préalable fondamentale et la base d'une collaboration efficace. La transparence peut être obtenue par une communication ouverte et un partage honnête des informations entre les parties prenantes. Cet aspect doit être pris en compte dès le début du processus de mise en œuvre de la stratégie de gestion de la pêche. Voir également les étapes à venir pour ancrer la communication ouverte dans le cadre de gouvernance.

En raison de la domination de certaines parties prenantes puissantes, d'autres parties prenantes pourraient être marginalisées. Néanmoins, toutes les parties prenantes doivent être contactées et avoir la possibilité de collaborer à la planification de l'espace maritime. Plus tard, en particulier lors de l'élaboration du cadre de gouvernance, des mécanismes visant à garantir l'équilibre des pouvoirs devront être mis en œuvre afin d'éviter le risque de domination d'une seule partie prenante dans le cadre du processus de planification pluriannuel.

Création d'une réserve naturelle

Ce programme vise à aller au-delà de la restauration traditionnelle des habitats et à établir des forêts entièrement nouvelles sur des sites éligibles totalisant au moins 1 755 hectares. Le don de 38 millions de livres sterling d'Aviva permet aux associations locales de protection de la nature d'acheter ou de louer à long terme des terres disponibles, puis d'établir une forêt tropicale et de gérer ces terres à perpétuité. Les Wildlife Trusts locaux dirigent leurs propres sites et projets, avec le soutien direct de l'équipe du programme opérant à partir de l'organisation caritative centrale, la Royal Society of Wildlife Trusts, et la contribution de leurs communautés. Les nouveaux sites seront considérés comme une victoire pour la conservation et comme des centres importants pour la collaboration avec les communautés locales, y compris les possibilités d'éducation. Les Wildlife Trusts locaux impliqueront activement les communautés par le biais de journées de plantation, d'opportunités de volontariat, de séances d'accueil et de promenades guidées.

Recherche

Un programme de recherche a été élaboré pour compléter ces travaux au cours des huit premières années du programme. Il s'agit d'une occasion unique d'améliorer notre compréhension de l'établissement, de la gestion et de l'amélioration de l'habitat de la forêt tropicale atlantique dans les îles britanniques, ainsi que de mettre à jour les modèles de carbone. Nous partagerons ces informations avec les organisations qui cherchent à faire renaître nos forêts pluviales indigènes et à soutenir les investissements verts. Nous souhaitons explorer ce qui fonctionne, où et pourquoi. Les projets de recherche comprendront à la fois des composantes environnementales et sociales, car elles sont toutes deux essentielles à la réussite à long terme. Les thèmes généraux incluront le climat et le microclimat, le paysage et l'écologie, les processus hydrologiques, les sols et les dimensions sociales. Les instituts de recherche et les praticiens auront la possibilité de participer à ce programme de recherche.

Comptabilité carbone

Ce programme utilise le Woodland Carbon Code (WCC) pour valider les crédits carbone générés. Le WCC est un code volontaire qui encourage la cohérence au sein des projets de création de forêts et de carbone, tout en offrant une certaine transparence aux clients. Le processus de validation et de vérification signifie que toutes les forêts incluses dans le programme sont certifiées comme étant gérées de manière durable conformément aux normes nationales. Cela permet d'obtenir des estimations fiables et calculées de la quantité de carbone qui sera séquestrée en conséquence directe de la plantation de nouveaux arbres. Ce concept d'additionnalité est essentiel. Pour obtenir des crédits carbone, il doit être clair que tout le carbone séquestré est le résultat de nouveaux efforts, qui n'auraient pas vu le jour sans le projet. Les projets concernés doivent également disposer d'un plan de gestion à long terme et faire l'objet d'une vérification pendant toute leur durée. Dans le cadre de notre partenariat, tous les crédits de carbone générés par la plantation de forêts pluviales tempérées sont attribués à Aviva, ce qui l'aide à atteindre ses objectifs en matière d'émissions nettes zéro. Les crédits ne sont transmis à Aviva qu'une fois qu'ils sont réalisés sous forme d'unités de carbone forestier. Aviva retire alors immédiatement les unités, empêchant toute possibilité d'échange secondaire. En n'utilisant pas d'unités d'émission en attente (PIU), ce programme garantit les normes les plus élevées de transparence et de légitimité. Il s'agit d'un point important car la restauration de la forêt pluviale tempérée est une idée nouvelle et les prévisions de rendement du carbone peuvent différer considérablement des unités effectivement créées. Néanmoins, la modélisation effectuée par le COE contient d'importants tampons de risque, de sorte que nous nous attendons à ce que les rendements réels dépassent les prévisions. Ce programme est conforme aux lignes directrices des "Principes des marchés de la nature", élaborées en 2023 par des ONG environnementales et des investisseurs, afin de contribuer à l'élaboration de politiques et à la création de marchés du capital naturel de grande qualité. C'est la première fois que ce code est utilisé pour la création de forêts pluviales tempérées, et nous travaillons donc en étroite collaboration avec les personnes à l'origine de ce code afin de mieux comprendre la valeur carbone de ces forêts.