Planification stratégique et action innovante

À long terme, les interventions visant à lutter contre la criminalité liée aux espèces sauvages ne peuvent être efficaces que si elles reposent sur une combinaison de planification stratégique et d'actions novatrices. Des stratégies pratiques avec des objectifs clairement définis sont essentielles pour permettre des interventions coordonnées. Toutes les interventions doivent viser à obtenir les résultats requis pour atteindre les objectifs prioritaires. Pour réussir, la planification stratégique - ainsi que les interventions qui en découlent - doit impliquer tous les acteurs clés afin de garantir un sentiment d'appropriation commune. De même, les interventions stratégiques doivent intégrer les contributions de toutes les parties prenantes concernées afin de garantir une action coordonnée. Cependant, l'action doit rester innovante afin que les activités puissent être adaptées en fonction de circonstances imprévues, de nouveaux besoins ou de l'évolution des paramètres. En outre, les stratégies doivent être revues et affinées à intervalles réguliers pour s'assurer qu'elles restent pertinentes dans un environnement changeant. Cette combinaison d'objectifs clairs et de stratégies efficaces, avec la volonté et la capacité de s'adapter par des changements novateurs d'approche et d'action, est un élément essentiel pour lutter efficacement contre la criminalité liée aux espèces sauvages.

  • Des systèmes et des approches solides doivent être mis en place pour créer un cadre efficace de planification stratégique et d'action innovante.
  • Toutes les parties prenantes doivent être impliquées dans la planification stratégique afin de garantir un sentiment d'appartenance commune et de permettre une mise en œuvre réussie.
  • Un partenariat solide entre les organismes chargés de la conservation et de l'application de la loi est essentiel pour coordonner les stratégies de lutte contre la criminalité liée aux espèces sauvages.
  • Des objectifs généraux et des résultats requis clairement définis permettent à la planification stratégique d'être pertinente et réalisable.
  • Les stratégies ne sont efficaces que si elles sont adoptées par toutes les parties prenantes et peuvent être mises en œuvre de manière effective.
  • Les stratégies doivent être réalistes, pratiques et réalisables.
  • Il est important de reconnaître toutes les contributions à la mise en œuvre d'une stratégie.
  • Les stratégies doivent être revues et affinées régulièrement pour rester pertinentes.
  • L'innovation et la capacité d'adaptation pour modifier les stratégies en fonction des besoins sont essentielles pour assurer un succès continu.
  • Les systèmes et approches existants peuvent devoir être révisés pour permettre la mise en œuvre des stratégies ou pour garantir l'innovation et l'adaptabilité.
Utilisation de toutes les technologies et de tous les outils disponibles

Les criminels adaptent constamment leurs activités à l'évolution des circonstances. Il est donc essentiel que les activités de lutte contre la criminalité s'adaptent également. Il existe une grande variété de technologies modernes qui peuvent améliorer de manière significative les initiatives de lutte contre la criminalité liée aux espèces sauvages. Elles peuvent être combinées à une série d'outils traditionnels et nouveaux de conservation et d'application de la loi pour donner un avantage opérationnel aux activités criminelles. L'innovation constante dans le développement des technologies et des outils nécessite une mise à jour régulière pour rester au fait des changements. Il est également possible de modifier les technologies et les outils au niveau local afin de répondre à des exigences et à des applications uniques au fur et à mesure qu'elles se présentent.

Dans le domaine de l'application de la loi en matière de criminalité liée aux espèces sauvages, les catégories de technologies essentielles comprennent la surveillance, la criminalistique (ADN, balistique, numérique), la saisie, la gestion et l'analyse des données, et bien d'autres encore. Les outils comprennent les réseaux d'information, les techniques d'enquête, les techniques de poursuite, le suivi des affaires judiciaires, les options législatives, etc.

L'application efficace de ces technologies et outils nécessite un renforcement des capacités au sein du gouvernement, ainsi que l'habilitation du personnel individuel à appliquer les technologies et outils en fonction des besoins.

