Gestion des ressources

Chaque enfant paie des droits d’inscription au camp qui ne couvrent toutefois pas les frais réels du camp, c’est pourquoi il est essentiel de rechercher des dons supplémentaires.

Un partenariat avec des organisations à but non lucratif qui permet l’accès aux dons.

 

Il est important de communiquer les résultats des camps afin d’inciter les donateurs à fournir des ressources supplémentaires. 

Formation

Le personnel du groupe « Héroes del Triunfo » doit être constamment formé, tant sur le plan pédagogique que technique, en vue d’assurer le bon déroulement des camps.

Jaqui est une communicatrice et une animatrice radio, elle possède donc de nombreuses compétences dont elle fait profiter son équipe.

Des partenariats ont été noués avec des organisations qui proposent des formations.

Des évaluations doivent être effectuées après chaque camp afin d’identifier les domaines d’opportunité.

Direction dynamique

La direction dynamique assurée par Jaqui est fondamentale pour motiver les enfants et les parents à participer aux camps.

 

 

1. Il existe de bonnes relations avec les institutions qui travaillent dans les zones naturelles protégées. Certaines d’entre elles dispensent une formation sur les questions environnementales pour s’assurer que l’information communiquée dans le cadre des camps est correcte.

2. Jaqui est une personne qui inspire confiance. C’est une qualité indispensable pour mener à bien son travail.

Pour obtenir un soutien et les permis de visite des zones naturelles, il est indispensable d’entretenir de bonnes relations avec les gouvernements locaux, car ce sont eux les administrateurs.

Héroes del Triunfo
Amérique centrale
#NatureForAll
IUCN
Direction dynamique
Formation
Gestion des ressources
Héroes del Triunfo
Amérique centrale
#NatureForAll
IUCN
Direction dynamique
Formation
Gestion des ressources
Mario Caña
Organiser l'engagement des parties prenantes et la participation du public
Créer une vision et des objectifs pour la PEM
Construire des scénarios pour la PEM
Analyse sectorielle et briefings
Base de données spatiales et combler les lacunes des données
Production de connaissances scientifiques

L’Institut Mamirauá génère des connaissances scientifiques qui sont mises au service des communautés locales, avec la participation de celles-ci en tant qu’intervenantes, et en appliquant les processus de gouvernance des zones de conservation. 

 

Ces connaissances reposent sur les quatre lignes d’action suivantes :

  1. l’éducation environnementale;
  2. la protection environnementale;
  3. le renforcement de la communauté;
  4. la communication communautaire.

La production de connaissances a pour objet la recherche de solutions à moyen et long terme.

 



 

  1. Respect et dialogue : les connaissances générées sont proposées aux communautés, mais elles ne leur sont pas imposées. Ce sont les communautés qui décident en dernier lieu s’il convient de mettre en œuvre les stratégies suggérées.

 

  1. Chaque communauté et chaque groupe est distinct, et il ne faut en aucun cas assumer que ce qui convient à l’un convient à l’autre (il ne s’agit pas de modèles réplicables à souhait).
  2. Les contextes, les modes de leadership et de travail varient. Si cette différence n’est pas comprise, les processus de conservation deviennent compliqués et même impossibles à mettre en place.
Travail à proximité de la communauté

Le travail à proximité de la communauté se fait dans le respect de la diversité des traditions, en tenant compte des résistances.

 

Le travail communautaire est fondé sur les intérêts et les nécessités des communautés. Celles-ci sont les principales intervenantes dans la recherche de solutions.

 

Les processus de gouvernance appliqués par l’Institut visent à faciliter la communication entre les organisations et les communautés. C’est pourquoi l’Institut organise des ateliers de gestion inclusive.

 

  1. 1. Au Brésil, on sait que 90 % des initiatives de conservation de la nature sont liées aux communautés locales. En partant de ce principe, l’Institut établit des relations et un plan de travail à long terme.

    2. L’établissement de liens de confiance avec les communautés est indispensable pour travailler en étroite collaboration avec elles.

    3. Les processus de gouvernance mis en place par les gouvernements.

    4. Les processus de gouvernance dans les zones de conservation autochtones et communautaires.

  1. Plusieurs organisations ont mené des initiatives infructueuses de conservation et de développement parce qu’elles n’ont pas su comprendre et respecter les communautés.
  2. De nombreuses organisations ne comprennent toujours pas que 90 % des projets de conservation sont liés aux communautés et aux peuples autochtones.
  3. Il est important de travailler en tenant compte du processus de gouvernance des gouvernements, car la gestion efficace du territoire nécessite la participation des parties prenantes.
Formation au sein des communautés

Outre la mission de combattre les feux de forêt, les brigades de volontaires incitent la population des communautés avoisinantes à réduire l’usage de l’agriculture sur brûlis. Pour ce faire, elles leur rendent visite pour les sensibiliser à la norme officielle mexicaine NOM 015 qui régit l’utilisation de l’agriculture sur brûlis. 

L’exercice mène à des ententes consistant à éviter l’usage de cette pratique dans les sites à proximité de la Réserve, et, dans certaines conditions, à les programmer dans des lieux autorisés.

La formation en communication des brigades de volontaires.

 

Du matériel complémentaire fourni au cours des échanges avec les producteurs.  

 

Les membres des brigades de volontaires sont issus des communautés de la région du volcan, c’est pourquoi leur message est bien reçu par la population locale.

 

Les activités doivent être programmées de sorte que les échanges au sujet de l’agriculture sur brûlis se fassent avant le début de la saison des semailles lorsque cette pratique est utilisée. 

 

Il convient d’assurer un message continu par divers moyens, notamment des discussions, des prospectus, du matériel didactique, des affiches, la radio, etc.

Formation des brigades de volontaires

Une fois formés par la CONANP en partenariat avec la CONAFOR, les combattants de feux de forêt convoquent, forment et équipent à leur tour des membres des communautés de la région du volcan en vue de constituer des brigades de volontaires locales. D’autres fonds peuvent compléter le budget de la CONANP. En 2020, par exemple, le FONCET [Fonds de conservation El Triunfo] a donné un camion pour assurer le transport des brigades de volontaires dans la région.

 

À ce jour, 45 membres des communautés de la région du volcan sont formés au combat des feux de forêt.

 

 

 

 

Une bonne relation entre les communautés et les autorités de la CONANP et d’autres organismes, car ce sont elles qui convoquent les personnes.

 

Leur présence à proximité de la Réserve permet aux membres des brigades de volontaires d’arriver rapidement sur les lieux, au besoin.

 

Des échanges d’expériences et une bonne relation avec les brigades de volontaires du Guatemala, étant donné que le volcan est transfrontalier.

 

Le budget des formations doit couvrir le matériel. Il est arrivé plusieurs fois que des brigades de volontaires dûment formées ne disposent pas du matériel requis pour aller combattre des feux.

C’est pourquoi il faut prévoir un budget pour outiller les équipes, et remplacer le matériel endommagé. Il est fondamental de mettre tout en œuvre pour que le travail soit effectué en réduisant les risques.