Programme PaRx : la nature au service de la santé physique et mentale

Le programme PaRx est le programme national de prescription de produits naturels du Canada. Mis au point par la BC Parks Foundation, PaRx crée un cadre pour guider les professionnels de la santé dans la prescription de la nature afin d’améliorer la santé et le bien-être des patients. Le programme PaRx propose des ressources pratiques, axées sur le clinicien, telles que des conseils rapides et des documents à l’intention des patients, afin de rendre le temps de prescription dans la nature facile et efficace. Les prescriptions PaRx pour la nature recommandent de passer au moins deux heures par semaine dans la nature, au moins 20 minutes à la fois, afin d’obtenir les avantages de la connexion avec la nature pour la santé et le bien-être.

 

La conception du programme PaRx est fondée sur des études suggérant que les prescriptions écrites sont mieux accueillies que les conseils oraux pour motiver les patients à changer. (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1508188/) (En anglais seulement). En outre, les enquêtes indiquent que les prestataires de soins de santé sont régulièrement classés parmi les professionnels les plus dignes de confiance, ce qui augmente la probabilité que les patients adhèrent aux recommandations de se connecter à la nature pour leur santé et leur bien-être.

  • Des liens formels avec la communauté des soins de santé et un soutien solide de sa part pour délivrer des prescriptions et suivre les résultats du programme.
  • De nombreuses recherches confirment les liens entre le temps passé dans la nature et l’amélioration de l’état de santé.
  • Il est important que le programme soit piloté par les prestataires de soins de santé afin de garantir sa pertinence pour les prescripteurs et de soutenir au mieux les patients dont la santé peut bénéficier au maximum du temps passé dans la nature.
  • La collecte de données au fil de la mise en œuvre du programme est essentielle pour déterminer si celui-ci atteint ses objectifs.
Choisir la méthode d’évaluation adaptée aux caractéristiques du terrain

Des évaluations de stock d’holothuries ont été effectuées ailleurs dans le monde, cependant les espèces ciblées, les profondeurs et les besoins logistiques étaient différents. Dans notre cas, il a été impératif de retravailler le protocole initial afin qu’il soit plus adapté au terrain, plus réaliste et plus efficace.

  • Maîtriser les caractéristiques spécifiques au terrain d’étude (profondeur, exposition, etc.).

  • Maîtriser les caractéristiques des différentes méthodes de collecte de données.

  • Adapter le protocole à la réalité du terrain et aux besoins scientifiques.

  • Etablir un tableau “Avantages et inconvénients” pour chaque méthode.

  • Comparer les méthodes simultanément sur un même site.

  • Effectuer la comparaison sur des sites avec différents caratéristiques (zones géomorphologiques). 

  • Choisir un “site témoin” où la présence de l’holothurie a été confirmée.

  • Effectuer des plongées de reconnaissance sur les sites sélectionnés.

  • Tester le matériel.

  • Effectuer des simulations à des sites représentatifs des zones géomorphologiques qui seront étudiées.

  • Répertorier la profondeur de tous les sites.

  • Évaluer tous les risques possibles.

  • Prioriser la sécurité des plongeurs. 

  • Avoir un large réseau de plongeur professionnel.

  • Planifier et anticiper.

  • Prévoir des jours de rattrapage dans le cas d’un report dû à un imprévu (problème technique, mauvaise météo, plongeur indisponible).

 

Etablir un protocole scientifique basé sur les connaissances des pêcheurs locaux

Lors de l’élaboration du protocole d’étude, il est primordial de valoriser l’expérience des locaux. Travailler en partenariat avec d'anciens pêcheurs de l'holothurie à faciliter le choix des sites. Les témoignages des pêcheurs ont servi à l’organisation des plongées et à la détermination des risques pour mieux les anticiper. 

  • La prise de contact avec les acteurs principaux (pêcheurs, experts scientifiques, communes, etc).

  • L’ouverture d’esprit et la reconnaissance de l’expertise de chaque acteur.

  • Le réseautage pour organiser les équipes de plongeurs professionnels patentés selon les disponibilités de chacun.

  • Maîtriser l’organisation de plongées sous-marines professionnelles à des profondeurs importantes (35 m - 45 m).

  • Construire un protocole en accord avec le projet et la sécurité des plongeurs.

  • Avoir une position d’écoute.

  • Rassurer les pêcheurs sur nos intentions en expliquant clairement l’intérêt de notre étude dans leur lagon.

  • Valoriser les capacités et les connaissances de ces anciens.

  • Instaurer une relation de respect et de confiance entre tous les acteurs du projet.

  • Essayer au mieux de répondre scientifiquement à leur interrogation sur leurs observations passées sur le comportement de l’animal (migration selon la phase lunaire? ). 

