Elaboration d’un livret sur la culture et la nature

Le livret a pour but de créer un outil ou guide pratique destiné aux chefs de clans, aux coutumiers de toutes les tribus de la commune de Hienghène, sur les mesures de gestion de l’environnement basées sur la culture. Le contenu de ce livret comprend la méthodologie de l’organisation et de la conduite des réunions de concertation, et les synthèses de chaque réunion de concertation. On y trouve aussi un tableau qui récapitule les synthèses de toutes les tribus éloignées de la réserve de nature sauvage. Il en est de même pour les 5 tribus à proximité de cette réserve. Comme les gens se sont exprimés librement en leurs langues, l’Académie des Langues Kanak, partie prenante du projet, assure la vérification des textes en langues locales. La phase finale du livret consiste en l’infographie et l’impression réalisées par les prestataires hors site du projet.

La volonté et l’énergie fournie par l’équipe du projet, ainsi que le travail des traducteurs en langues locales, contribuent au succès de la réalisation du livret, outil ou guide pratique des communautés locales sur l’intégration du volet culturel dans les mesures de gestion de l’environnement.

 

L’équipe du projet a eu du mal à concevoir le livret par manque de compétence. Il a fallu avoir beaucoup de temps de travail commun pour y arriver. Une formation sur la conception d’un ouvrage ou d’un livre serait nécessaire au préalable. La traduction a pris du temps, car l’Académie des Langues Kanak ne pouvait pas avoir suffisamment de traducteurs pour répondre dans le temps à notre besoin sur la traduction et la correction des textes.

Utilisation des données pour la prise de décision

Le bloc de construction a souligné l'importance de l'utilisation des données pour une prise de décision éclairée dans les efforts de conservation. Pour ce faire, la solution a favorisé l'adoption de technologies de conservation telles que l'enquête 123, les pièges photographiques et les logiciels SIG. L'utilisation de ces technologies a permis une collecte de données plus efficace et a amélioré la planification des patrouilles stratégiques, tout en intégrant les renseignements fournis par les membres de la communauté. L'adoption du logiciel SIG et du système de gestion des zones protégées (PAMS) à l'aide du collecteur de données mobile Survey 123 a fourni des outils permettant de créer des cartes, des tableaux et des graphiques des points chauds, facilitant ainsi l'identification des zones prioritaires et la planification d'interventions ciblées. L'utilisation des données a permis de cibler les efforts de conservation, ce qui a amélioré la stratégie de conservation globale et mis en évidence le rôle essentiel des données dans les efforts de conservation, ainsi que d'accroître les activités de protection conjointes.

Les facteurs favorables à l'utilisation des données pour la prise de décision sont les suivants :

  1. La volonté des acteurs d'adopter des technologies de conservation telles que l'enquête 123, les pièges photographiques et les logiciels SIG.
  2. La volonté des communautés locales adjacentes de partager les données de renseignement qui améliorent réellement les activités de protection
  3. Amélioration de la planification des patrouilles stratégiques (utilisation des informations, des cartes des points chauds, des tableaux et des graphiques pour identifier les zones prioritaires et planifier des interventions ciblées).
  4. Engagement à utiliser les données pour une prise de décision éclairée

Ce bloc de construction a souligné l'importance de l'utilisation des données pour une prise de décision éclairée dans les efforts de conservation. Parmi les principaux enseignements tirés, la mise en place de mécanismes de retour d'information et l'implication de la communauté sont des éléments clés de la réussite. Si la technologie a permis d'améliorer considérablement la collecte et l'analyse des données, elle a également posé certains problèmes en ce qui concerne la maintenance des équipements et la gestion des données. Des ressources adéquates et un soutien technique ont été essentiels pour surmonter ces difficultés. Dans l'ensemble, cette approche a permis de mettre en place une stratégie de conservation plus efficace, soulignant le rôle essentiel des données et de l'implication de la communauté dans les efforts de conservation.

