Établir un état des lieux des services écosystémiques

L'objectif de ce module est de fournir aux concepteurs et aux réalisateurs de projets de restauration des écosystèmes et des paysages un outil qui utilise la télédétection et des données géospatiales pour déterminer l'état actuel des services écosystémiques et les sites où des mesures de restauration spécifiques peuvent être mises en œuvre.

Les étapes de sa mise en œuvre sont les suivantes :

  1. Préparation des données de base : elle forme une série cartographique qui comprend des informations sur la zone du projet, la topographie, le climat, le sol et la couverture forestière.
  2. Analyse hydrologique et analyse du sol : elle aboutit à une carte de l'érosion hydrique et à une carte de l'infiltration de l'eau dans la zone du projet.
  3. Analyse structurelle du paysage : permet d'obtenir une carte de la connectivité biologique de la zone du projet.
  4. Analyse intégrée du paysage : résultats de l'indice des services écosystémiques et de sa carte dans différentes unités de gestion territoriale.
  5. Génération d'indices d'adéquation : résultats dans 7 cartes d'adéquation des sols pour appliquer des mesures spécifiques de restauration des écosystèmes et des paysages.
  • Avoir accès aux sources d'informations géospatiales officielles.
  • Mettre en œuvre un processus de formation et de renforcement des capacités, dans le cadre duquel les doutes et les incertitudes concernant les aspects méthodologiques et les technologies à utiliser sont levés, ce qui facilite leur adoption.
  • Disposer d'un conseiller ou d'un mentor pendant le processus ; cela facilite la résolution des doutes ou des questions soulevés par l'exécution des instruments ; un seul processus d'accompagnement est suffisant, car il permet d'établir une base solide pour les reproductions futures.
  • Elle requiert un technicien ayant des connaissances de base en SIG, car elle nécessite l'accès et la manipulation d'outils, de données et de plates-formes très spécifiques à ce secteur.
  • L'exécution du processus n'est pas exigeante, mais elle nécessite du temps et de l'exclusivité pour la mener à bien (davantage si c'est la première fois qu'elle est exécutée) ; ces éléments sont réduits à chaque nouveau processus de réplication.
Plateformes de dialogue communautaire décentralisées

Le projet a réuni les parties en conflit en utilisant des plates-formes telles que le Community Peace Architecture Forum (CPAF) et la People First Impact Method (P-FIM). Cette approche a permis de réunir des personnes au niveau de la communauté pour discuter et résoudre leurs problèmes au niveau local en utilisant des solutions axées sur la communauté. Les communautés ont été en mesure de résoudre les litiges grâce à la médiation du CPAF et de formuler leurs besoins et leurs objectifs grâce à la méthode P-FIM. Tous ces éléments ont aidé le projet à concevoir et à atteindre ses objectifs avec l'adhésion des communautés locales.

1. Implication des acteurs locaux, des parties prenantes et des capacités de consolidation de la paix.

2. Création d'un espace sûr pour le dialogue et les discussions.

3. Renforcement des capacités des organisations locales de la société civile qui connaissent bien les communautés et qui ont leur confiance pour mieux mettre en œuvre les programmes.

4. Stratégie décentralisée.

5. Renforcement des structures de médiation directe en cas de conflit, avec des liens avec les autorités compétentes.

1. La médiation est plus facile au niveau local, là où les conflits se produisent, qu'à travers des structures centralisées qui peuvent être plus lourdes et présenter des solutions généralisées qui peuvent ne pas être adaptées aux défis locaux.

2. Les communautés ont la capacité de résoudre les conflits et de s'attaquer elles-mêmes à leurs problèmes de développement. Il convient d'identifier et de soutenir ces capacités plutôt que des solutions externes, car elles sont souvent plus durables.

3. Les approches de bas en haut sont plus efficaces que les approches de haut en bas.

4. La décentralisation des structures de dialogue au niveau communautaire réduit la logistique nécessaire à la conduite de ces dialogues et encourage leur poursuite après la fin des projets.

