Alliances

Diverses alliances ont dû être conclues pour assurer la réussite du programme. Une collaboration a été nécessaire entre les parties prenantes suivantes :

  • les autorités administratives et les gouvernements locaux et provinciaux
  • Groupes sociaux tels que les clubs de jeunes, les groupes de femmes, les comités agricoles
  • Comités de protection des forêts et des terres
  • Entreprises privées locales, régionales et nationales
  • Divers experts, chercheurs et universitaires du secteur

Étant donné que cette solution implique des activités à plusieurs niveaux (planification, mise en œuvre, conservation, suivi, commercialisation et promotion), il devient essentiel de rassembler toutes les parties prenantes et de les relier entre elles par des objectifs communs et les responsabilités qui leur sont attribuées par l'État et la société.

- Les parties prenantes n'ont pas toujours les mêmes intérêts et objectifs

- Les conflits entre les parties prenantes des alliances sont fréquents en raison de leurs intérêts.

- La rigueur des aspects juridiques dans les relations avec la bureaucratie locale est nécessaire.

- La conscience de l'intérêt général doit être évoquée à tous les acteurs, encore et encore.

Amélioration des conditions de vie des peuples autochtones Batwa

L'épargne collective effectée par les Batwa a servi pour acheter 3 ha de propriété. C'est la communauté qui a négocié elle-même le coût de cette propriété. C'est elle même qui s'est organisée pour partager équiteblement cette terre. C'est elle-même qui s'est engagée à fabriquer des briques pour leurs maisons. Les partenaires sont venus en aide compte de leur engagement en leur octroyant des tôles et du ciment. Ainsi leur situation est intimement liée à la protection effective de la réserve naturelle forestière de Bururi

- Identification du vrai problème majeur et identification de la vraie solution.

- Responsabilisation des communautés bénéficiaires

- Prise des décisions consensuelles

- Communication permanente

- Respect mutuel

Le dialogue permet de résoudre tous les problèmes. Par contre,  le manque de dialogue est source de toute sorte de conflit.

Le dialogue crée une situation gagnant-gagnant aussi bien pour la biodiversité que pour les communautés.

La gestion participative des ressources naturelles

En 2017, 28 ménages de Batwa (peuples autochtones du Burundi) ont été impliqués dans les activités d'entretien de 33 km de la limite et 15 km de pistes internes, d'ouverture de 2 km de  sentiers touristiques, de lutte contre les feux de brousse et  de braconnage.

- La confiance mutuelle entre la communauté Batwa et les gestionnaires de la réserve.

- L'engagement d'un dialogue permanent entre les services de la conservation de l'aire protégée et la communauté Batwa.

- La transparence dans la gestion des fonds alloués à l'implication de cette communauté dans les actvités d'aménagement de la réserve.

- La responsabilisation des Batwa est une marque de respect et d'estime qui motive les Batwa à s'impliquer davantage dans la protection de la réserve.

 

La gestion de la biodiversité requiert une approche holistique et écosystémique.

On ne peut pas réussir la conservation de la nature sans tenir compte du rôle des communautés riveraines.

 

 

 

Approbation gouvernementale

Certains de nos programmes impliquent la transplantation de coraux. En Thaïlande, il est illégal de toucher ou d'endommager le corail, c'est pourquoi nous avons dû demander une autorisation pour certains de nos programmes.

Pour recevoir l'approbation du gouvernement, nous avons d'abord soumis une proposition de zone de restauration des récifs coralliens. Cette proposition comprend les techniques de transplantation, les personnes impliquées, leur expérience et leurs qualifications, ainsi qu'un plan à long terme pour la surveillance et l'entretien.

Le DMCR a pleinement approuvé nos activités de restauration et nous menons des recherches sur les transplantations et leur fournissons ces données.

  • Expérience en matière de restauration du corail
  • Plan à long terme
  • Proposition au gouvernement
  • Évaluation et approbation

Le processus d'approbation est long. Il a fallu plus de deux ans de communication, de soumissions et d'évaluations pour être en mesure de montrer que nos programmes sont couronnés de succès et être évalués et approuvés.