  • Paramètres gouvernementaux pour mettre en œuvre efficacement l'utilisation des technologies et outils disponibles
  • Financement pour obtenir les technologies et les outils les plus récents et les mettre à jour si nécessaire
  • Renforcement des capacités pour garantir une utilisation optimale des technologies et des outils.
  • Les technologies et les outils n'ont de valeur que s'ils peuvent être appliqués par un personnel compétent et dévoué.
  • Les technologies et les outils doivent être partagés entre tous les acteurs concernés afin de garantir une application optimale.
  • L'établissement de relations entre le personnel de toutes les agences concernées est important pour garantir que les technologies et les outils soient adoptés par tous les acteurs concernés.
  • Les attitudes élitistes à l'égard de l'utilisation des technologies et des outils sont souvent contre-productives.
  • La capacité d'adapter les technologies et les outils aux circonstances et aux besoins locaux peut changer la donne.
Soutien financier externe direct, rapide et flexible pour les besoins en matière d'application de la loi et autres besoins connexes

Une grande partie du soutien financier international à la lutte contre la criminalité liée aux espèces sauvages est utilisée pour les ateliers et les conférences, la sensibilisation et la mobilisation des communautés, l'équipement général et l'infrastructure, ainsi que les frais généraux des ONG chargées de la mise en œuvre. Les conditions d'utilisation de ces fonds sont souvent dictées par l'agence de financement et l'ONG chargée de la mise en œuvre, plutôt que par le gouvernement du pays cible. Bien que ces interventions jouent un rôle important, elles ne s'attaquent généralement pas directement au problème central de la lutte contre la criminalité liée aux espèces sauvages. Les agences gouvernementales fonctionnent souvent avec des budgets limités et des procédures d'achat et d'approbation restrictives. Cela peut empêcher une action rapide, en particulier dans des scénarios de crise imprévus. Un soutien financier externe rapide et flexible, directement acheminé vers les opérations gouvernementales, peut éliminer bon nombre de ces contraintes et libérer tout le potentiel du personnel gouvernemental. Dans le contexte de la lutte contre la criminalité liée aux espèces sauvages, cela permet au personnel chargé de l'application de la loi et de la conservation de réagir rapidement aux incidents de toute nature et de s'acquitter efficacement des tâches qui lui ont été confiées. Il est important que les fonds soient directement affectés aux activités opérationnelles, idéalement par l'intermédiaire d'une ONG locale dont les frais généraux sont réduits au minimum, plutôt que d'être intégrés dans des budgets plus vastes sujets à des écueils bureaucratiques.

  • Volonté du gouvernement de recevoir un soutien financier externe direct pour les activités de protection de la faune sauvage et d'application de la loi
  • Agence de financement internationale avec des paramètres de financement flexibles
  • ONG locale de soutien ayant la confiance du gouvernement et ayant fait ses preuves dans la lutte contre la criminalité liée aux espèces sauvages, pour servir d'intermédiaire pour le financement avec des frais généraux minimes
  • Renforcement des capacités et autonomisation individuelle du personnel gouvernemental chargé de l'application de la loi et de la conservation afin de lui permettre de s'acquitter efficacement des tâches qui lui sont confiées.
  • Une ONG locale de confiance, ayant l'expérience et la compréhension de l'environnement opérationnel, est importante pour assurer le financement international et le canaliser vers les opérations prioritaires du gouvernement.
  • Les fonds doivent être versés directement aux activités gouvernementales mandatées pour la protection des espèces sauvages et l'application de la loi.
  • Les fonds doivent pouvoir être déboursés selon les besoins, 24 heures sur 24, 365 jours par an, afin de garantir des capacités de réponse rapide à tout moment.
  • Les petites initiatives pilotes sont utiles pour tester les systèmes et les approches.
  • Des relations étroites entre les personnes clés sont essentielles pour atteindre les résultats souhaités.
Coopération interagences