Utilisation des données pour la prise de décision et la planification.

Constatations de SAGE :

  1. Peu d'implication des femmes pêcheurs dans la prise de décision de l'AGPM, discriminées à cause de la pêche à la moustiquaire.
  2. Manque de reconnaissance des droits de la communauté à participer aux décisions de l'AGPM.
  3. Défauts majeurs dans le processus de plaintes et de suivi des cas liés à l'invasion des réserves par l'ensemble de la communauté en raison de l'absence d'instruments d'inspection.
  4. Déficit de collaboration et de coordination, il n'y a pas de partage des rapports et des plans d'activités entre les différents acteurs.

Recommandations :

  1. Impliquer les pêcheuses de moustiquaires à toutes les étapes de la mise en place des LMMA et donner la priorité aux coûts d'opportunité pour elles.
  2. Diffuser à l'ensemble de la communauté des informations sur les droits de participation à la prise de décision dans le cadre de l'AGPM.
  3. Encourager la communauté à dénoncer les contrevenants et à suivre les cas liés à l'invasion des réserves.
  4. Promouvoir des réunions régulières pour partager les rapports et les plans d'activité entre les acteurs.

Sur la base de ces recommandations, le projet met en œuvre l'aquaculture des bivalves, en donnant la priorité à la participation des femmes afin de réduire les coûts d'opportunité. Nous soutenons les réunions annuelles des parties prenantes au niveau du district, de la province et du pays. Nous aidons les PCC à se doter d'équipements permettant d'améliorer l'application des accords de gestion durable des forêts. Nous renforçons les compétences des PCC en matière de communication et de gouvernance équitable grâce à la formation dispensée par l'AMA.

L'objectif de cet exercice doit être bien compris par les membres du groupe de discussion. Il doit exister une volonté d'améliorer les conditions existantes de la part des membres du groupe de discussion et ils doivent reconnaître que le changement est possible.

Les méthodologies SAGE et IMET constituent le moyen le plus simple, le plus rapide, le plus facile et le moins coûteux d'évaluer et de suivre l'avancement d'un projet. Avant d'adopter ces outils, le projet n'utilisait qu'EXCEL pour analyser les données, ce qui prenait du temps et coûtait cher car nous devions engager des consultants pour mener les enquêtes. L'analyse et l'interprétation des données étaient également effectuées manuellement, ce qui prenait également beaucoup de temps.

Évaluation participative

Collecte, analyse et synthèse des données :

Des groupes organisés d'acteurs issus de différents milieux sociaux se sont réunis pour ce processus, qui a été facilité par l'utilisation de la langue locale et l'engagement d'un traducteur pour aider à la traduction. Pour tenir compte du niveau d'éducation des participants, nous avons défini les moyens de communication appropriés. Les personnes ont participé en fonction de leur groupe d'intérêt ou de leur statut social (Conseil communautaire de la pêche, pêcheurs, femmes pêcheurs, gouvernement, membres influents et alternatives de génération de revenus, entre autres). Au cours de la première phase, les discussions ont été menées séparément, puis en séance plénière ; après la discussion, les participants sont parvenus à un consensus, et c'est ce consensus qui a été considéré comme la réponse finale. Afin de garantir que la sélection des membres participant à chaque groupe cible soit inclusive, elle n'a pas pris en compte l'appartenance à un parti, la religion, le niveau social ou le sexe. Au cours des réunions, nous avons également expliqué l'importance du processus SAGE.

Les normes relatives au consentement préalable donné en connaissance de cause (FPIC) doivent être appliquées afin de maximiser la participation réelle. L'équipe chargée de la collecte des données et de la facilitation doit être bien connue des membres de la communauté et reconnue comme digne de confiance. Il doit y avoir un sentiment d'engagement à long terme en faveur de la communauté.

