EP RÉSOLUTION 2

Méthode de lutte contre la pollution plastique et la matière organique de l'océan. 

Le PE en collaboration avec O.I.N.G PACO ont mis en place un comité multicommunale pour l'environnement. Actions collectives  pour la lutte contre la pollution plastique dans les villes de la communauté africaine. 

1. Mécanismes de coordination efficaces néanmoins moins pratiquer 

 

2. Méthodes B1000B de gestion des déchets efficaces et mises en œuvre de façon progressive 

PE RÉSOLUTION

programme créé pour contribuer au développement durables et renforcer
la capacité des États à mieux contrôler le mouvement des populations pour préserver
l'environnement.

But du programme :
(Première phase)
1. étudier de nouvel méthode et approfondir des recherches pour développer des
nouvelles technologies destinées au développement du ​PROGRAMME
ENVIRECOLOGIE
2. Enseigner et Formé les Futurs Docteurs, Experts, Spécialistes et Praticiens au
métier de l'Envirecologie
3. Crée et développé de nouvelle base scientifique et technique et renforcer la
méthodologie et expertise des Hommes et des femmes en faveur de
ENVIRECOLOGIE

Liste d'enseignement :

 

1. Certaine Zone géographique au Cameroun demande des études approfondies dans la gestion des sols,

 

2. Le microclimat connaît des difficultés d'adaptation,

 

3. Les communautés des différentes régions connaissent une croissance d'un manque de réadaptation, 

 

4. Les espaces publics demandent une assistance constante en vue de minimiser l'empreinte environnementale dans les milieux urbain,

 

Solutions ayant moins d'impact :

 

1. Le changement de comportement,

 

2. L'insalubrité,

 

3. Les méthodes d'adaptation pour le changement de comportement,

Suivi des anciens participants

Le programme inclut le travail avec d’anciens participants qui deviennent « membres » du programme et qui travaillent avec la nouvelle génération.  

Une formation continue des anciens participants pour qu’ils puissent à leur tour enseigner aux plus jeunes.

L’établissement de liens avec des groupes qui ont déjà une expérience de travail, notamment les scouts.

Les enfants apprennent beaucoup de leurs camarades, parfois bien plus que de leurs enseignants.

 

Le suivi des anciens participants donne aux jeunes la possibilité de continuer à contribuer à la protection de la nature et au développement durable.

Prix pour les gagnants

Tous les participants ont profité d’un programme de formation, mais les gagnants ont remporté un voyage extraordinaire dans l’Antarctique pour lequel ils ont dû se préparer psychologiquement et physiquement. 

 

Lors de ce voyage, ils ont également appris à connaître les scientifiques qui effectuent des travaux de surveillance dans la station climatique, et dans le site. Ils ont compris la façon dont tout est relié, et l’impact de leurs projets locaux sur le climat mondial.

1) Financement : chaque expédition a nécessité des ressources financières qui ont été gérées par les entreprises qui ont parrainé le programme.

 

2) Ententes avec les scientifiques ou les administrateurs des zones naturelles protégées. Les sites visités ne sont pas ouverts au public, leur visite implique donc une préparation pour obtenir les permis appropriés.

Il est très coûteux d’aller dans l’Antarctique, et on ne peut emmener que très peu d’équipes. C'est pourquoi nous avons commencé à récompenser davantage d'équipes en les emmenant dans d'autres zones naturelles protégées, fermées aux visites de masse. Ainsi un plus grand nombre d’enfants peuvent bénéficier d’une expérience d'apprentissage et courir la chance de remporter un prix.

Activités de sensibilisation et d’échange de connaissances

Des activités de sensibilisation et des campagnes d'information sur les réglementations légales en vigueur et sur les mesures de gestion convenues d'un commun accord sont régulièrement menées auprès de la population. Elles permettent à la population de mieux accepter les activités de surveillance maritime et de mieux comprendre les différentes mesures de conservation prises et leur impact sur la biodiversité du PNBA. Les activités comprennent la sensibilisation aux règlements de pêche en vigueur et à leur évolution en ce qui concerne les périodes d'arrêt biologique, la sensibilisation à l'environnement en général, mais aussi le partage des résultats de la surveillance des pêches (effort de pêche, captures, infractions enregistrées, etc.).

Les activités de sensibilisation et d'échange de connaissances se déroulent dans un environnement de communication favorable, grâce au mécanisme de gouvernance partagée et à l'échange et à la collaboration permanents entre les Imraguen et l'administration du parc.

Un échange régulier de connaissances sur les écosystèmes et d'informations sur les prises de poissons entre les scientifiques et les pêcheurs a montré qu'il améliorait le fonctionnement global du système participatif de surveillance maritime

Soutenir les activités économiques connexes et les revenus alternatifs

Afin de renforcer le système de surveillance participative, mais aussi de préserver le savoir-faire local ancestral et le patrimoine maritime, le PNBA a mis en place un chantier naval communautaire à R'Gueiba. Ce chantier est consacré à la rénovation et à la construction de bateaux Imraguen. Il est géré par la coopérative de menuisiers locaux "El Ittihad", qui regroupe 8 Imraguen formés par le PNBA avec l'aide de menuisiers navals bretons français. Les femmes sont chargées de la taille et de l'entretien des voiles. En outre, des activités d'écotourisme sont menées – principalement par des femmes – dans le but d'offrir des activités alternatives génératrices de revenus, et donc de réduire les pressions anthropiques sur les ressources halieutiques.