Les agences gouvernementales travaillent souvent isolées des autres agences gouvernementales, ainsi que des organisations non gouvernementales, des entités du secteur privé, des communautés locales et d'autres partenaires potentiels. La coopération inter-agences garantit que des agences distinctes dont les mandats ou les intérêts se chevauchent se concertent et collaborent entre elles pour atteindre des objectifs communs. Le ministère de l'environnement, des forêts et du tourisme est le gardien de la faune et de la flore sauvages et des autres ressources terrestres de la Namibie, dont il assure la conservation et la protection. La police namibienne est chargée de maintenir l'ordre public, y compris les lois relatives à la faune et à la flore. La force de défense namibienne est chargée de défendre l'État et ses ressources contre les menaces. Le bureau du procureur général est chargé de poursuivre les suspects au nom de l'État dans le cadre de procédures pénales. Parmi les autres agences gouvernementales dont les missions se chevauchent, citons la direction des douanes et des accises, le centre de renseignement financier et la commission de lutte contre la corruption. Les actions du gouvernement peuvent être considérablement renforcées par des partenariats avec les ONG, le secteur privé, les communautés locales et les agences de financement internationales. Une collaboration active entre les agences gouvernementales, et entre le gouvernement et les autres parties prenantes, facilite une lutte efficace contre la criminalité liée aux espèces sauvages en Namibie.

  • Engagement total de tous les niveaux de gouvernement
  • Des mandats clairs pour les agences avec des objectifs communs
  • Communication active et continue et partage des ressources
  • Des relations de travail solides entre les personnes clés
  • Confiance dans l'intégrité et la compétence des individus et des organisations
  • Reconnaissance totale des contributions individuelles
  • Reconnaissance des rôles définis aux niveaux individuel et organisationnel
  • Renforcement des capacités et autonomisation à tous les niveaux
  • Financement externe et soutien technique rapides et flexibles
  • Reconnaissance des parties prenantes et soutien des mandats gouvernementaux
  • La coopération interagences doit être formalisée par des mémorandums écrits décrivant les objectifs.
  • La coopération interagences nécessite des structures claires, des chaînes de commandement et une confiance mutuelle.
  • Les rôles et les responsabilités au niveau individuel et organisationnel doivent être clairement définis.
  • Tout en travaillant ensemble, chaque agence doit rester dans le cadre de son mandat particulier et en respecter les exigences.
  • Il faut éviter que les agences ou les individus n'outrepassent leurs compétences.
  • Une coopération efficace se construit grâce à une liaison active et continue entre les personnes clés des différentes entités.
  • Les limites de financement et de capacité du gouvernement doivent être surmontées
  • Un soutien financier externe rapide et flexible, directement destiné aux opérations gouvernementales de maintien de l'ordre, permet de libérer tout le potentiel et de motiver les individus.
  • L'idéal est de disposer d'un mélange sain de soutien provenant d'agences de financement internationales et de sources de financement locales qui comblent les lacunes du gouvernement.
  • La pleine reconnaissance de toutes les contributions est essentielle pour obtenir un engagement et un soutien étendus.
  • La communication active et le partage des données et des ressources sont essentiels à la réussite.
  • Le partage des ressources entre les unités repose sur la confiance.
Uniformisation des peines

Les contextes nationaux sont importants à prendre en considération dans le cadre des efforts visant à prévenir le trafic illégal d'espèces sauvages. Il est très important de réunir toutes les parties prenantes concernées pour comparer les notes, partager les innovations et veiller à ce que les lignes directrices en matière de condamnation soient harmonisées au sein des juridictions et entre elles. Cette démarche peut être soutenue par des formations et un renforcement des capacités aux niveaux régional et international.

Le fait de disposer d'un système judiciaire bien informé peut contribuer à l'uniformisation des peines et souligner que les peines infligées pour des délits liés à la faune et à la flore sauvages reflètent rarement l'abattage d'un seul animal, mais doivent plutôt tenir compte des dommages que le trafic d'espèces sauvages peut causer aux écosystèmes, aux économies et à l'État de droit.