L'une des leçons apprises a été de présenter les résultats des questions discutées séparément en séance plénière, où les membres des différents groupes discutent des mêmes idées et parviennent à un consensus.

C'est le signe que nous valorisons les connaissances locales.

Et c'est bon pour le succès d'une zone de conservation gérée par la communauté.

Formation des participants aux outils SAGE et IMET.

La première partie de ce projet consistait à former les participants au SAGE. Pour rendre le SAGE plus applicable à notre situation, nous avons choisi six des principes les plus importants qui sont pertinents pour l'EMT :

1 : Respect des droits des ressources et des droits de l'homme des membres de la communauté

3 : Participation effective de tous les acteurs concernés à la prise de décision

4 : Transparence, partage de l'information et responsabilité des actions et inactions

8 : partage équitable des bénéfices entre les acteurs concernés

9 : Réalisation des objectifs de conservation et autres objectifs

10 : Coordination et collaboration efficaces entre les acteurs, les secteurs et les niveaux

La méthodologie SAGE est un processus participatif, mené avec : Le conseil communautaire de la pêche, les pêcheurs, les groupes de subsistance, les chefs communautaires et religieux, le gouvernement du district et de la province.

L'EIPMF a été soutenue par deux consultants de l'administration nationale des zones de conservation. Différents acteurs ont été invités : a) l'administration nationale des pêches, le service provincial des activités économiques, la direction provinciale de l'environnement, la direction provinciale du tourisme ; b) le service des activités économiques du district, la police maritime et lacustre, l'administrateur du parc national des Quirimbas et l'autorité judiciaire ; c) les conseils communautaires des pêches, les pêcheurs, la communauté et les chefs religieux).

Les deux outils, IMET et SAGE, valorisent les connaissances locales, de sorte que la contribution de tous les acteurs impliqués dans le processus a été très positive. Ce processus a également été positif car, grâce à cet outil, la communauté a compris que le pouvoir de gestion pouvait lui être transféré par le gouvernement, ce qui a renforcé son sentiment d'appropriation et d'autonomisation. Auparavant, la majorité de la communauté pensait que la gestion des réserves relevait uniquement du Conselho Comunitario de Pescass et non de l'ensemble de la communauté.

La bonne communication et les résultats de l'ouverture des réserves temporaires (pieuvre) ont aidé les communautés à comprendre que les réserves appartiennent à la communauté et sont pour le bénéfice de la communauté, c'est pourquoi les communautés voisines ont commencé à demander au projet de créer de nouvelles zones de conservation.

Projets financés

À la suite de deux appels de fonds, 17 projets ont été sélectionnés. Ces projets représentent un large éventail d'approches et d'idées de solutions pour atteindre les objectifs de l'Alliance, en fonction du contexte.

Afin d'accroître la visibilité des projets et de favoriser l'échange de connaissances, ils sont invités à présenter leurs travaux en cours, leurs objectifs intermédiaires et leurs résultats préliminaires à la communauté de l'Alliance par le biais de messages sur le site web ou lors d'événements en ligne.

Un financement suffisant est nécessaire pour assurer un soutien à long terme et une mise en œuvre durable des objectifs du projet.

Une communication continue entre les responsables du projet et le secrétariat de l'Alliance garantit la réussite du projet, la transmission des résultats à la communauté et, par conséquent, une valeur ajoutée pour cette dernière.

Un retour d'information adéquat de la part des partenaires du projet peut s'avérer difficile et nécessite de bonnes stratégies de communication.