Pour obtenir l'autorisation, il faut un groupe de bénévoles engagés qui ont une expérience pertinente et qui sont prêts à participer au programme pendant une longue période.

4. MOYENS DE SUBSISTANCE FONDÉS SUR LA NATURE

Dans ce cadre, l'UCRT établit des partenariats stratégiques avec des investisseurs éthiques et des organisations spécialisées dans le développement d'entreprises basées sur la nature. Les bénéfices pour la communauté sont alors accrus par le renforcement des capacités à s'engager dans des entreprises basées sur les ressources naturelles, telles que l'écotourisme, les projets carbone ou les servitudes. L'UCRT soutient également l'autonomisation économique des femmes afin qu'elles soient en mesure, au sein de leur foyer et de leur communauté, d'être les gardiennes de leur terre et de leurs ressources naturelles.

Pour assurer le succès de ces éléments constitutifs, la participation est essentielle. Nous pensons que l'autonomisation est cruciale pour un engagement et une représentation équitables en vue d'une gestion efficace des ressources. La résolution des conflits est également un élément clé du processus. Nous méditons sur les conflits afin de renforcer la participation et l'action collective dans la gestion durable des terres communautaires.

BÉNÉFICES DES RESSOURCES NATURELLES - L'objectif ultime des efforts de l'UCRT est de permettre aux communautés de bénéficier de leurs terres et de leurs ressources naturelles gérées de manière durable afin d'améliorer leurs moyens de subsistance. Il y a plusieurs étapes clés à franchir pour y parvenir : le renforcement des capacités locales, le renforcement des institutions de gouvernance, la garantie des droits et de la propriété, l'amélioration de la gestion et, enfin, la génération de bénéfices. Nous avons identifié qu'UCRT doit s'engager dans tous les aspects de ce processus, ou, à travers leur travail fondamental sur le renforcement des capacités, la gouvernance et la garantie des droits, ils fournissent un impact critique qu'ils sont les seuls à pouvoir fournir.

ÉQUIPEMENT ÉCONOMIQUE DES FEMMES - Les femmes capables sont souvent empêchées d'occuper des postes de direction en raison de leur pauvreté. Le point d'entrée de ces activités sera les femmes dans les forums sur les droits des femmes et le leadership qu'UCRT s'efforce déjà de renforcer. UCRT renforcera ses capacités internes afin d'aider directement les femmes à développer des moyens de subsistance basés sur la nature. UCRT travaillera également en étroite collaboration avec des partenaires qui possèdent déjà des compétences en matière de développement d'entreprises basées sur la nature afin d'apporter des connaissances, des compétences et des opportunités supplémentaires aux WRLFs.

3.LA GESTION DES RESSOURCES NATURELLES DE LA COMMUNAUTÉ

L'UCRT s'efforce de soutenir à la fois les droits et le bien-être des communautés, ainsi que la flore et la faune du nord de la Tanzanie, en aidant les communautés à améliorer et à renforcer leurs systèmes et pratiques de gestion. Pour ce faire, l'UCRT facilite la formulation par les villages de plans d'utilisation des terres et de règlements de gestion des ressources naturelles, et renforce la capacité des communautés à gérer durablement les pâturages au-delà des frontières des villages.

Pour assurer le succès de ces éléments constitutifs, la participation est essentielle. Nous pensons que l'autonomisation est cruciale pour un engagement et une représentation équitables en vue d'une gestion efficace des ressources. La résolution des conflits est également un élément clé du processus. Nous méditons sur les conflits afin de renforcer la participation et l'action collective dans la gestion durable des terres communautaires.

  1. GESTION DURABLE - S'appuyant sur le développement de plans d'utilisation des terres et de règlements, l'UCRT a élargi son approche en :
    - S'assurant que les communautés protègent la connectivité entre les routes migratoires du bétail ;
    - Intégrant les connaissances scientifiques aux approches de gestion coutumière pour améliorer les pâturages ; et
    - Intégrant les informations relatives aux impacts du changement climatique et à la croissance de la population.
    L'UCRT travaille désormais avec des comités de pâturage élus composés de chefs traditionnels et renforce leurs connaissances et leurs compétences en matière de gestion des pâturages au niveau du village, en communiquant les connaissances scientifiques pertinentes de manière à ce qu'elles puissent être comprises dans un contexte traditionnel. L'UCRT les aide à s'engager avec d'autres représentants de comités de pâturage de villages voisins pour développer des accords transfrontaliers de pâturage et d'utilisation des terres. Ces protocoles d'accord transfrontaliers entre villages dotés de CCRO de pâturage communal favorisent la mobilité du bétail et de la faune sauvage et garantissent un partage équitable et durable des ressources au-delà des frontières villageoises.