Renforcement des capacités des équipes de patrouille

La solution a permis de former 214 Village Game Scouts (VGS) de 19 villages adjacents à l'USNFR, dont 32% de femmes, aux droits de l'homme, à l'utilisation d'appareils portables GPS (Global Positioning System) et à la gestion participative de la réserve naturelle. En outre, le projet a fourni du matériel de patrouille tel que des uniformes, des bottes, des tentes, des appareils GPS portables, etc. pour faciliter les opérations de patrouille mobile en camping. La solution a également soutenu des opérations conjointes de patrouille à pied contre le braconnage (qui encadre les communautés locales), en aidant les communautés locales à mener leurs propres patrouilles dans les zones forestières adjacentes respectives. Les équipes de patrouille étaient composées de personnel de la FST (22,3 %), de VGS issus des communautés locales (44,5 %) et de gardes forestiers de l'unité de lutte contre le braconnage (33,2 %), 10,4 % des participants étant des femmes, ce qui a permis d'accroître leur participation. Ces efforts ont permis d'accroître les activités de protection, de réduire la pression exercée sur la forêt et d'assurer la continuité de l'approvisionnement en biens et services offerts par les forêts. En conséquence, d'autres villageois étaient prêts à fournir des informations intelligentes sur les incidents de braconnage.

Les facteurs favorables qui sont importants pour assurer le succès du "renforcement des capacités des équipes de patrouille" sont les suivants :

  • Des opérations conjointes de patrouille à pied contre le braconnage qui encadrent les communautés locales.
  • Une équipe de patrouille diversifiée et représentative composée de personnel des FST, de communautés locales (VGS) formées à partir des communautés locales et de rangers de l'unité de lutte contre le braconnage.
  • Prise en compte de la dimension de genre dans le processus
  • Cadres et règlements nationaux existants qui permettent aux VGS de participer aux activités de protection des réserves naturelles.
  • Volonté des autres villageois de participer

Nous avons tiré les enseignements suivants au cours de la mise en œuvre de ce module :

  • Les communautés locales doivent être impliquées et formées à la gestion des ressources naturelles pour assurer la durabilité des efforts de conservation, car elles ont la responsabilité de protéger les ressources qui se trouvent sous leurs pieds.
  • La fourniture de matériel et d'équipements adéquats aux communautés locales a permis d'accroître leur efficacité en matière de protection de l'environnement.
  • Les opérations conjointes de patrouille à pied contre le braconnage impliquant les communautés locales ont contribué à les encadrer et leur ont permis de mener leurs patrouilles dans leurs villages respectifs situés à proximité de la forêt, réduisant ainsi la pression sur la forêt et améliorant l'efficacité de la lutte contre le braconnage.
  • Il est essentiel de veiller à ce que les équipes de patrouille soient diversifiées et représentatives, en particulier avec la participation des femmes, afin d'améliorer l'engagement et la participation des communautés.
  • Les campagnes de sensibilisation doivent être associées à des efforts de renforcement des capacités afin de s'assurer que les communautés comprennent l'importance des efforts de conservation et leur rôle dans le processus.
Participation accrue de la communauté

L'objectif de l'engagement communautaire était d'accroître le partenariat et l'implication de la communauté dans la gestion de l'USNFR. Cela a permis d'atteindre les objectifs de conservation et d'accroître les avantages pour les communautés locales :

  • des réunions avec les comités villageois des ressources naturelles (VNRC), qui ont permis d'explorer les moyens de collaboration et d'avancer dans l'intervention sur les problèmes auxquels ils sont confrontés
  • La réalisation d'une évaluation des avantages pour la communauté (CBA) afin d'évaluer les avantages perçus de la réserve forestière par les communautés locales, qui a révélé qu'une majorité des personnes interrogées reconnaissent que l'utilisation de la réserve forestière leur apporte des avantages.
  • Les résultats de l'ACB ont permis de trouver une solution pour faciliter l'accès aux produits forestiers non ligneux et aux services sociaux fournis par l'USNFR grâce à des permis spéciaux supervisés par les VNRC.
  • Les structures existantes au niveau du village, telles qu'une bonne direction villageoise et les CRNV, aident à établir la confiance et de bonnes relations avec les communautés locales afin d'encourager leur participation et leur soutien.
  • La volonté des acteurs (chefs de village, communautés locales, gouvernement local et TFS) de soutenir la solution.
  • Implication continue des communautés locales adjacentes
  • Les réunions avec les communautés locales (les VNRC) étaient essentielles pour instaurer la confiance et les moyens de communication et pour établir des partenariats entre elles et la direction de l'USNFR.
  • La réalisation d'une ACB a permis d'obtenir des informations précieuses sur les perceptions locales de la gestion forestière conjointe (JFM) et sur les besoins en termes d'avantages tirés de l'USNFR.
  • La collaboration avec les communautés locales adjacentes a permis d'améliorer les résultats du projet et d'accroître les possibilités de durabilité.
  • L'accès aux produits forestiers non ligneux (PFNL) et aux services sociaux a incité les communautés locales à soutenir les efforts de conservation.
Formation et accompagnement du personnel

