
Gestion communautaire des ressources naturelles dans les montagnes de l'Altaï Sayan

Le projet "Community-based Conservation of Biological Diversity in the Mountain Landscapes of Mongolia's Altai Sayan Eco-region", financé par le FEM et soutenu par le PNUD, a collaboré avec les communautés locales de la région pour appliquer des stratégies de gestion et de conservation communautaires qui permettent aux communautés d'éleveurs de résoudre les problèmes de gestion des forêts et des prairies par le biais de partenariats avec les gouvernements et les ONG.
Contexte
Défis à relever
Emplacement
Traiter
Résumé du processus
Blocs de construction
Formation de groupes communautaires et formation
Facteurs favorables
Leçon apprise
Renforcer la coordination et le soutien au niveau local
Facteurs favorables
Leçon apprise
Modification de la loi sur la protection de l'environnement
Facteurs favorables
Leçon apprise
Impacts
Des moyens de subsistance diversifiés. Plus de 7 000 bergers ont été formés à la gestion de la faune et de la flore sauvages ainsi qu'à de nouveaux métiers, notamment le tissage, la fabrication de feutre, la transformation des produits laitiers, la commercialisation et le tourisme. La diversification des moyens de subsistance a permis de réduire la pression sur les ressources (la population des espèces cibles d'importance mondiale a augmenté de manière mesurable pendant la durée du projet) et offre aux communautés davantage d'options en cas de conditions météorologiques extrêmes. Amélioration de la coordination et des capacités au sein des communautés nomades. Une fois que les groupes d'éleveurs nomades ont commencé à organiser et à gérer leurs propres ressources naturelles, ils ont commencé à se soutenir mutuellement. De nombreuses communautés ont même décidé de réduire le nombre de têtes de bétail pour tenir compte de ce que les prairies pouvaient supporter. Elles ont également mis en place un système d'accueil pour les touristes désireux de découvrir la vie nomade. Quinze pour cent des revenus du tourisme sont versés au fonds communautaire et le reste est réparti entre les ménages.