Services de vulgarisation pour les pratiques de gestion durable des sols par le biais d'organisations communautaires

La mise en œuvre de pratiques de gestion durable des sols se traduit par des avantages économiques pour les agriculteurs par rapport aux pratiques habituelles. Toutefois, en l'absence d'information et de formation, le risque d'inversion du stockage du carbone par un changement d'utilisation des terres au cours de la période d'attribution des crédits est élevé. Grâce à des services de vulgarisation à long terme sur les différentes pratiques de gestion durable des sols, les agriculteurs participants disposent des connaissances nécessaires pour poursuivre ces pratiques pendant toute la durée du projet, voire au-delà, et sont en mesure d'estimer les conséquences des différents types d'utilisation des sols. Tous les agriculteurs participants bénéficient de ces consultations semestrielles pendant toute la durée du projet, soit 20 ans. Ces consultations sont indépendantes de la taille de leurs terres, ce qui signifie que les bénéfices sont répartis de manière plus équitable et que les ménages les plus faibles en termes de séquestration du carbone et de taille en bénéficient même de manière disproportionnée. Les services de vulgarisation sont fournis par des organisations communautaires, ce qui garantit la disponibilité des services à long terme. En outre, les organisations locales peuvent établir des liens plus étroits avec les agriculteurs et gagner ainsi une plus grande confiance qui est, non seulement mais en grande partie, nécessaire pour fournir une assistance lorsqu'il s'agit de transférer les droits de l'agriculteur sur le carbone stocké à l'entité de coordination locale (dans ce cas le SCCS) afin qu'il puisse être vendu en tant que crédit de carbone.

Les structures existantes pour les services de vulgarisation facilitent la mise en place de services réguliers de vulgarisation à long terme financés par les revenus du carbone.

La participation aux services de vulgarisation sur la gestion durable des sols contribue de manière significative aux taux de mise en œuvre des pratiques de gestion durable des sols dans les petites exploitations agricoles de l'ouest du Kenya. Le soutien aux groupes d'agriculteurs pour l'achat d'intrants tels que les semences pour les cultures de couverture et l'accent mis sur les approches d'agriculteur à agriculteur peuvent augmenter les taux d'adoption des pratiques de gestion durable des sols.

La mise en œuvre de pratiques de GDT permet d'améliorer les performances économiques des petits exploitants en augmentant et en diversifiant leurs revenus, par rapport aux exploitants qui font comme si de rien n'était.

Les services de vulgarisation sur la GDT dans le cadre du projet carbone devraient se concentrer non seulement sur les pratiques agroforestières pour le piégeage du carbone dans la biomasse, mais aussi sur le piégeage du carbone dans les sols par la mise en œuvre d'une gamme plus diversifiée de pratiques de GDT. Ces pratiques offrent des avantages connexes cruciaux aux agriculteurs en augmentant les rendements.

Élaborer un plan de suivi et de contrôle

L'objectif de ce module est de fournir aux équipes techniques les paramètres permettant de mesurer l'efficacité des actions de restauration sur le terrain.

Le plan de suivi doit inclure des éléments permettant d'évaluer les paramètres suivants : 1) le degré de développement des espèces plantées et leur capacité de réponse, 2) les changements dans la configuration et l'abondance de l'eau, 3) les changements dans la dynamique de la biodiversité (présence et abondance), ainsi que dans la disparition des espèces exotiques et/ou envahissantes, 4) les changements dans les conditions environnementales de la zone, et 5) les changements dans la dynamique et l'utilisation des terres, ainsi que dans l'utilisation par le public et les demandes de la communauté.