L'attention portée aux problèmes des personnes qui produisent

Souvent, un projet a des objectifs et des activités définis au début de sa mise en œuvre sur le terrain ; cependant, les interactions avec les personnes qui produisent révèlent d'autres besoins, problèmes et relations qui n'étaient pas visibles à l'œil nu et qui peuvent devenir des limites à la réalisation des objectifs fondamentaux de l'initiative. C'est pourquoi il a été nécessaire de consacrer du temps à écouter les personnes qui produisent, à les accompagner sur les lieux où elles se rendent, à les soutenir dans la réalisation de diverses activités de leur vie quotidienne et à parler avec elles. Cela a permis d'identifier des problèmes spécifiques et des institutions connexes pouvant contribuer à leur prise en charge, comme la vulnérabilité aux incendies de forêt, la détérioration de la santé des familles en raison d'une mauvaise alimentation (conséquence de leur faible pouvoir d'achat et du manque de connaissances sur l'utilisation des ingrédients locaux). Des besoins ont également été identifiés en matière de premiers secours en cas d'accidents sur le lieu de travail et dans la vie quotidienne des familles.

  • Consacrer du temps à la socialisation avec la population afin d'instaurer un climat de confiance, en respectant les usages et les coutumes de leur culture ;
  • Renforcer les capacités de gestion des dirigeants communautaires afin qu'ils aient les compétences nécessaires pour répondre à leurs besoins ;
  • Établir des alliances avec des institutions pour répondre à certains des besoins identifiés par la localité ;
  • Établir une relation de confiance avec les caféiculteurs, en maintenant un respect mutuel, qui leur permette de partager leurs attentes et leurs besoins autres que ceux liés à la production et à l'environnement.

L'approche des autorités municipales pour présenter le projet APSyM a permis de cartographier les acteurs impliqués dans le territoire de mise en œuvre. Dans ce cas, les municipalités de Villa Corzo et Villaflores ont été visitées. Les gouvernements des trois niveaux se coordonnent dans différents espaces pour planifier, évaluer et décider de la mise en œuvre des plans et des programmes sur le territoire, il a donc été très utile de participer à ces espaces pour offrir une assistance technique et demander un soutien sur des questions spécialisées. Nous avons également participé à la modification des réglementations locales qui servent les intérêts des personnes impliquées dans le projet.

Formation à la production intensive et durable de café

L'augmentation de la quantité et de la qualité du café accroît le revenu des agriculteurs, ce qui les incite à se former à la production intensive et durable de café. Les formations comprenaient la gestion des tissus pour augmenter la production/qualité du café, le traitement des intrants pour la gestion intégrée des parasites/maladies, l'amélioration de la nutrition des caféiers avec la fertilisation du sol et l'application de foliaires qui favorisent un développement cohérent et améliorent leur capacité à s'adapter aux conditions climatiques défavorables (sécheresse, augmentation de l'ensoleillement), ainsi qu'à mieux résister aux attaques de parasites et de maladies. Cela s'est traduit par une floraison plus abondante et une meilleure fructification, avec des rendements bien supérieurs à la moyenne régionale, passant de 8-10 quintaux de café parche/ha à 18-25 quintaux/ha en 4 ans. Ces niveaux de production moyens élevés ont motivé les producteurs à rénover les plantations de café endommagées par la rouille, ainsi qu'à planter des caféiers à des endroits où du maïs, des haricots ou des pâturages pour le bétail avaient été plantés auparavant. Les bénéfices des pratiques susmentionnées sont très visibles, puisque les communautés sont passées d'un ou deux véhicules à environ 15-20, avec lesquels elles mobilisent leur récolte.

  • Disposer d'instructeurs formés ayant une expérience spécialisée dans la production intensive et durable de café ;
  • Prendre en compte les conditions locales dans les techniques à mettre en œuvre, car le succès d'une technique qui n'a pas été validée ne peut être garanti ;
  • Utiliser des technologies à faible investissement et des intrants abordables dans la région ;
  • Utiliser une parcelle de démonstration, où les technologies à intégrer dans les pratiques des producteurs sont mises en pratique.
  • L'utilisation d'un support visuel dans la formation facilite l'accès des producteurs à l'information et aux connaissances.
  • La meilleure technique d'intériorisation des connaissances est "l'apprentissage par la pratique". S'il s'agit de raisonnement ou de processus mentaux d'analyse, la description du processus ou du résultat attendu doit être correctement exprimée.
  • Des résumés montrant concrètement les procédures à reproduire permettent aux personnes qui n'ont pas pu prendre de notes de répéter plus facilement l'activité par la suite.
  • L'application des techniques d'augmentation de la production dans une parcelle de démonstration permet de voir la réaction des plantes qui ont reçu l'application correcte des techniques de production intensive durable.
  • Permettre aux producteurs d'expérimenter pour tester leurs théories est sain, cela leur montre qu'il existe une ouverture d'esprit pour essayer d'autres façons d'obtenir le même résultat, et cela motive les esprits à décrypter les éléments qui font le succès.
Formation aux techniques de régénération du paysage