Ce travail a montré qu'il est important de réunir toutes les parties prenantes concernées. Les formations organisées dans le cadre de cette solution ont rassemblé les services répressifs, les procureurs et les magistrats, qui jouent tous un rôle crucial dans l'efficacité de l'interception et de la répression.

Coopération - Améliorer l'échange d'informations entre les juridictions

La coopération multijuridictionnelle est un élément clé de la protection des espèces sauvages et du trafic illégal d'espèces sauvages. Les stratégies visant à réduire les pressions exercées sur la biodiversité par le commerce illégal et non durable - et à renforcer les avantages pour la conservation des espèces sauvages et le bien-être humain qui découlent d'un commerce à des niveaux durables - nécessitent une coopération entre la conservation, l'application de la loi, les douanes et l'industrie privée.

  • Comparaisons entre les juridictions des tendances, des modèles, des impacts et des moteurs du commerce des espèces sauvages afin de renforcer la base de connaissances sur le commerce des animaux et des plantes sauvages.
  • Travail au niveau politique pour informer, soutenir et encourager les gouvernements et les organismes internationaux à adopter, mettre en œuvre et faire respecter des politiques efficaces.

Un partage efficace d'informations par le biais de réseaux formels et informels peut aboutir à des condamnations de haut niveau et à la saisie d'actifs.

Une fois qu'un niveau de coopération de base est établi, chaque pays devrait mettre en œuvre une législation permettant de traiter les crimes contre les espèces sauvages comme des crimes graves et organisés conformément à la Convention des Nations unies contre la criminalité transnationale organisée (UNTOC), avec des peines de quatre ans ou plus d'emprisonnement. Les peines doivent punir le délinquant dans une mesure justifiée par les circonstances et être comparables aux peines appliquées à d'autres crimes graves. Les peines doivent prévoir des conditions qui aideront le délinquant à se réhabiliter, dissuaderont le délinquant et d'autres personnes de commettre la même infraction ou une infraction similaire, et montreront clairement que la communauté dénonce le type de comportement dans lequel le délinquant a été impliqué.

L'échange d'informations entre les services répressifs, les CRF, les institutions financières et la société civile doit être encouragé afin de partager les connaissances, d'identifier les cibles et les modèles de comportement et de réduire plus efficacement les risques liés à la criminalité liée aux espèces sauvages.

Comptabilité légale pour l'interdiction du trafic d'espèces sauvages

La criminalité liée aux espèces sauvages n'est pas seulement un problème de conservation, car ses effets néfastes menacent également le développement durable, la bonne gouvernance, l'État de droit et la sécurité nationale.

L'objectif de ce module est d'identifier les risques et les vulnérabilités du blanchiment d'argent et son lien avec la criminalité liée aux espèces sauvages. En outre, ce module s'efforce de fournir des conseils et des recommandations aux forces de l'ordre et au personnel concerné afin d'améliorer l'aspect financier des enquêtes sur les crimes contre la faune et la flore sauvages.

Des documents frauduleux peuvent transformer la contrebande d'espèces sauvages en marchandises apparemment légitimes, ce qui permet d'en faire ouvertement le commerce et d'échapper à l'interdiction. Les criminels ont recours à de nombreux stratagèmes pour créer des documents frauduleux sur les espèces sauvages, notamment de fausses déclarations d'élevage en captivité, l'achat de documents à des fonctionnaires corrompus, la falsification de documents, la réutilisation ou la modification d'anciens permis, etc. La comptabilité légale est donc un élément important de l'édifice

La criminalité transnationale organisée est présente partout où des transactions illicites peuvent rapporter de l'argent, et des groupes criminels bien organisés ont fait de l'exploitation illégale des espèces sauvages une activité professionnelle aux revenus lucratifs. Les groupes criminels exploitent les lacunes de la législation, de l'application de la loi et du système de justice pénale ; la législation généralement faible et l'application inadéquate de la loi en matière de protection des espèces sauvages ont permis aux groupes criminels de prospérer. La comptabilité légale permet aux praticiens de combler ces lacunes et de renforcer la protection des espèces sauvages.