  • L'audit social favorise l'obligation de rendre compte de la qualité et de la quantité des investissements publics dans les territoires.
  • Les accords de coadministration ou de cogestion favorisent l'obligation de rendre compte de la qualité et de la quantité des investissements non gouvernementaux dans les territoires.
  • La création de plateformes de gouvernance locale favorise la mise en place de systèmes de responsabilité solides et transparents.
  • Les données fournies par le système de suivi doivent avoir une composante technique (comment avons-nous progressé dans la restauration de notre zone ?) et une composante sociale (quels sont les bénéfices monétaires et non monétaires des investissements réalisés ?), afin que les acteurs impliqués conservent un intérêt réel et effectif à contribuer à la restauration de ces sites.
Élaborer une proposition de plan de zonage et de restauration

L'objectif de ce module est de fournir aux équipes techniques les paramètres techniques nécessaires à l'identification des sites à restaurer et à la sélection d'actions efficaces pour la régénération des écosystèmes.

Le zonage nécessite : 1) l'identification des zones de restauration naturelle et assistée, 2) des zones de reboisement avec des plantes indigènes et endémiques, et 3) des zones ayant un potentiel pour des activités productives respectueuses de l'environnement.

La proposition d'actions de restauration comprend : 1) la sélection des activités à mettre en œuvre pour chaque zone zonée, 2) l'estimation des ressources nécessaires à la mise en œuvre des activités de restauration, 3) la répartition des responsabilités en fonction des compétences et des ressources dont disposent les parties prenantes, et 4) le temps nécessaire à la mise en œuvre des actions en tenant compte de la portée et des ressources disponibles.

  • La qualité des diagnostics antérieurs, l'expérience du personnel technique accompagnant ces processus et la participation active des parties prenantes facilitent la prise de décision et la sélection la plus rentable des activités de restauration sur les sites d'intervention.

Les fonctions de l'écosystème à restaurer, ainsi que le contexte écologique et social, déterminent le type d'activités à choisir et la zone géographique d'intervention :

  1. Lorsqu'il est possible d'améliorer la biodiversité au niveau du paysage, les activités doivent se concentrer sur des sites situés à l'intérieur ou autour de zones protégées ou d'autres forêts à haute valeur de conservation.
  2. Lorsque la dégradation a entraîné des défaillances dans le fonctionnement de l'écosystème, les activités doivent être concentrées le long des bandes riveraines, des pentes abruptes, etc.
  3. Lorsqu'il existe des possibilités d'améliorer le bien-être humain et, en particulier, de soutenir des activités génératrices de revenus, les zones prioritaires devraient être des sites appropriés pour la production d'espèces de grande valeur.
Élaborer un diagnostic sur l'état de la biodiversité et le statut socio-économique

L'objectif de ce module est de fournir aux équipes techniques les paramètres biologiques nécessaires pour déterminer l'état actuel d'un écosystème afin de déterminer les mesures de restauration appropriées à mettre en œuvre dans cet écosystème spécifique.

Le diagnostic de l'état de la biodiversité est réalisé à l'aide d'une revue documentaire et de visites de terrain, où : 1) l'identification du site, y compris la composition, la structure et les différentes strates qui composent l'écosystème, 2) la description des services écosystémiques, 3) la composition floristique, 4) la diversité des groupes de faune vertébrée et invertébrée, 5) la présence d'espèces invasives, et 6) l'identification des menaces et des facteurs de dégradation.

La situation socio-économique est étudiée à l'aide d'une revue documentaire et de visites sur le terrain, qui permettent : 1) d'identifier les utilisateurs actuels du site, 2) de décrire les activités productives menées par les utilisateurs, 3) de clarifier le statut foncier du site, 4) d'identifier les acteurs locaux présents sur le territoire, 5) d'identifier le potentiel de développement local avec des activités écologiquement durables.

  • Les sites doivent présenter un intérêt national élevé pour la fourniture de biens et de services écosystémiques à la population et pour la conservation des zones naturelles protégées existantes qui sont légalement soutenues.

  • Disposer de ressources pour l'incorporation d'analyses supplémentaires telles que les SIG et d'autres outils technologiques, qui facilitent la délimitation et la caractérisation rapides des sites afin d'obtenir une première approximation des conditions générales.