Le paysage de la culture du café dans la région de Frailesca est confronté à des facteurs défavorables tels que le changement climatique et la surexploitation des ressources naturelles. C'est pourquoi une formation a été dispensée afin d'adapter les schémas de production pour stopper et inverser la dégradation/perte des ressources naturelles. Des ateliers de sensibilisation et des pratiques de restauration du paysage ont été organisés dans 8 localités, avec des groupes de 20 à 25 personnes. Un échange d'expériences entre les producteurs de café a également eu lieu, qui consistait à visiter des localités ayant des pratiques de production durables pour montrer la gestion d'une parcelle de café avec des actions de restauration du paysage, ce qui a montré aux participants qu'avec le soutien technique approprié, il est possible d'améliorer les conditions environnementales (température plus basse et rétention des nutriments/humidité), le rendement des fruits par plante et la qualité du café.La visite de centres de recherche spécialisés et le transfert de technologies (parcelle de démonstration) ont permis de montrer comment les connaissances sont générées pour améliorer les cultures, en appliquant des techniques de régénération du paysage dans le cadre de l'agriculture intelligente face au climat, et l'importance de les partager avec les personnes qui produisent.

  • Procéder à une évaluation participative des besoins en formation afin d'identifier les problèmes communs ;
  • Impliquer des techniciens compétents pour animer des ateliers de formation ;
  • Mettre en place un système de suivi des formations, des participants et de la mise en œuvre des techniques de restauration afin d'apporter un soutien supplémentaire à ceux qui sont à la traîne ;
  • Contrôler la mise en œuvre des connaissances et des compétences acquises en matière de restauration ;
  • Obtenir des incitations en nature pour renforcer la mise en œuvre des actions de restauration.

Les formations doivent comporter plusieurs ressources didactiques, et pas seulement des discours ou des diapositives, car les participants apprennent en observant et en faisant, ce qui permet l'appropriation des techniques de restauration et favorise leur mise en œuvre à l'avenir. Il convient également de créer un climat de confiance, en dehors de la formalité de la formation, en abordant divers sujets qui peuvent même sembler sans importance, afin que les participants puissent poser des questions en toute confiance et évoquer certains des problèmes quotidiens auxquels ils sont confrontés. L'échange d'expériences avec des producteurs d'autres localités ou régions qui ont mis en œuvre des mesures de restauration leur permet de montrer des exemples de ce qu'ils essaient de faire dans de nouvelles communautés de producteurs. Ces visites leur permettent de discuter directement avec les personnes qui les mettent en œuvre afin d'en connaître les avantages concrets.

Étude de faisabilité

Une étude sur la manière dont le marché du carbone pourrait potentiellement financer des projets d'adaptation/atténuation du climat.

Collaboration avec des chercheurs dans le domaine du financement du climat et avec les parties prenantes gouvernementales concernées.

Le marché indonésien du carbone n'est pas encore totalement développé, avec de nombreuses incertitudes sur le plan politique. Néanmoins, l'étude de faisabilité est devenue une ligne directrice pour d'autres initiatives qui recherchent un financement durable pour leurs projets d'atténuation.

Bien que les résultats n'aient pas été totalement concluants, des liens avec le gouvernement ont été établis en cours de route afin de recevoir les informations nécessaires à la mise en œuvre future.