Gouvernance des ressources communautaires en appui à la planification d’une aire protégée et d’un paysage (synergie descendante/ascendante)

LE PEM a utilisé la législation malienne sur la décentralisation pour créer, avec les populations locales, un modèle de GCRN "centré sur les éléphants". Cette législation a rempli une fonction cruciale qui a permis d’aboutir à un modèle de gouvernance des ressources au niveau des villages et des communes, inscrit dans les conventions locales et communales, ainsi que dans les plans de développement socio-économique des communes. Le PEM a ensuite travaillé avec le gouvernement pour renforcer ces systèmes, en rédigeant une nouvelle législation pour créer une nouvelle aire protégée recouvrant l'ensemble de la route de migration des éléphants, modelée sur une réserve de biosphère qui soutient les conventions communautaires. L'objectif est de fournir un mandat aux forestiers du gouvernement pour qu'ils soient en mesure d’appuyer, si nécessaire, les communautés locales dans l'application de leurs conventions, renforçant par là même les systèmes communautaires. Les intérêts nationaux et locaux, ainsi alignés, se renforcent mutuellement, ce qui fournit une approche de gestion rentable pour la réserve. Cette approche descendante complète l'approche ascendante de l'engagement communautaire.

Le modèle de GCRN "centré sur les éléphants" qui a été développé

L'importance d’une législation favorable permettant de catalyser la responsabilisation à la base.

 

La nécessité d'une agence de "médiation" neutre pour rassembler les différentes parties de la communauté.

 

Le processus d’élaboration d'une nouvelle législation est long et dépend du degré d'engagement des partenaires gouvernementaux et de leur soutien à l'initiative, mais les ONG peuvent fournir un appui technique et des rappels pour faire avancer les choses.

Une approche orientée vers les bailleurs et les partenaires

Pour répondre à tous les besoins identifiés dans les évaluations, l’Office Ivoirien des Parcs et Réserves (OIPR) recherche continuellement des financements par la formulation et la soumission de projets à différents partenaires. A ce propos, il dispose d’un catalogue de projets qu’il peut adapter en fonction des exigences du financement sollicité. Pour le PNB, en plus du financement du FEM, l’Office a soumis une demande auprès du programme BIOPAMA dans le cadre des petites subventions techniques. Ce financement a permis la réhabilitation et l’équipement de l’écomusée du parc, et de mener une étude de faisabilité en vue de la construction d’une passerelle suspendue dans la canopée des arbres du PNB.

Pour la valorisation de la destination PNB, une collaboration avec les professionnels du tourisme y compris le Ministère du Tourisme a permis d’intégrer le PNB dans les circuits touristiques proposés aux voyageurs en Côte d’Ivoire.

Par ailleurs, des clubs services comme le Lions Club et le Rotary Club apportent souvent des appuis ponctuels au PNB.

Le PAG 2019-2028 du PNB reprend les conclusions des différents diagnostics et constitue un manuel de référence pour la sélection des projets de gestion du parc. Plusieurs partenaires peuvent donc contribuer à l’atteinte des objectifs du parc. La direction de l’OIPR et du PNB doit être ouverte aux différentes formes de partenariat, tout en sachant exactement ce dont le parc a besoin.

L’existence d’un Plan d’Aménagement et de Gestion (PAG) est un élément important et nécessaire pour rechercher des financements et orienter la gestion d’un parc. En outre, il faudrait toujours être à l’écoute des bailleurs pour répondre à leur exigence et obtenir des financements.

Evaluation de la gestion du PNB

C’est en 2016 que, pour la première fois, le Parc National du Banco (PNB) a évalué l’efficacité de sa gestion, en utilisant l’outil Integrated Management Effectiveness Tool (IMET) https://rris.biopama.org/pame/tools.  Etant un outil d’évaluation en profondeur, IMET a permis de mettre en lumière tous les points d’amélioration pour une gestion plus efficace du parc. Elle a surtout mis en exergue l’intérêt d’un développement touristique harmonieux du PNB qui pourrait régler les problèmes liés à la localisation urbaine (pollution, empiètement, problèmes fonciers) tout en exploitant cette opportunité géographique. Parmi les points faibles relevés par IMET en matière d’écotourisme :

  • Manque d’innovation pour le développement écotouristique
  • Faible diversité de l’offre touristique et des expériences des visiteurs
  • Insuffisance des bénéfices économiques pour le parc et pour les populations riveraines

Plusieurs points forts ont été également identifiés, qui méritent d’être capitalisés tels que l’existence d’infrastructures d’hébergement à proximité du parc, de restauration et les loisirs ; l’accessibilité, la sécurité, etc.

L’évaluation de la gestion du PNB est un exercice participatif et inclusif qui regroupe les représentants du gestionnaire, des chercheurs, des bailleurs, des ONGs ainsi que ceux des communautés riveraines. Cette représentativité des parties prenantes permet d’apprécier et de prendre en compte les points de vue de chacun. Les coaches IMET assurent la facilitation de l’évaluation pour que toutes les parties prenantes soient à l’aise pour exprimer leurs avis. Ils ont également aidé à faire une analyse plus critique des résultats de l’évaluation. 