  • Le processus peut être exigeant en raison du niveau de détail et d'interdisciplinarité requis. Il est donc nécessaire de bien planifier le temps, les ressources humaines et matérielles à utiliser pour les analyses documentaires, géographiques et de terrain.
  • Impliquer les acteurs locaux dès le début pour garantir la durabilité des actions, tirer parti des connaissances locales et de l'intérêt pour la conservation des écosystèmes pour les avantages qu'ils en retirent.
mise en oeuvre par paliers

la démarche de nouvelle gestion du site sera mise en oeuvre de façon progressive, en procédant par étapes. Les livrables correspondants seront proposés et discutés au sein du Comité scientifique du site et du COPIL du site Natura 2000.

De façon à adapter peu à peu une gestion conservatoire exemplaire de lutte contre la fermeture des milieux, des études spécifiques d’évaluation de l’efficacité de la fauche et du pâturage ont été menées, au regard de l’évolution des taxons de végétations et de flore depuis au moins 2010. Ces études se sont directement appuyées sur les inventaires multi taxons réalisés à intervalles réguliers sur le marais. Ces éléments sont considérés dans le plan d’actions du site établi en 2023.

En conséquence, des actions de gestion de court puis moyen termes sont identifiées. A court terme, il est prévu d’effectuer un débroussaillage sélectif et broyage des zones de refus (zone pâturée) avec exportation des produits de coupe. De même, il est proposé de maintenir en l’état les techniques de fauche sur la zone nord.

A moyen terme, il est recommandé de poursuivre les suivis écologiques sur l’état de conservation des milieux ouverts (tous les 5 ans) ainsi que le suivi de la flore patrimoniale et de l’entomofaune.

gestion concertée

Dans le cadre de la mise en oeuvre du nouveau plan de gestion, un comité scientifique se réunira régulièrement pour discuter des aménagements mis en oeuvre sur le site et de l'état de conservation des milieux naturels. L’efficacité d’une gouvernance et gestion concertées et partagées est démontrée sur le site.

Le Comité scientifique rassemble les experts ayant travaillé sur le site, les services compétents de l'Etat et de la commune, etc. Il est ainsi représentatif des acteurs locaux, institutionnels et scientifiques (dans le cadre également du classement du site en Arrêté Préfectoral de Protection de Biotope APPB).

L’efficacité d’une gouvernance et gestion concertées et partagées est démontrée. Par conséquent, aujourd’hui le site est concerné par :

-  des travaux de régie via une équipe de gestion propre au Conseil départemental constituée de 7 agents spécialisés sur les travaux en espaces naturels ;

- l'intervention d'entreprises spécialisées en gestion des milieux naturels dans le cadre de marchés publics aux cahiers des charges techniques adaptés aux interventions en espaces naturels sensibles (matériel de fauche adapté aux sols fragiles notamment) ;

- le suivi des aménagements réalisés et de leur efficacité par la réalisation d’études régulières par des cabinets spécialisés ainsi qu’un partage lors du Comité de pilotage du site Natura 2000 « Basse Vallée du Loing » et les réunions du comité scientifique du marais d’Episy.

 

 

diagnostic paysager et perception

Les grands principes de gestion actuels (comme la fauche tardive exportatrice) sont considérés comme favorables et doivent être maintenus. Dans un souci de conservation de la mosaïque d’habitats et paysages de la tourbière basse alcaline (secteur nord), des actions de gestion sont à envisager pour contenir la cladiaie qui progresse sur les habitats typiques des bas-marais alcalins. Des étrépages localisés pourraient limiter l’expansion du Marisque. De plus, les pratiques de gestion sont à corréler et affiner avec l’écologie et la localisation des espèces patrimoniales présentes.