Afin de tirer parti de l'amélioration de la comptabilité judiciaire, une législation complémentaire devrait permettre de considérer la criminalité liée aux espèces sauvages comme une infraction préalable au blanchiment d'argent, de sorte que les outils de lutte contre le blanchiment d'argent puissent être utilisés. Les gouvernements devraient revoir leur législation pénale afin de s'assurer que les organismes chargés de l'application de la loi sont pleinement autorisés à suivre les flux financiers liés à la criminalité liée aux espèces sauvages et à poursuivre les délits de blanchiment d'argent.

La coopération nationale entre plusieurs agences devrait être une pratique courante pour les crimes contre les espèces sauvages, impliquant la police, les douanes, les autorités environnementales, les unités d'investigation financière (FIU), les procureurs et d'autres agences nationales concernées pour partager des informations, des renseignements et mener des enquêtes conjointes le cas échéant. Les équipes d'enquête conjointes comprenant des CRF sont essentielles pour cibler les réseaux criminels et pas seulement les délinquants de bas niveau, et sont depuis longtemps utilisées avec succès pour lutter contre d'autres types de crimes graves.

Adaptation basée sur les écosystèmes et mesures agricoles intelligentes face au climat

Les cinq mesures d'EbA/CSA ont constitué la pierre angulaire de la réussite du projet.

Elles ont été sélectionnées en raison de leur familiarité et de leur adéquation avec la population locale.

Elles ont aidé les participants au projet à adapter leurs pratiques agricoles au changement climatique tout en améliorant et en diversifiant leurs moyens de subsistance.

* Sélection participative des interventions avec les agriculteurs et le personnel spécialisé

* Soutien des agences locales de vulgarisation et de développement rural

* Soutien fréquent et régulier par des experts et des approches d'agriculteur à agriculteur

* La familiarité avec l'intervention augmente la probabilité d'adoption.

* Les agriculteurs ont préféré modifier leurs systèmes agricoles en s'appuyant sur les connaissances acquises dans le cadre du projet plutôt que de changer complètement et d'un seul coup.

Renforcer les capacités des partenaires locaux

Le renforcement des capacités des partenaires locaux a été un élément important du projet pour permettre la réalisation des résultats.

Les capacités ont été renforcées par des formations en ligne et des discussions informelles.

Sans partenaires compétents, aucune activité de terrain n'aurait pu être mise en œuvre pendant les restrictions de voyage du COVID-19.

* Renforcement des capacités des principales parties prenantes locales incluses dans la conception du projet

* Disponibilité de smartphones, d'ordinateurs et de réseaux

* Formateurs experts disponibles et capables de s'adapter de manière flexible à la formation en ligne

* Bien que la plupart des parties prenantes préfèrent les événements de renforcement des capacités en personne, les réactions à la formation en ligne ont été extrêmement positivesa et pourraient être intégrées dans de futurs projets afin de réduire les coûts et d'accroître la flexibilité des options de prestation.

Partenariats avec les partenaires locaux

Les partenariats avec la Taskforce provinciale, qui a supervisé les activités du projet en général, ainsi qu'avec le Centre provincial de vulgarisation agricole et l'Union des agriculteurs ont permis d'atteindre les résultats escomptés, malgré les restrictions de voyage dues au COVID-19.

Les partenariats avec ces partenaires locaux ont également permis d'intégrer ultérieurement les interventions du projet dans les programmes des partenaires provinciaux.

* L'engagement de tous les niveaux de gouvernement dans la province, en particulier sur les sites du projet, a été d'une importance cruciale pour établir les partenariats.

* L'approbation du projet au niveau national a été essentielle pour garantir l'adhésion provinciale et locale.

* La disponibilité généralisée des smartphones et l'accès au réseau et aux ordinateurs de bureau ont été essentiels pour assurer le progrès, même pendant les restrictions de voyage liées à la pandémie.

* La mise en place de partenariats solides est une stratégie de réduction des risques, comme l'a montré la pandémie, au cours de laquelle les partenaires locaux ont été en mesure de mener de nombreuses activités avec l'aide d'experts à distance.