Afin de déployer la solution de manière significative, il est essentiel d'entreprendre une formation pour tout le personnel impliqué dans le projet et hors projet. Dans le cadre du projet, deux groupes ont été ciblés pour la formation : les administrateurs de système et les utilisateurs sur le terrain. Les administrateurs de système sont des cadres qui assureront la maintenance du logiciel et la configuration des appareils et des applications supplémentaires, tout en offrant une formation continue aux utilisateurs sur le terrain. Une formation des formateurs a été organisée pour ce groupe sur la structure du logiciel, la personnalisation et la mise en œuvre. Les utilisateurs sur le terrain étaient les gardes forestiers qui effectuent des contrôles quotidiens et les porteurs potentiels des applications mobiles. La formation de ce groupe porte sur l'utilisation efficace des appareils mobiles, des applications mobiles et de la transmission des données.

  • Collaboration - La collaboration avec SFG a été très bénéfique en ce qui concerne le renforcement de la capacité des administrateurs de système de l'OPC à développer des modèles de collecte de données et à former les gardes forestiers à l'utilisation de SMART mobile.

  • Esprit d'équipe - Les équipes cibles de la solution étaient très réceptives à la technologie proposée, ce qui a facilité la formation tout en améliorant l'adoption.

  • Flexibilité - Lors de la planification de la formation, il convient d'envisager des sessions multiples afin de permettre une certaine flexibilité en cas de perturbation. Dans ce projet, les activités de formation ont été affectées par les mesures de confinement du COVID19. La session unique prévue pour plus de 50 participants a dû être scindée en quatre afin de respecter les exigences d'espacement requises.

  • Piloter avant d'actualiser - Au stade de la conception, il est nécessaire de tester les solutions disponibles dans la mesure du possible afin d'identifier les besoins en formation, l'intensité requise et la fréquence des formations de mise à jour.

  • Formation des formateurs - Il est innovant pour les gestionnaires de projet de faire appel à des bénéficiaires de différents niveaux pour mettre en œuvre certaines parties du projet. Dans ce projet, cinq membres du personnel ont été initialement formés aux aspects avancés de la technologie et aux aspects à transmettre aux utilisateurs des applications mobiles.

Collecter efficacement les données sous l'eau

L’organisation des travaux sous-marins se doit d’être claire, concise et sécurisée pour tous les plongeurs. Un protocole simple mais efficace permet d’optimiser la récolte de données. Le matériel doit être pensé pour faciliter la prise de notes et de photographies. Un rappel du protocole avant chaque plongée est impératif, il permet de rappeler aux plongeurs le but de l’étude et les consignes de sécurité. Aussi, les plongeurs sont sollicités à décrire le milieu environnant, ceci les incite à relever des données complémentaires ou prendre des photographies du substrat, de la pente ou des autres animaux rencontrés, etc. 

  • Etablir une organisation de plongée claire et fiable.

  • Définir d’un même protocole simple et efficace.

  • S’équiper de matériel opérationnel (scuba, plaquette, appareil photo sous-marin,etc.).

  • Noter le plus de données possibles sur l’animal (mesures, profondeur, position, comportement, etc.).

  • Toujours ajouter des commentaires sur les caractéristiques du milieu (sédiment, algues, etc.).

  • Noter la météo et les facteurs abiotiques (courant, houle, etc.) pour chaque plongée. 

 

  • Toujours avoir un ou deux plans de secours. 
  • Tout anticiper.
  • Avoir un planning fexible en cas de mauvaise météo.
  • Avoir des plongeurs professionnels formés à l'identification de l'espèce.
  • Avoir des plongeurs professionnels fiables.
Former à l'identification de l’espèce

Les pêcheurs experts sont encouragés à former les plongeurs professionnels à l'identification de l’holothurie à mamelles. Les pêcheurs sont valorisés lors du partage de leurs anciennes techniques de reconnaissance de l’animal (suivi de fèces, recherche circulaire, etc.). 