De façon à apporter un diagnostic régulier de l’état de santé des milieux et ainsi des paysages du site, plusieurs dispositifs sont mis en œuvre :

  • inventaires réguliers des végétations et de la flore par des prestataires du Département pour évaluer l’efficacité de la mise en œuvre des mesures de gestion
  • mise en œuvre d’un nouveau plan de gestion dès 2023 selon un référentiel adapté, permettant de cibler les meilleures mesures de gestion 
  • création d’un conseil scientifique en 2023, qui se réunira régulièrement pour discuter de l’évolution du site

Les études écologiques menées sur le site en 2022 et 2023 ont pu déterminer que le ratio de zone de fauche / zone de pâture (en considérant la partie nord et la partie sud du site) était équilibré et propice à la conservation des habitats et au maintien de la diversité des végétations.  Compte tenu de ce résultat favorable, la répartition actuelle entre fauche et pâturage est maintenue.

 

Concernant le secteur sud pâturé et considérant que la pression de pâturage globale reflète une tendance ponctuelle de fermeture progressive (refus de pâturage, rejets ligneux), il a été jugé intéressant d’engager les actions suivantes à court terme :

  • effectuer un débroussaillage sélectif et broyage des zones de refus avec exportation des produits de coupe ;
  • mettre en place un pâturage tournant et considérer la mise en ex-clos de certains secteurs.

Enfin, le suivi de l’évolution de la couverture ligneuse est nécessaire pour justifier de la pertinence ou non d’engager des interventions ponctuelles qui peuvent s’avérer lourdes et coûteuses

 

Identifier les opportunités et les interventions de restauration hautement prioritaires par le biais de processus ROAM participatifs

Grâce à des processus participatifs de méthodologie d'évaluation des opportunités de restauration (ROAM), TRI a pu définir le potentiel de restauration en identifiant les opportunités de restauration hautement prioritaires, en notant les types d'intervention de restauration réalisables et en évaluant les options de financement et d'investissement. Les activités identifiées comprenaient la promotion de la production de charbon écologique, le développement d'un secteur de production de plantes et la construction de points d'eau dans les sites de restauration. TRI a mené ces évaluations ROAM dans trois paysages infranationaux pilotes, Waza, Mbalmayo et Douala-Edea, où les parties prenantes locales et nationales ont été impliquées. Des ateliers de pré-validation ont eu lieu dans chaque paysage avec des représentants des ministères, des représentants des conseils locaux, des représentants des communautés locales et des chefs de communautés, tandis qu'un rapport final expliquant les résultats des évaluations a été finalisé en octobre 2021 lors d'un atelier de validation national qui comprenait des représentants des ministères, des organisations internationales, ainsi que des représentants locaux et des chefs de communautés. Une fois finalisé, un dépliant reprenant les principales conclusions a été partagé avec les parties prenantes afin de diffuser rapidement l'information et de s'assurer que ceux qui n'ont pas accès à Internet puissent comprendre les évaluations de la ROAM.

Un processus d'évaluation inclusif et participatif a permis aux conclusions et aux recommandations de prendre en compte et de représenter de manière appropriée toutes les parties prenantes présentes et concernées. Les chefs traditionnels, les responsables des institutions de développement communautaire, les représentants des conseils locaux, les associations de femmes et de jeunes et les innovateurs individuels ont participé aux réunions de consultation des parties prenantes. Elles ont porté sur les besoins en matière de restauration, les meilleures utilisations des connaissances locales, les lacunes en matière d'expérience et les activités de restauration en cours.

Dans l'ensemble, les processus participatifs de ROAM ont fourni des informations sur les opportunités et les options de RPF. Grâce aux évaluations, TRI Cameroon a appris quelles sont les zones de restauration prioritaires, quels types d'interventions de restauration devraient être prioritaires, quels sont les coûts et les bénéfices des différents types de restauration, quelles sont les options de financement et d'investissement pour la restauration, ainsi que les stratégies existantes pour aborder les principaux goulets d'étranglement politiques et institutionnels dans les trois paysages pilotes. Ces résultats ont également permis de tirer des leçons sur la manière dont les actions de RPF pourraient être modifiées lors de la mise en œuvre sur le terrain et ont fourni des données réelles de terrain qui pourraient être prises en compte dans l'élaboration d'outils politiques. En outre, comme il s'agit d'une des premières activités entreprises par TRI Cameroun, les évaluations ROAM ont fait partie du processus d'apprentissage par la pratique et ont donné un aperçu de la manière dont le processus participatif pourrait être mieux réalisé dans d'autres paysages.