La première évaluation de l’efficacité de gestion avec IMET en 2016 a montré l’importance et les avantages d’une évaluation participative. Depuis 2017, le PNB a continué l’évaluation annuelle de l’efficacité de sa gestion avec l’outil METT. Ces évaluations sont une exigence Fonds Mondial pour l’Environnement (FEM) qui finance le PROGIAP-CI et le choix de l’outil METT s’est fait au moment où l’outil IMET n’était pas encore vulgarisé. Cette évaluation a permis l’élaboration, à partir de 2018, du Plan d’Aménagement et de Gestion du PNB (2019-2028) qui sert de document cadre de toutes les activités du parc. Les évaluations successives du PNB réalisées à partir de 2017, avec l’outil METT, montre une nette amélioration de la gestion du parc avec les scores respectifs de 61,29% en 2017 ; 66,67% en 2018 ; 81,72% en 2019. L’évaluation de l’efficacité de gestion fait désormais partie de la culture du PNB.

La conférence des transhumants

La conférence des transhumants est une plateforme de concertation qui permet de rassembler les transhumants éleveurs locaux et étrangers afin de débattre sur la résolution des conflits éleveurs - agriculteurs, éleveurs - garde chasse et éleveurs-faunes sauvages. 

Le renforcement de la collaboration entre les institutions a permis de construire une base solide pour dialoguer et mettre en place des résolutions durables. 

La participation des éleveurs transhumants Nigerians ont permis également d'établir une franche collaboration entre les pays en matière de gestion de la transhumance. 

La possibilité de mettre en place des actions concrètes pour résoudre le problème de surpâturage, la création des espaces de pâturage, des points d'eau, la facilitation de la sédentarisation des éleveurs étrangers.

EP RÉSOLUTION 2

Méthode de lutte contre la pollution plastique et la matière organique de l'océan. 

Le PE en collaboration avec O.I.N.G PACO ont mis en place un comité multicommunale pour l'environnement. Actions collectives  pour la lutte contre la pollution plastique dans les villes de la communauté africaine. 

1. Mécanismes de coordination efficaces néanmoins moins pratiquer 

 

2. Méthodes B1000B de gestion des déchets efficaces et mises en œuvre de façon progressive 

PE RÉSOLUTION

programme créé pour contribuer au développement durables et renforcer
la capacité des États à mieux contrôler le mouvement des populations pour préserver
l'environnement.

But du programme :
(Première phase)
1. étudier de nouvel méthode et approfondir des recherches pour développer des
nouvelles technologies destinées au développement du ​PROGRAMME
ENVIRECOLOGIE
2. Enseigner et Formé les Futurs Docteurs, Experts, Spécialistes et Praticiens au
métier de l'Envirecologie
3. Crée et développé de nouvelle base scientifique et technique et renforcer la
méthodologie et expertise des Hommes et des femmes en faveur de
ENVIRECOLOGIE

Liste d'enseignement :

 

1. Certaine Zone géographique au Cameroun demande des études approfondies dans la gestion des sols,

 

2. Le microclimat connaît des difficultés d'adaptation,

 

3. Les communautés des différentes régions connaissent une croissance d'un manque de réadaptation, 

 

4. Les espaces publics demandent une assistance constante en vue de minimiser l'empreinte environnementale dans les milieux urbain,

 

Solutions ayant moins d'impact :

 

1. Le changement de comportement,

 

2. L'insalubrité,

 

3. Les méthodes d'adaptation pour le changement de comportement,

Base de données spatiales et combler les lacunes des données

La base de données spatiales élaborée pour l'archipel des Açores a été essentiellement basée sur la compilation d'informations cartographiques déjà existantes et disponibles. Ceci était dû à la période limitée de mise en œuvre du projet MarSP et à la nécessité de validation des informations par les entités/autorités compétentes, dans le cas de l'élaboration d'une nouvelle cartographie. Ainsi, les nouvelles informations collectées étaient composées d'informations produites au cours du processus participatif. Le processus participatif, avec la production d'informations cartographiques qui en résulte, s'est déroulé en deux étapes distinctes : (i) l'élaboration d'entretiens individuels, avec les principaux acteurs représentant chacun des secteurs d'activités maritimes identifiés pour les Açores et (ii) des ateliers de discussion et/ou de validation des résultats préliminaires obtenus lors de la recherche et des entretiens sectoriels réalisés, et d'ajout d'informations supplémentaires (lors du 3ème atelier avec les acteurs). Pour collecter les données dans les entretiens réalisés, une solution basée sur le web (SeaSketch) a été utilisée. Cette solution rassemble des outils puissants pour renforcer et améliorer le processus de MSP.

  • Les entretiens en face à face permettent une meilleure participation et une meilleure collecte des données.
  • Les ateliers permettent de clarifier les doutes, de modifier les données et de recueillir de nouvelles données.
  • L'utilisation d'un outil basé sur le web (SeaSketch) facilite la collecte d'informations spatiales pendant les entretiens.
  • Les entretiens prennent du temps.
  • Combler les lacunes en matière de connaissances exige un effort considérable.
  • Besoin de temps pour valider les informations/données par les entités compétentes, dans le cas de l'élaboration d'une nouvelle cartographie.