  • Établir une organisation de plongée claire et fiable.

  • Définir d’un même protocole simple et efficace.

  • S’équiper de matériel opérationnel (scuba, plaquette, appareil photo sous-marin,etc.).

  • Noter le plus de données possibles sur l’animal (mesures, profondeur, position, comportement, etc.).

  • Toujours ajouter des commentaires sur les caractéristiques du milieu (sédiment, algues, etc.).

  • Noter la météo et les facteurs abiotiques (courant, houle, etc.) pour chaque plongée. 

  • Toujours instaurer un climat de respect et d'égalité entre tous les acteurs.
  • Valoriser le travail d'équipe.
  • Mettre à disposition les matériaux et les supports de formation nécessaires.
  • Ouvrir les discussions au partage d'expérience de terrain.
2. Identification des principaux domaines de préoccupation (collecte de données/processus SAGE)

L'atelier principal de SAGE a commencé par une orientation préalable des participants et des animateurs, suivie de deux jours d'évaluation. Au cours de ces sessions, les participants ont reçu une première vue d'ensemble du processus SAGE par le biais de présentations, suivies de cartes de score imprimées pour chacune des 39 questions SAGE basées sur les dix principes de bonne gouvernance et d'équité, à partir desquelles chaque groupe de parties prenantes a discuté de la question, a noté les résultats et les a présentés en séance plénière. Les principales divergences d'opinion entre les différents groupes de parties prenantes pourraient indiquer des problèmes de gouvernance ; ces divergences ont donc été bien notées et des justifications de leurs notes ont été fournies.

Ce processus s'est poursuivi par l'apport d'idées d'action de la part de chaque groupe de parties prenantes dans les domaines où les principales divergences se sont manifestées. Par exemple, les divergences d'opinion sur le partage des bénéfices entre les différents groupes d'acteurs peuvent être dues au fait que les différents groupes d'acteurs peuvent disposer d'informations différentes ou comprendre différemment les informations disponibles. Par conséquent, pour résoudre facilement ce problème, des recommandations pour une meilleure transparence et un meilleur partage des informations appropriées entre les groupes de parties prenantes pourraient être identifiées comme une solution recommandée et les plans pour sa mise en œuvre pourraient être mis en place.

L'évaluation de la gouvernance et de l'équité au niveau du site peut être une tâche complexe qui nécessite une prise en compte attentive de plusieurs facteurs afin d'en assurer le succès. Sur la base de l'évaluation SAGE réalisée, la prise en compte des éléments suivants a permis au processus SAGE d'être couronné de succès ;

  • L'identification et l'engagement appropriés des principales parties prenantes.
  • L'ouverture et la transparence des principales parties prenantes tout au long du processus d'évaluation.
  • La volonté des principales parties prenantes de s'attaquer aux disparités et aux inégalités identifiées et de prendre les mesures correctives nécessaires.

La méthodologie SAGE comble une lacune dans la boîte à outils de la conservation, en fournissant une auto-évaluation, des opinions multipartites et une plateforme pour identifier les forces et les faiblesses des zones protégées d'une manière sûre et participative.

SAGE fournit des informations pour la planification, la stratégie, l'établissement de rapports et l'élaboration de politiques aux niveaux systémique, national et mondial. Honeyguide a intégré SAGE comme outil principal pour lancer des discussions, évaluer, diagnostiquer et informer les initiatives de renforcement des capacités de gouvernance des AMM en Tanzanie.

Comme pour toute autre approche participative, une planification préalable est nécessaire pour que SAGE soit utile et couronné de succès. Cela inclut des invitations préalables et des suivis, une sélection minutieuse du lieu, ainsi que le choix d'animateurs appropriés avec un équilibre entre l'expérience, la crédibilité, la langue, la familiarité avec le contexte local, l'absence de conflits d'intérêts et d'autres planifications logistiques.

Nous avons également appris que le succès de l'évaluation dépend beaucoup de la familiarité des animateurs avec les questions d'évaluation. Il faut consacrer suffisamment de temps à l'orientation des animateurs avant l'atelier.