La poursuite d'activités alternatives génératrices de revenus est facilitée par le système de gouvernance partagée établi au sein du PNBA, qui a jeté les bases de réunions régulières entre les gestionnaires du parc et la population. Au cours de ces réunions, les ressources et les besoins des Imraguen peuvent être cartographiés.

Si le développement de l'écotourisme a le potentiel de promouvoir l'emploi et de générer d'autres sources de revenus au sein de la communauté Imraguen, et donc de contribuer à réduire la pression sur les ressources de pêche, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour évaluer les impacts actuels de cette activité.

Gouvernance partagée

Le système de surveillance maritime participative du PNBA est le résultat d'un partenariat tripartite, qui intègre la population résidente d'Imraguen, aux côtés des gestionnaires du parc et des gardes-côtes (GCM). Ce système vise à contrôler l'entrée des bateaux provenant de l'extérieur du PNBA, notamment les pirogues motorisées, qui sont interdites dans le parc depuis sa création en 1976. Le respect du calendrier des saisons de pêche est aujourd'hui considéré comme un modèle réussi dans la sous-région ouest-africaine. L'expérience du PNBA a bénéficié au Réseau régional des aires marines protégées d'Afrique de l'Ouest (RAMPAO), notamment par le biais de missions d'appui technique et de visites d'échange. Le fonctionnement du mécanisme de surveillance participative du PNBA a comme caractéristique centrale la représentativité de trois entités à bord de chaque navire de surveillance : un agent du PNBA, un agent du GCM et un représentant de la population Imraguen. Il a jusqu'à présent contribué à la réduction de l'exploitation illégale des ressources, par l'application de règles de gestion convenues conjointement avec la population résidente

Tous les secteurs sont représentés aux réunions du comité : pêcheurs, marchands de poisson, femmes transformatrices et charpentiers de bateaux. En outre, à bord des bateaux de surveillance qui patrouillent dans les eaux du parc, un représentant de chacune des trois parties de la surveillance maritime est présent : un agent du PNBA, un agent des garde-côtes et un représentant de la population locale (désigné par la population elle-même).

La présence de ces trois représentants à bord de chaque navire de surveillance s'est avérée faciliter les interventions, réduisant les risques potentiels de corruption des pêcheurs qui sont arraisonnés en cas d'infraction.

Formation

Le personnel du groupe « Héroes del Triunfo » doit être constamment formé, tant sur le plan pédagogique que technique, en vue d’assurer le bon déroulement des camps.

Jaqui est une communicatrice et une animatrice radio, elle possède donc de nombreuses compétences dont elle fait profiter son équipe.

Des partenariats ont été noués avec des organisations qui proposent des formations.

Des évaluations doivent être effectuées après chaque camp afin d’identifier les domaines d’opportunité.

Direction dynamique

La direction dynamique assurée par Jaqui est fondamentale pour motiver les enfants et les parents à participer aux camps.

 

 

1. Il existe de bonnes relations avec les institutions qui travaillent dans les zones naturelles protégées. Certaines d’entre elles dispensent une formation sur les questions environnementales pour s’assurer que l’information communiquée dans le cadre des camps est correcte.

2. Jaqui est une personne qui inspire confiance. C’est une qualité indispensable pour mener à bien son travail.

Pour obtenir un soutien et les permis de visite des zones naturelles, il est indispensable d’entretenir de bonnes relations avec les gouvernements locaux, car ce sont eux les administrateurs.

Travail à proximité de la communauté

Le travail à proximité de la communauté se fait dans le respect de la diversité des traditions, en tenant compte des résistances.

 

Le travail communautaire est fondé sur les intérêts et les nécessités des communautés. Celles-ci sont les principales intervenantes dans la recherche de solutions.

 

Les processus de gouvernance appliqués par l’Institut visent à faciliter la communication entre les organisations et les communautés. C’est pourquoi l’Institut organise des ateliers de gestion inclusive.

 

  1. 1. Au Brésil, on sait que 90 % des initiatives de conservation de la nature sont liées aux communautés locales. En partant de ce principe, l’Institut établit des relations et un plan de travail à long terme.

    2. L’établissement de liens de confiance avec les communautés est indispensable pour travailler en étroite collaboration avec elles.

    3. Les processus de gouvernance mis en place par les gouvernements.

    4. Les processus de gouvernance dans les zones de conservation autochtones et communautaires.

  1. Plusieurs organisations ont mené des initiatives infructueuses de conservation et de développement parce qu’elles n’ont pas su comprendre et respecter les communautés.
  2. De nombreuses organisations ne comprennent toujours pas que 90 % des projets de conservation sont liés aux communautés et aux peuples autochtones.
  3. Il est important de travailler en tenant compte du processus de gouvernance des gouvernements, car la gestion efficace du territoire nécessite la participation des parties prenantes.