2. LA GOUVERNANCE
L'UCRT renforce la capacité des institutions de gouvernance locale et des communautés qu'elles servent à comprendre leurs droits, leurs rôles et leurs responsabilités. Les communautés sont aidées à mettre en place des structures de gouvernance pour soutenir la durabilité des terres et des ressources naturelles. Un renforcement des capacités est également effectué pour garantir que ces structures de gouvernance sont transparentes et responsables. Cela permet également de promouvoir les droits des femmes à occuper des postes de direction et à faire entendre leur voix dans les processus de prise de décision. L'UCRT s'engage dans le plaidoyer et le dialogue politique pour aider à créer des conditions favorables à la gestion durable des ressources naturelles au niveau communautaire. Dans le cadre du processus de gestion, les communautés élaborent des règlements régissant les ressources naturelles afin de soutenir l'application et la mise en œuvre de pratiques visant à soutenir les écosystèmes durables. Pour les groupes pastoraux également, des plans et des calendriers de pâturage sont établis afin de garantir une approche holistique de l'utilisation et de la durabilité des ressources naturelles pour aujourd'hui et pour l'avenir.

Pour assurer le succès de ces éléments constitutifs, la participation est essentielle. Nous pensons que l'autonomisation est cruciale pour un engagement et une représentation équitables en vue d'une gestion efficace des ressources. La résolution des conflits est également un élément clé du processus. Nous méditons sur les conflits afin de renforcer la participation et l'action collective dans la gestion durable des terres communautaires.

BÉNÉFICES DES RESSOURCES NATURELLES - L'objectif ultime des efforts de l'UCRT est de permettre aux communautés de bénéficier de leurs terres et de leurs ressources naturelles gérées de manière durable afin d'améliorer leurs moyens de subsistance. Il y a plusieurs étapes clés à franchir pour y parvenir : le renforcement des capacités locales, le renforcement des institutions de gouvernance, la garantie des droits et de la propriété, l'amélioration de la gestion et, enfin, la génération de bénéfices. Nous avons identifié qu'UCRT doit s'engager dans tous les aspects de ce processus, ou, à travers leur travail fondamental sur le renforcement des capacités, la gouvernance et la garantie des droits, ils fournissent un impact critique qu'ils sont les seuls à pouvoir fournir.

ÉQUIPEMENT ÉCONOMIQUE DES FEMMES - Les femmes capables sont souvent empêchées d'occuper des postes de direction en raison de leur pauvreté. Le point d'entrée de ces activités sera les femmes dans les forums sur les droits des femmes et le leadership qu'UCRT s'efforce déjà de renforcer. UCRT renforcera ses capacités internes afin d'aider directement les femmes à développer des moyens de subsistance basés sur la nature. UCRT travaillera également en étroite collaboration avec des partenaires qui possèdent déjà des compétences en matière de développement d'entreprises basées sur la nature afin d'apporter des connaissances, des compétences et des opportunités supplémentaires aux WRLFs.