Partenariat et collaboration

Étant donné que le logiciel déployé (SMART) n'était pas en cours de développement mais plutôt une mise en œuvre, il existait déjà d'autres organisations qui l'avaient utilisé. Il était nécessaire d'adapter et de capitaliser sur l'expérience d'autres partenaires pour que le processus se déroule sans heurts. Ce projet a fait appel à Space for Giants (SFG), qui surveille les grands mammifères dans le paysage, pour fournir des conseils, des modèles et une formation. La formation des formateurs a été assurée par SFG, qui a également apporté son soutien au développement et à la configuration des bases de données nécessaires, des plateformes en ligne et des modèles de collecte de données.

Deux ans avant la conception du projet, une collaboration entre Ol Pejeta et Vulcan Inc. par l'intermédiaire du Tech Lab a permis la création d'une plateforme de visualisation en ligne, EarthRanger, qui a depuis été utilisée pour intégrer des rapports provenant de diverses sources au sein de l'organisation et de partenaires.

  • Partage d'informations au niveau du paysage - Les organisations de Laikipia ont établi des partenariats qui facilitent la surveillance conjointe d'aspects particuliers de la biodiversité et la préparation de rapports sur le paysage. Cela facilite la collaboration en matière de renforcement des capacités et d'innovation.

  • Objectif commun - L'OPC a créé un laboratoire de technologies de conservation pour développer, tester et surveiller les technologies au profit de tous les acteurs du paysage. SFG fournit également une base de données centralisée pour la surveillance de la faune et de la flore à certaines conservations de Laikipia.

  • Les collaborations permettent de réduire les coûts - Le partenariat avec SFG dans le cadre de ce projet a permis de réduire considérablement les coûts de développement des modèles de collecte de données SMART et de formation du personnel, qui auraient autrement nécessité l'embauche d'un ou de plusieurs consultants.

  • Les partenariats passés et actuels ont des retombées futures - La collaboration avec Vulcan Inc., développée deux ans plus tôt, s'est avérée bénéfique pour ce projet où SMART a été intégré à EarthRanger afin d'améliorer l'analyse visuelle et le partage.

Activités de développement des capacités telles que la formation et la fourniture de matériel et d'équipement pour faciliter la collecte de données de base par le biais du suivi et de la surveillance.

Les activités suivantes ont permis d'obtenir les résultats définis dans le Building Block 1. Avant d'être déployée sur le terrain pour assurer le suivi, la surveillance et la collecte de données, l'équipe de gardes forestiers devait être équipée et formée, comme le démontrent les activités ci-dessous.

Activité mise en œuvre 1.3 - Acquisition d'équipements et de matériels et logiciels d'appui pour la surveillance des zones ciblées dans la PSEPA.

Activité mise en œuvre 1.4 - Formation du personnel de surveillance à l'utilisation de l'équipement de surveillance

Les activités suivantes ont permis d'obtenir les résultats définis dans le Building Block 1. Avant d'être déployée sur le terrain pour assurer le suivi, la surveillance et la collecte de données, l'équipe de gardes forestiers devait être équipée et formée, comme le démontrent les activités ci-dessous.

Activité mise en œuvre 1.3 - Acquisition d'équipements et de matériels et logiciels d'appui pour la surveillance des zones ciblées dans la PSEPA.

Activité mise en œuvre 1.4 - Formation du personnel de surveillance à l'utilisation de l'équipement de surveillance

La mise en œuvre de ce projet a permis de tirer quelques enseignements importants :

  1. Les avantages de ce projet pour le Saint Lucia National Trust auraient été plus évidents pour les parties prenantes internes et externes si un programme de communication bien défini avait été développé et intégré dans la conception du projet. Bien qu'il ait été fait mention de supports de communication et de connaissances, les processus permettant de les générer n'ont pas été bien définis, étant donné que le processus de mise en œuvre du projet s'est concentré sur les besoins et les fonctions en matière de ressources humaines. Des actions de communication bien conçues ajoutent de la valeur aux projets et fournissent des moyens et des outils pour la documentation, la célébration et la croissance et le développement continus.
  2. Le contexte COVID, en particulier les interdictions de voyager et d'avoir des contacts directs, a limité les possibilités et les activités de formation. La plupart de ces activités ont été menées vers la fin du projet, ce qui n'a pas laissé suffisamment de temps pour mettre en pratique les compétences souhaitées. Les compétences qui étaient plus souples et plus faciles à intérioriser et à reproduire ont été transférées avec succès, mais certaines qui nécessitent de la pratique sont toujours en cours.