Renforcement des capacités et prise de décision éclairée pour la surveillance des espèces

La mise en œuvre de l'architecture technique et du programme de surveillance a permis de disposer d'une grande base de données d'informations sur les espèces et leur environnement. La disponibilité des données est essentielle pour que le personnel du parc (gestionnaires, gardes, techniciens, etc.) prenne des décisions en connaissance de cause lorsqu'il s'agit de stratégies de gestion du territoire et des espèces. En outre, la conception locale du programme de suivi et de ses paramètres a augmenté la capacité du personnel du parc non seulement à le gérer, mais aussi à l'améliorer et à l'appliquer éventuellement au suivi d'autres espèces et même d'autres phénomènes.

Il est fondamental d'assurer un processus de co-conception, afin que les techniciens du parc ne soient pas seulement les bénéficiaires et les utilisateurs finaux de la solution, mais qu'ils soient également capables de s'approprier et d'auto-adapter le programme de suivi. À cette fin, un diagnostic initial des capacités du personnel doit être effectué, suivi d'une formation spécifique ciblant les faiblesses qui ont été identifiées.

Actuellement, les données des caméras sont stockées dans les caméras elles-mêmes et les techniciens doivent y accéder et les télécharger manuellement. Afin de mettre pleinement en œuvre cette architecture, il est souhaitable d'intégrer un double dispositif de stockage des données utilisant à la fois le stockage de l'appareil et un service en nuage. L'objectif est de compléter cette intégration pour permettre un processus automatique qui réduise le temps alloué au processus de surveillance.

Mise en œuvre des bonnes pratiques silvopartoriliennes

L'objectif de ce module est de fournir aux éleveurs les paramètres techniques nécessaires à la mise en œuvre d'un système sylvopastoral optimal, en fonction des caractéristiques de leur unité de production, tout en contribuant à restaurer les services écosystémiques du site.

Les bonnes pratiques agricoles ont été mises en œuvre dans trois domaines : 1) l'animal et sa gestion, y compris l'alimentation, la santé et le bien-être des animaux ; 2) l'environnement et la production, en travaillant avec le sol, l'eau et le fourrage, ainsi que la gestion des déchets, du fumier et des effluents ; et 3) l'infrastructure de production avec des installations, des équipements et des outils pour la propreté et la sécurité des produits.

  1. Sensibiliser les producteurs aux avantages que l'introduction de bonnes pratiques sylvopastorales peut apporter à leur unité de production.
  2. Former les éleveurs avec des contenus pertinents et actuels, accompagnés par des professionnels de qualité, avec de l'expérience et des résultats démontrables.
  3. Compléter la formation par des visites techniques permettant d'observer les résultats des mesures mises en œuvre et de recueillir les témoignages des personnes qui ont bénéficié des changements apportés.
  • Elle requiert un haut niveau d'engagement de la part des éleveurs, tant en termes de préparation technique (participation aux sessions de formation et aux visites de terrain) qu'en termes d'amélioration du système, de respect des plans et de discipline dans la continuité des actions tout en atteignant les résultats escomptés.
  • Afin d'obtenir l'engagement des participants, il est nécessaire que le processus de formation soit pertinent et stimulant sur le plan pédagogique ; cela exige une bonne planification du processus, en se concentrant principalement sur la durée et la qualité du processus de formation.
  • Tout le matériel de formation doit être médiatisé et orienté vers la pratique, afin que l'agriculteur puisse le mettre en pratique sans trop de difficultés.