1. LE RÉGIME FONCIER COMMUNAUTAIRE

Environ 70 % des terres tanzaniennes sont des terres villageoises détenues et gérées par les communautés locales. C'est pourquoi la loi tanzanienne sur les terres autorise la propriété et la gestion des terres par les communautés, par l'intermédiaire des organes de gouvernance locaux. Pour garantir les droits fonciers de ces communautés, un village doit donc disposer d'un certificat foncier qui définit les limites officielles de chaque village. Pour ce faire, il faut résoudre les conflits pour que les villages voisins se mettent d'accord à l'amiable sur les limites de leurs villages respectifs. Ensuite, les communautés sont aidées à entreprendre un plan d'aménagement du territoire du village, conformément aux lignes directrices nationales en matière d'aménagement du territoire. Ensuite, les communautés sont aidées à obtenir un certificat communal de droit coutumier d'occupation (CCRO), un titre de propriété communal sur leurs terres dans lesquelles elles continuent à exercer leurs pratiques traditionnelles qui sont respectueuses et contribuent à la conservation de l'environnement. Ces CCRO communaux sont reliés les uns aux autres pour favoriser la mobilité du bétail et de la faune d'une zone à l'autre, ce qui permet à ces animaux d'accéder à des ressources communes cruciales telles que les points d'eau et les salines.

Pour assurer le succès de ces éléments constitutifs, la participation est essentielle. Nous pensons que l'autonomisation est cruciale pour un engagement et une représentation équitables en vue d'une gestion efficace des ressources. La résolution des conflits est également un élément clé du processus. Nous méditons sur les conflits afin de renforcer la participation et l'action collective dans la gestion durable des terres communautaires.

GESTION DURABLE - Des efforts considérables ont été déployés pour aider les communautés à obtenir des droits formels sur les terres, mais la sécurité foncière ne signifie pas à elle seule que ces terres sont productives et saines, en particulier compte tenu des pressions croissantes créées par la croissance de la population humaine, les impacts du bétail, les pressions liées à l'utilisation des terres et le changement climatique. Faut-il travailler à l'amélioration de l'état et à la gestion durable des terres de parcours et des ressources naturelles une fois qu'elles ont été sécurisées ? Et si oui, quel devrait être le rôle de l'UCRT à cet égard ? En s'appuyant sur le développement de plans d'utilisation des terres et de règlements, l'UCRT a élargi son approche en :
- S'assurant que les communautés protègent la connectivité entre les routes migratoires du bétail ;
- Intégrant les connaissances scientifiques aux approches de gestion coutumière pour améliorer les pâturages ; et
- Intégrant les informations relatives aux impacts du changement climatique et à la croissance de la population.

Normes et accès aux données interagences

Plutôt que d'harmoniser les données après leur collecte, des normes interagences pour la collecte des données sous-jacentes des comptes physiques et monétaires permettront d'agréger et de désagréger, de fusionner et de filtrer facilement les données. Ces normes devraient couvrir le stockage et la collecte des données afin que les données recueillies au fil du temps soient comparables. En outre, le partage des données entre les ministères et les départements permettra d'éviter la réapparition de données lorsqu'elles existent.

  • Coopération interinstitutionnelle
  • Offices statistiques habilités à fixer des normes
  • Sécurité des données et infrastructure de soutien sous-jacente

La collecte de données adaptées pour répondre à des questions politiques particulières peut être redondante, à moins que l'ensemble des efforts de collecte de données existants ne soit accessible et ne puisse être désagrégé. Les données nécessaires à la comptabilité des océans existent peut-être déjà, mais elles sont collectées par les ministères de l'environnement ainsi que par les ministères du commerce et des transports.

Financement

Disposer des ressources financières nécessaires pour obtenir les données et les ressources humaines requises pour chacune des phases du projet en identifiant une source de financement fiable et continue.

Les sources de financement peuvent être les suivantes : organisations non gouvernementales et universités, fonds de financement internationaux, fondations à but non lucratif, institutions nationales : Les organisations non gouvernementales et le monde universitaire, les fonds de financement internationaux, les fondations à but non lucratif, les budgets institutionnels nationaux, entre autres.

  • Clarifier le budget nécessaire (évaluation des coûts du projet), la manière dont il sera utilisé et la manière dont il sera géré.
  • Le financement de la coopération allemande au développement a apporté fiabilité et stabilité au processus.
  • Le financement est essentiel au développement d'une telle solution, car elle nécessite des images géospatiales coûteuses et du personnel spécialisé pour analyser les informations.
  • La disponibilité d'un financement temporaire (par exemple par le biais de la coopération internationale) peut être le moteur de la construction de cet outil, mais ne garantit pas sa durabilité (maintenance, mise à jour et utilité à long terme).